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samedi, 20 décembre 2014

Vote des étrangers, hausse des naturalisations, privilèges pour les étrangers : le traître Hollande renouvelle ses provocations

 

Publié par Guy Jovelin

« Beaucoup d’étrangers, ce ne sont plus les mêmes [?], sont là depuis des décennies. Ils ont parfois gardé leur nationalité d’origine tout en étant parfaitement intégrés à la société française. C’était leur droit. Ils n’ont pas voulu changer de nationalité ou peut-être n’ont pas pu y accéder. C’est cette situation d’étranger depuis longtemps en France qui a justifié la revendication de leur ouvrir le droit de vote aux élections locales. Beaucoup de pays européens l’ont fait. Pour y parvenir en France, chacun en connaît les conditions. Mieux vaut un langage de vérité si l’on veut éviter les passions ou les illusions. Rien ne peut se faire sans une révision de la Constitution, ce qui suppose, dans notre droit, une majorité des 3/5ème [sic] au Parlement. C’est-à-dire l’accord de toutes les forces républicaines. J’y suis pour ma part favorable, à elles de prendre leur responsabilité. » a annoncé François Hollande lors de son inauguration du musée de la propagande immigrationniste. Cette manœuvre électoraliste a un double objectif : faire croire aux étrangers qu’il voudrait leur accorder le droit de vote, mais qu’il ne le peut pas par la faute de l’opposition UMP, et exacerber l’aile la moins corrompue du parti libéral-conservateur et le pousser à voter FN pour affaiblir l’UMP et du côté du vote des Blancs, et du coté du vote des Français de papiers qu’il espère rallier.

François Hollande a multiplié les annonces antifrançaises, avec l’accélération du bradage de la nationalité française et autres mesures multiples en faveur des étrangers (concernant le renouvellement des cartes de séjour, prestations sociales pour les vieux travailleurs immigrés, etc.).

François Hollande n’a pas manqué de répéter ses propos racistes antiblancs et antifrançais, appelant à discriminer ceux-ci, sur leurs propres terres, au bénéfice d’étrangers.

« Il y a aussi les jeunes français [sic] qui veulent pleinement participer à la vie de notre pays. C’est toute la question de la représentation. Elle n’obéit pas à des logiques législatives, à des quotas ou des règles. C’est une obligation pour toutes les forces politiques sociales économiques de notre pays. Faire en sorte que ceux qui parlent au nom des autres puissent ressembler aux autres. Faire en sorte que ceux qui décident pour les autres puissent être finalement comme les autres. Ce travail-là doit être mené systématiquement parce que lorsqu’une représentation n’est plus fidèle à l’état d’une société, la société ne se reconnaît plus dans celles et ceux qui les représentent. C’est un grand enjeu. […] je sais que dans les entreprises, il y a également cette volonté. […] [Les] jeunes qui sont de toutes les couleurs de la France […] frappent à la porte, à leur tour, demandent leur part et à qui on demande plus qu’à d’autres [sic] d’attendre, d’attendre encore ? Eh bien non ! Il n’est plus temps d’attendre. Il faut que la société française puisse être représentée avec toutes les couleurs. »

Le président socialiste a repris le discours marxiste habituel sur la prétendue « chance » que représenterait l’invasion de la France et le génocide des Blancs.

« Cette diversité est une chance si nous savons la valoriser, l’enrichir, la dépasser, si nous savons affirmer une volonté commune de vivre ensemble, ce qui suppose une pleine adhésion à la République. Sinon c’est le piège de la division, la menace du communautarisme, la confrontation des cultures et donc, le racisme, l’antisémitisme, la détestation de l’autre. »

Le traître n’a pas eu le moindre mot pour Anne-Lorraine, pour Jérémie, pour Marion, pour Cédric, pour Steve, pour Christophe, pour Jérémy, pour Élodie, pour Maurice, ni pour ces centaines milliers de Français et de Françaises agressés, rackettés, violés, torturés, assassinés, par des étrangers débordant de haine contre la France, méprisant les Français et leurs dirigeants faibles et corrompus dont François Hollande n’est que le dernier et plus tragique avatar.

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jeudi, 17 juillet 2014

Droit de vote des étrangers : le jour où la France mourra (par Joris Karl)

Publié par Guy Jovelin

François Hollande l’a réaffirmé sans trembler lors de son entrevue du 14 juillet : le coup de grâce sera porté à la France en 2016. Des paroles assassines sorties d’un visage inexpressif à en crever : l’exécuteur testamentaire de 2000 ans d’histoire a une gueule de poisson mort.

Cette année 2016, sera, d’après le président en fonction, « celle des réformes constitutionnelles », et parmi celles-ci, outre une modification du mode de scrutin, « le droit de vote pour les étrangers extra-communautaires ». Traduction : pour le monde entier. Peut-être même les touristes qui sait, on aura bien un ou deux cinglés, un écolo ou un socialo-taubiresque pour nous pondre une ignominie de plus.

Le droit de vote des étrangers, cette monstruosité juridique, figurait déjà au programme du candidat Mitterrand en l’an de grâce 1981. Mais en ce temps-là, la pilule était trop grosse à faire avaler au peuple de France. Déjà qu’on lui avait scandaleusement interdit de s’exprimer sur l’abolition de la peine de mort ! Au royaume de l’Anti-France, chaque coup de poignard en son temps…

Néanmoins, le projet fou, obsessionnel chez tous les ennemis du Drapeau, demeurait blotti bien au chaud sous le ventre de la gauche immonde. « Patience » chuchotaient dans l’ombre les grands maîtres du secret, on attendrait simplement que le travail de sape des médias et de l’éducation nationale fasse son œuvre, que soit achevé l’élimination de tout sentiment d’appartenance, que soit gommé toute identité parmi les braves gens réduits à de simples moutons scotchés à TF1.

Et puis, le moment voulu, on commencerait à sortir des sondages mirifiques, comme celui publié par l‘Express en 2013, dans lequel il était affirmé que « 54 % des français souhaitaient que l’on étende le droit de vote aux étrangers non communautaires ». Un peu comme si on vous disait les yeux dans les yeux que la majorité de vos neurones souhaitait que vous vous flinguiez ce soir.

La piétaille du service public de Ruquier à Caron vous bassinera avec cette « avancée sublime dans la citoyenneté partagée et universelle ». La troupe de choc de Canal plus, fera le job de son côté, traquant telle une milice, les mauvais français « rabougris et refermés sur eux-mêmes ». Le très fun Ariel Wizman, ajoutera sans doute « avouons-le, ceux qui sont contre la réforme sont plutôt ruraux, pas diplômés, c’est la France qui souffre môssieur ».

Seul motif d’espérance, avant ce déluge d’imprécations, la majorité pour faire basculer la République dans l’après-France sera dure à constituer. Mais Hollande a sûrement mijoté un coup fourré pour y parvenir. Si une telle réforme voyait le jour, le grand livre de l’histoire de France se fermerait brutalement. Et certains le jetteraient aux flammes avec jubilation. Allons-nous les laissez faire ?

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