Certaines sources, issues du milieu homosexuel, ont identifié l’amant de Florian Philippot comme étant Aurélien Lamy. Ce journaliste travaillant pour M6 et l’émission Capital serait l’individu se trouvant aux côtés du vice-président du Front national sur les photos du magazineCloser, devenu en quelques années le plus influent conseiller de Marine Le Pen. L’identité de l’amant de Florian Philippot – énarque et gaulliste devenu le maître à penser du parti autrefois antigaulliste et farouchement opposé aux technocrates issus de la pire matrice républicaine (ripoublicaine aurait dit le chef failli du parti d’extrême droite alors) – ne présente aucune espèce d’importance. Mais il y a dans cette affaire deux faits remarquables.
Le premier, anecdotique, c’est que ce ne sont pas d’ignobles fascistes issus tous droits des « heures les plus sombres de notre Histoire » qui l’ont dénoncé, mais des activistes homosexualistes. La délation, il est vrai, est intrinsèquement liée aux forces de mort antitraditionnelles, depuis les tueurs de 1791 aux ordres de Robespierre aux meurtriers de masse dépendant du KGB ou aux ordres des khmers rouges hier.
Aujourd’hui, ce sont les khmers roses qui sont en action, tout aussi fanatiques et tout aussi fondamentalement corrompus. Ces malades veulent faire de leur déviance sexuelle l’axe du monde ; ils brandissent leur sexualité anormale comme un étendard glorieux, ne vivant que par et pour des revendications de communautaristes dominés par les élans les plus bestiaux. Lire la suite
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