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mardi, 29 janvier 2019

Une racaille violente nommée membre de la commission contre “les violences d’extrême droite “

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2019

Auteur : Rédaction

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Vous souvenez-vous du député LREM M’jid El Guerrab, qui s'était comporté comme une racaille en frappant violemment à coup de casque de scooter un responsable socialiste (occasionnant un traumatisme crânien, une hospitalisation en soins intensifs et deux mois d’arrêt de travail !) ?

Cet individu fait partie de la « commission d'enquête sur la lutte contre les groupuscules d'extrême-droite en France » qui vient d’être créée et sera présidée par un député d’extrême-gauche !

La « lutte » contre un courant politique – très réduit – est donc une préoccupation des parlementeurs. Drôle de conception du pluralisme démocratique. Et drôle de priorité, quand on voit les problèmes nombreux que connait le pays…

Des étrangers, des voyous, des bolcheviques prétendent incarner l’Etat français et s’en prendre aux éléments les plus patriotes du peuple ! Quelle époque odieuse !

Jean-Yves Le Gallou@jylgallou
Le député El Guerrab est membre de la commission contre "les violences d’extrême droite " (sic) . Il a agressé et gravement blessé un de ses ex-camarades du à coups de casque de moto. Rassurez moi c'est bien une ? Ou alors vous en pensez quoi @MRessiguier ?
 

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Source : lesalonbeige via contre-info

mercredi, 09 janvier 2019

Ce flic est une racaille à la solde d’un régime d’occupation qui jouit d’inspirer la terreur aux ennemis de ses maîtres

 Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2019

“On se souviendra qu’un soldat — un soldat envoyé en zone de guerre — avait vu sa carrière brisée et sa vie gâchée parce qu’il avait porté un tel foulard. Ici, ce membre des forces de l’ordre est censé être là pour protéger et aider la population civile, mais en portant ce foulard il montre ce qu’il est vraiment : une racaille à la solde d’un régime d’occupation qui jouit d’inspirer la terreur aux ennemis de ses maîtres.”

 

Source : Objectif Défense via ndf

mardi, 23 octobre 2018

Braquage du professeur : un ministre troublé par la « nonchalance » de la victime !

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2018

Auteur : Pierrot

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La déconnexion des élites avec la réalité est consommée… Alors que la vidéo choquante d’un élève africain braquant son professeur en réclamant qu’il le note « présent » fait le tour de la toile, la ministre de la Santé Agnès Buzyn ne trouve rien de mieux que de se déclarer « troublée » par « la nonchalance de la professeure, comme si c’était banal ».

Qu’était censé faire ce professeur ? S’entrainer à reconnaitre les armes factices ? Hausser le ton ? Risquer sa vie et un procès, se lever et mettre une tarte à la racaille ?

Les effets de l’immigration de masse sont chaque jour plus intenses. A moins d’une inversion rapide et brutale des flux migratoires, l’avenir nous réserve de terribles « surprises »…

Source : contre-info

samedi, 20 octobre 2018

Rouen : une racaille prend en otage et frappe le bébé d’une femme pour l’emmener et la violer

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2018

Auteur : admin4
contre-info

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Horrible affaire, hélas appelée à se répéter dans la « France d’après ».

Lundi 15 octobre, vers 22 heures, dans la zone de sécurité prioritaire des Hauts-de-Rouen :

« une patrouille de police se rend à proximité d’un sous-bois afin de secourir une femme. Cette dernière, en état de choc, a alerté la police en déclarant avoir été victime d’un viol en présence de son enfant, âgé de 2 ans. Prise en charge par des policiers de la brigade anticriminalité (BAC), la victime est conduite à l’hôpital pour y recevoir les premiers soins. Malgré le traumatisme, elle parvient à relater les circonstances de son agression.

La jeune femme explique avoir été surprise par un inconnu alors qu’elle venait de stationner sa voiture devant son domicile. Un homme a surgi et l’a empoignée et poussée à l’intérieur de son véhicule. L’agresseur monte à l’arrière et s’installe juste à côté de l’enfant de la victime, installé dans un siège auto. Très vite, l’inconnu menace de s’en prendre à son bambin si elle n’accède pas à ses demandes. Dans un premier temps, il exige de se faire conduire «  au quartier  », distant de deux kilomètres. Pour se faire obéir, il porte des coups à la fillette. La mère de famille obtempère et prend la direction indiquée.

La victime indique encore avoir entendu son agresseur passer un appel téléphonique au cours duquel il a indiqué «  amener un cadeau  » à son interlocuteur. Comprenant alors la situation, la conductrice cherche à gagner du temps, mais l’inconnu l’oblige à stopper son véhicule à proximité d’un sous-bois. La victime a ensuite été frappée par son agresseur puis violée. L’inconnu a fini par prendre la fuite. […] »

Grâce à un portrait-robot, l’individu aurait été interpellé dans la rue hier (en possession d’un peu de drogue). (Source)

jeudi, 04 octobre 2018

Monthermé : un gendarme condamné à 3 mois avec sursis et 6 mois d’interdiction d’exercer pour avoir giflé une racaille qui s’en était pris à sa femme

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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Le gendarme ayant mis une gifle ayant insulté son épouse (voir ici) a été condamné ce mercredi par le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières à trois mois de prison avec sursis, six mois d’interdiction d’exercer et inscription de la peine au  bulletin N° 2 du casier judiciaire, rejetant ainsi la demande de son avocat.

Ce dernier, M° Jonathan Phour s’est dit très déçu et a immédiatement interjeté appel. “Mon client est très abattu, nous allons nous battre jusqu’au bout” assure l’avocat qui “ne comprend pas comment l’institution judiciaire peut se substituer à l’employeur pour l’empêcher de travailler”. “C’est disproportionné, ce gendarme bien noté a été sanctionné en interne, a été muté et la victime ne s’était pas constituée partie civile” argumente l’avocat.

C’est moins que les réquisitions du parquet qui avait demandé, provoquant l’incompréhension et l’indignation au sein de la communauté Gendarmerie, cinq mois de prison avec sursis et surtout cinq ans d’interdiction d’exercer, ce qui aurait signifié la fin de sa carrière pour cet adjudant-chef de 53 ans qui a été muté après avoir été sanctionné en interne.

Le jugement n’étant pas exécutoire, le gradé va pouvoir prendre ses nouvelles fonctions ce vendredi dans un département voisin en attendant l’audience de la cour d’appel.

Source