Une nouvelle fois, au lieu de s’en prendre réellement à la racaille et aux islamistes, le gouvernement de monsieur Valls veut se contenter de mieux équiper les policiers pour qu’ils puissent mieux se faire attaquer par les « sauvageons ».
Sauvageons étant bien évidemment le nom gentil utilisé au pays merveilleux des Bisounourses pour qualifier les terroristes et autres délinquants et criminels.
Si toute la vermine multirécidiviste avait été, au fur et à mesure, placée derrière les barreaux, si tous les djihadistes avaient été expulsés de France vers l’Irak ou la Syrie et empêchés de revenir, il n’y aurait point besoin d’équiper en matériel militaire les forces de l’ordre sur le territoire de la Nation.
Sauf que, pas question de priver les sauvageons de leur précieuse liberté, droits de l’homme oblige.
Depuis les émeutes de 2005, les militants France Police dénoncent la situation sécuritaire en Métropole et en Outre-mer et demandent des mesures particulièrement fortes de la part de l’Etat français.
Or, malheureusement plus la violence augmente, plus la réponse des pouvoirs publics s’affaiblit.
Le marasme sécuritaire actuel est la conséquence directe de la politique pénale conduite par la France et des réformes pénales imposées par l’Union Européenne visant à protéger la racaille au détriment des victimes.
Depuis 1945 et la fameuse ordonnance relative aux mineurs, quasiment la totalité des évolutions législatives ont été favorables aux mis en cause et ce, au détriment des moyens d’enquête.
Empoisonnée par l’idéologie islamo-gauchiste, l’Union Européenne a imposé aux pays membres le principe d’alternative à l’incarcération comme religion d’Etat au nom des droits de l’homme et des libertés. Mais les seules libertés réellement protégées par Bruxelles, ce sont celles des voyous et des terroristes.
Oui, il faut équiper les policiers et les gendarmes comme nos soldats engagés sur les théâtres d’opérations extérieures car malheureusement, il est devenu aussi dangereux de pénétrer dans certaines cités françaises que de patrouiller au Sahel. Mais cela ne suffira pas pour autant. Il faut s’attaquer à la racine du mal.
Il est urgent d’écarter la vermine de la société, faute de quoi le cancer continuera à progresser. La seule solution est d’expulser ceux qui peuvent l’être et de placer en détention les autres, encore faut-il construire des prisons. C’est à ce prix qu’on pourra reprendre le contrôle des centaines de Molenbeek qui gangrènent aujourd’hui le pays et menacent notre démocratie.
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