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mercredi, 11 janvier 2017

Cette propagande transgenre relayée dans des écoles espagnoles pourrait s’étendre chez nous

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

dans Education / Société par 11 janvier 2017

Chrysallis, association espagnole de parents d’enfants transsexuels, a lancé une campagne d’affichage qui suscite l’indignation. Cette propagande transgenre montre un dessin représentant quatre enfants nus dont une fille avec un pénis et un garçon avec une vulve. Le slogan de la campagne : « il y a des filles avec un pénis et des garçons avec une vulve. C’est aussi simple. « 

Cette campagne s’affiche dans différentes villes, y compris dans le métro, et dans différents médias. Une campagne de propagande transgenre financée grâce à une subvention de 30.000 $ venus d’un « mécène » de New York,.

La veille de l’apparition de cet affichage sur les abris bus, l’affiche avait été diffusée sur la page Facebook de Chrysallis, mais elle avait été rapidement censurée parce qu’elle violait les règles du réseau social. L’association a alors décidé de modifier l’image sur Facebook, plaçant le slogan de façon à couvrir les parties génitales.

Des enfants sous influence de la propagande transgenre

Cette campagne suit d’autres, toutes scandaleuses, comme celle d’avril 2016, relayée dans certains établissements scolaires :

Il faut noter que ces campagnes bénéficient visiblement d’importants financements puisque l’association Chrysallis est en mesure de proposer des documents de propagande transgenre dans de nombreuses langues, de façon à les exporter dans d’autres pays et sur d’autres continents.

 

Source : medias-presse.info

Des journalistes de TF1 agressés à Compiègne

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

TÉLÉVISION - Dans le journal de 13h00 de TF1, Jean-Pierre Pernaut a rapporté une «attaque» selon ses termes, dont une équipe de la chaîne a été la cible, ce mardi matin, dans l’Oise.

Ce mardi matin, des journalistes de TF1 sont partis couvrir un fait local de trafic de drogue, dans l’Oise, et ont été agressés sur place, selon Jean-Pierre Pernaut. Dans le JT de 13h00 de la chaîne, le présentateur a en effet expliqué que dans le cadre d’un reportage sur trois immeubles de HLM murés à cause de la présence de dealers, à Compiègne, une équipe de tournage de la Une a été malmenée.

«On a essayé d’y tourner un reportage ce matin. Notre équipe a été attaquée et caillassée par des voyous qui ont volé notre caméra dans cette zone de non-droit d’un quartier qui a pourtant un joli nom, Le Clos des roses» a déclaré le présentateur du JT avant de diffuser une courte interview du patron des HLM. Ce dernier a confirmé l’existence de cet «État de non-droit absolu» contrôlé par «des prédateurs dont la détermination est proportionnelle à la somme d’argent colossale qu’ils engrangent chaque mois». Jean-Pierre Pernaut a conclu en rassurant sur l’état des journalistes agressés qui ne sont pas blessés.

En octobre dernier, une équipe de tournage de TF1 avait déjà été agressée, cette fois à Paris alors qu’elle filmait les scènes de la série Une femme d’exception.

 

Source : tvmag.lefigaro

Calvados. Cherchant l'amour, elle héberge des hommes en situation irrégulière rencontrés sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

Calvados. Cherchant l'amour, elle héberge des hommes en situation irrégulière rencontrés sur Facebook

La prévenue rencontrait ses prétendants sur Facebook. - Pixabay - Illustration

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Par : Joëlle Briant

Une femme âgée de 33 ans a comparu jeudi 5 janvier 2017 devant le tribunal de grande instance de Caen (Calvados) pour aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers d'étrangers en France, de 2013 à 2016, à Caen.

Par crainte de la solitude et par besoin d'amour, une trentenaire a hébergé à son domicile, de 2013 à 2016, plusieurs étrangers en situation irrégulière, n'hésitant à devenir leur compagne. Elle a dû répondre de ces agissements devant le tribunal de grande instance de Caen (Calvados), jeudi 5 janvier 2017.

Elle contacte ces hommes sur Facebook

Entrant en contact avec des hommes en situation irrégulière via Facebook et croyant être aimée, plusieurs vivront avec elle en situation maritale en l'espace de trois ans. L'un d'eux deviendra même le père de son enfant, qui décédera au bout de quelques mois. Le couple se sépare, l'homme se montrant violent. La prévenue commence alors à boire cherchant toujours l'âme soeur sur le net. Les hommes se succèdent, parlant d'amour et parlant surtout de lui faire un enfant afin de régulariser leurs situations. Fragile, elle se verra imposer des relations sexuelles.

Déficiente légère et dépendante à l'alcool

La prévenue, sous curatelle, souffre de déficience légère. En carence affective et consommatrice d'alcool, c'est quelqu'un de très vulnérable. ce qui fait dire au procureur : "Elle enchaîne les compagnons en situation irrégulière les uns après les autres. Il faut la protéger d'elle-même." Et le président d'ajouter : "C'est impressionnant le nombre d'hommes de ce genre à votre porte ! On dirait un réseau ! Vous vous rendez compte que ces rapports sexuels imposés, ce n'est pas rien ?"

"Elle était amoureuse"

L'avocate de la défense explique que sa cliente était amoureuse et qu'elle a compris aujourd'hui que ce n'était pas réciproque. "Elle n'avait pas conscience de commettre un délit pénal. Elle était prête à tout accepter pour ne pas vivre seule. Elle était victime des hommes qu'elle hébergeait et subissait les violences psychologiques et sexuelles qu'ils lui imposaient."

Graves infractions

La cour estime les infractions graves. Elle écope d'un mois de prison avec sursis et de 500 euros d'amende. "Ce genre d'infraction coûte très cher à la société, vous pouvez encourir 5 ans de prison ferme, lui explique le président, attention car c'est au-dessus de votre tête !"

 

Source : tendanceouest

On a les héros qu'on peut ! Les héros qu'on veut ...

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

 

Mémorial Léon Blum {Israël)

Cambadélis a voté Léon Blum ! Il s'agissait pour lui et pour le PS - ce lundi 9 janvier - de la simulation de vote destinée à vérifier la bonne préparation de la primaire de la gauche : il fallait tester les bureaux de vote, le bon déroulement du vote proprement dit et tutti quanti... Quatre bulletins « d'essai » avaient été imprimés : l'un portait le nom de Léon Blum (choisi, donc, par Cambadélis), ce Léon Blum qui n'a pas su utiliser le temps dont il disposait, avant la guerre, pour armer la France, alors qu'Hitler transformait l'Allemagne en forge de Vulcain ; les trois autres noms étant Jean Jaurès (le pacifiste plus que naïf, qui fit pourtant baptiser ses enfants, et ne renia jamais sa foi chrétienne, en pleine période d'hystérie antichrétienne de la jeune IIIe République...), Colette Audry (très connue dans son immeuble), et la sinistre Louise Michel : vous savez, cette communarde qui mit le feu à Paris, en détruisant des trésors d'art inestimables, notamment le Palais des Tuileries. «Paris sera à nous ou n'existera plus ! », disait-elle, illustrant parfaitement l'esprit révolutionnaire ; et s'inscrivant dans la ligne d'un Carrier, qui déclarait «Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ! »

Nous laisserons Jean-Christophe Cambadélis à ses amitiés si surprenantes. Et nous préférerons, puisque nous sommes le 11 janvier, faire mémoire d'une autre personnalité, autrement sympathique, et ô combien plus attachante : le Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952). 

Il disait : « A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Evangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Evangile, nous sommes perdus. »

Combien cela nous change d'un Blum ou d'une Louise Michel ! Voilà, certes, un modèle, un ami, bien préférable à ceux de Jean-Christophe Cambadélis !...

Et comme ses mots sonnent juste, au moment où l'Europe subit sa troisième agression par l'Islam : après les deux premières agressions militaires (celle de 711, par l'Espagne et Gibraltar, et celle de 1453, par Constantinople) voici l'agression démographique et mentale, tout aussi dangereuse.

Et pour s'y opposer, quoi ?

Comme le disait Chateaubriand - à qui la phrase de de Lattre fait écho - «Chassez le christianisme et vous aurez l'Islam... »

 

Source : lafautearousseau