« Beaucoup d’étrangers, ce ne sont plus les mêmes [?], sont là depuis des décennies. Ils ont parfois gardé leur nationalité d’origine tout en étant parfaitement intégrés à la société française. C’était leur droit. Ils n’ont pas voulu changer de nationalité ou peut-être n’ont pas pu y accéder. C’est cette situation d’étranger depuis longtemps en France qui a justifié la revendication de leur ouvrir le droit de vote aux élections locales. Beaucoup de pays européens l’ont fait. Pour y parvenir en France, chacun en connaît les conditions. Mieux vaut un langage de vérité si l’on veut éviter les passions ou les illusions. Rien ne peut se faire sans une révision de la Constitution, ce qui suppose, dans notre droit, une majorité des 3/5ème [sic] au Parlement. C’est-à-dire l’accord de toutes les forces républicaines. J’y suis pour ma part favorable, à elles de prendre leur responsabilité. » a annoncé François Hollande lors de son inauguration du musée de la propagande immigrationniste. Cette manœuvre électoraliste a un double objectif : faire croire aux étrangers qu’il voudrait leur accorder le droit de vote, mais qu’il ne le peut pas par la faute de l’opposition UMP, et exacerber l’aile la moins corrompue du parti libéral-conservateur et le pousser à voter FN pour affaiblir l’UMP et du côté du vote des Blancs, et du coté du vote des Français de papiers qu’il espère rallier.
François Hollande a multiplié les annonces antifrançaises, avec l’accélération du bradage de la nationalité française et autres mesures multiples en faveur des étrangers (concernant le renouvellement des cartes de séjour, prestations sociales pour les vieux travailleurs immigrés, etc.).
François Hollande n’a pas manqué de répéter ses propos racistes antiblancs et antifrançais, appelant à discriminer ceux-ci, sur leurs propres terres, au bénéfice d’étrangers.
« Il y a aussi les jeunes français [sic] qui veulent pleinement participer à la vie de notre pays. C’est toute la question de la représentation. Elle n’obéit pas à des logiques législatives, à des quotas ou des règles. C’est une obligation pour toutes les forces politiques sociales économiques de notre pays. Faire en sorte que ceux qui parlent au nom des autres puissent ressembler aux autres. Faire en sorte que ceux qui décident pour les autres puissent être finalement comme les autres. Ce travail-là doit être mené systématiquement parce que lorsqu’une représentation n’est plus fidèle à l’état d’une société, la société ne se reconnaît plus dans celles et ceux qui les représentent. C’est un grand enjeu. […] je sais que dans les entreprises, il y a également cette volonté. […] [Les] jeunes qui sont de toutes les couleurs de la France […] frappent à la porte, à leur tour, demandent leur part et à qui on demande plus qu’à d’autres [sic] d’attendre, d’attendre encore ? Eh bien non ! Il n’est plus temps d’attendre. Il faut que la société française puisse être représentée avec toutes les couleurs. »
Le président socialiste a repris le discours marxiste habituel sur la prétendue « chance » que représenterait l’invasion de la France et le génocide des Blancs.
« Cette diversité est une chance si nous savons la valoriser, l’enrichir, la dépasser, si nous savons affirmer une volonté commune de vivre ensemble, ce qui suppose une pleine adhésion à la République. Sinon c’est le piège de la division, la menace du communautarisme, la confrontation des cultures et donc, le racisme, l’antisémitisme, la détestation de l’autre. »
Le traître n’a pas eu le moindre mot pour Anne-Lorraine, pour Jérémie, pour Marion, pour Cédric, pour Steve, pour Christophe, pour Jérémy, pour Élodie, pour Maurice, ni pour ces centaines milliers de Français et de Françaises agressés, rackettés, violés, torturés, assassinés, par des étrangers débordant de haine contre la France, méprisant les Français et leurs dirigeants faibles et corrompus dont François Hollande n’est que le dernier et plus tragique avatar.
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