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mardi, 10 janvier 2017

La dévastation après la révolte des migrants : « Ils ont cannibalisé la structure »

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017 

Une semaine après la révolte de clandestins logés dans un centre d’accueil de Cona dans la région de Venise, en Italie, les responsables de la structure font le bilan des dommages. La dégradation du site est impressionnante : radiateurs et poêles fracassés, cameras de surveillance détruites, robinets cassés, mobilier vandalisé, salles de bain dévastées, infrastructures détériorées, tentes déchirées, tuyauterie déboulonnée, chaufferie bloquée et saleté partout !

En deux jours les « demandeurs d’asile » mécontents ont engendré cet exploit de dévastation.

« C’est un désastre, explique le directeur du centre, Simone Borile, au quotidien Il Giornale. Nous n’avons pas encore fait le bilan des dommages mais ils s’élèveront à plus de 100 000€. Une tente vaut déjà 30 00€. Pendant deux jours les personnes hôtes du centre ont bloqué les sorties, ce qui empêchait le ravitaillement en fuel domestique. Ils ont cannibalisé la structure, se sont construits des cabanes, ont été jusqu’à arracher les radiateurs électriques des salles de bain pour les emmener dans les tentes, les branchant aux prises électriques. Ils ont détruit les cameras, sur les 14 ils ont laissé intègres seulement celles inutiles. »

« Ils ont cassé les prises électriques, détaché les modules, vandalisé les installations de gaz, cassé les robinets, ont frappé et coupé la tuyauterie, débranché les chaufferies et en ont détruit une, poursuit-il. Nous avons du refaire les tests de pression aux installations. Une tente a été déchirée et nous avons du l’enlever. En deux jours ils ont pris des milliers de choses pour se faire à manger. Et ne parlons pas du fait qu’en bloquant l’énergie électrique certains tuyaux ont éclaté à cause du gel. »

25 employés du centre sont restés « séquestrés » à l’intérieur de la structure aux sorties bloquées par les immigrés clandestins. Apeurés, maintenant ils ne veulent plus aller travailler. Certains se sont mis en maladie et d’autres pourraient annoncer leur démission explique le journaliste de Il Giornale.

« J’étais parmi les otages lundi, explique Verena au journal local, et j’ai eu peur. Ce sera le parquet qui décidera s’il s’est agit ou non d’une séquestration mais moi je l’ai vécue ainsi. »

« Avant ces incidents la situation était déjà explosive. Alors ne parlons pas maintenant ! » ajoute un autre témoin.

Malheureusement de tels actes violents, qui auraient de quoi faire réfléchir les bobos de tout poil sur la réalité de l’immigration-invasion qui submerge l’Europe, ne les sortent pas de leurs illusions : de l’évêque qui défend les pauvres migrants mal-logésau responsable lui-même de la structure, Simone Borile, qui minimise ces incidents,« Ce n’est pas une révolte. Je ne me sens pas de les criminaliser. Ce n’est pas vrai que ce sont des délinquants, des révoltés », le politiquement correct tient bien corsetés ces beaux moralisateurs humanitaristes dans l’idéologie immigrationniste !

Francesca de Villasmundo

 

Source :medias-presse.info

Déploiement militaire américain massif en Europe

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017

par 9 janvier 2017

us_army-300x200.jpgLes États-Unis ont débarqué une brigade blindée en Allemagne. C’est le plus grand déploiement de force américain en Europe depuis la guerre froide. Alors même que le président élu Trump continue de vouloir réchauffer les relations avec Poutine, l’équipe d’Obama tente une dernière manœuvre pour déclencher une guerre contre la Russie.

L’équipe de combat de la 3e Brigade blindée de l’armée américaine, qui fait partie de la 4e Division d’infanterie, est arrivé au port de Bremerhaven le week-end. Quelque 2800 chars, véhicules blindés, pièces d’artillerie et véhicules de soutien – ainsi que 3 500 soldats – sont arrivés sur des navires de transport depuis.

La brigade blindée est destinée à renforcer les défenses de la Pologne. « Permettez-moi d’être clair : c’est une partie de nos efforts pour dissuader l’agression russe, assurer l’intégrité territoriale de nos alliés et maintenir une Europe entière, libre, prospère et en paix » , a déclaré le commandant adjoint du Commandement européen, Tim Ray, dans un communiqué de presse.

Il s’agit du plus important mouvement de troupes américaines, destiné à contrer les menaces et l’intimidation de Moscou vers les pays de l’Est comme la Pologne, la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie, la Roumanie, la Bulgarie et la Suède. Cette action porte le nombre total de troupes américaines en Europe à près de 70.000 hommes. La Grande-Bretagne a également envoyé ces derniers mois une unité de chars et 800 soldats en Estonie. D’autres forces de l’OTAN, dont un régiment d’hélicoptères américain, devraient se déployer dans les prochains mois.

Lorsqu’il a annoncé le déménagement, l’an dernier, le secrétaire américain à la Défense, Ash Carter, avait déclaré que les forces iraquiennes participeraient à des exercices militaires réguliers dans la région avec des alliés de l’OTAN. À cette époque, le Lieutenant-général Ben Hodges, commandant de l’armée américaine, avait qualifié le déploiement d’ «incarnation de l’engagement américain à défendre ses alliés européens».

L’opération a été décidée par Obama alors que le président Trump a déclaré que les relations chaleureuses avec la Russie étaient une bonne chose et que seuls les gens « stupides » seraient en désaccord. Donald Trump a également attaqué à plusieurs reprises le rôle obsolète de l’OTAN.

L’arrivée de la brigade blindée intervient quelques jours après que les agences de renseignements américaines aient formellement accusé le président russe Vladimir Poutine d’être derrière les efforts de piratage électronique pour stimuler les chances du président élu américain Donald Trump de remporter le scrutin de 2016.

 

Source : medias-presse.info

Policiers roués de coups à Bobigny : « Ils frappaient uniquement au visage »

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017

9 janvier 2017 par Pierrot

Si elle accepte de témoigner, c’est surtout pour insister sur cette « banalisation de la violence contre les policiers », raconte Sandrine, au téléphone. Cette policière, qui parle sous un prénom d’emprunt, compte parmi les trois fonctionnaires de la BAC de Seine-Saint-Denis évacués aux urgences après un contrôle de police au pied d’un immeuble de la cité de l’Amitié à Bobigny vendredi. Ils se sont vus prescrire 10 et 15 jours d’ITT.

« On ne s’y attendait pas du tout, ça a été extrêmement violent », raconte-t-elle. La voix est posée. En vingt ans de police en Seine-Saint-Denis, elle a eu l’occasion d’en voir des cités où les habitants n’ont pas la vie paisible. La cité de l’Amitié ne faisait pas partie des plus compliquées.

Des coups de poing « uniquement au visage, c’était un acharnement »

Vendredi, Sandrine est arrivée en renfort pour épauler des collègues. La situation aurait dégénéré au moment où une des personnes contrôlées «a refusé de donner son identité et a repoussé un collègue physiquement». Puis elle se souvient des cris, des coups. Elle reçoit des coups de poing, «au moins quatre», «uniquement au visage, c’était un acharnement», dit-elle, convaincue que les agresseurs, ce soir-là, «ont voulu frapper l’uniform ». Trois suspects, majeurs, ont été arrêtés et déférés au tribunal. Deux sont mis en examen pour violences sur policiers avec ITT supérieure à huit jours. Un est sous contrôle judiciaire, l’autre passait ce lundi devant le juge des libertés, le parquet ayant réclamé son incarcération. Le troisième est placé sous le statut de témoin assisté.

«Mon œil a un peu dégonflé dimanche mais je vois très trouble, j’ai un très gros hématome, j’ai très mal à la mâchoire aussi, c’est assez douloureux physiquement», confie Sandrine qui admet ne plus trouver le sommeil. «A cause du choc peut-être», dit pudiquement cette policière, qui énumère d’autres blessures passées : «par des jets de bouteilles de verre, des flacons, des pierres, j’ai aussi eu une main cassée il y a trois ans, et reçu un cocktail Molotov il y a une dizaine d’années».

Dans ces lendemains douloureux, où il a aussi fallu rassurer les proches alors que l’incertitude plane sur les séquelles physiques, les soutiens sont réconfortants. «J’ai reçu des messages d’anciens collègues perdus de vue, et le soutien total de ma hiérarchie, de l’officier au commissaire», tient à souligner Sandrine avec gratitude. Etre policier en Seine-Saint-Denis et y rester pendant vingt ans, n’a rien d’anodin. «Attraper le voleur d’un sac à main, l’agresseur d’une vieille dame, ou un cambrioleur en action, c’est ce qui nous motive, on a le sentiment d’avoir fait notre travail», commente-t-elle avant de conclure l’échange. Puis, après un rendez-vous chez le médecin, c’est elle qui rappelle. «J’ai oublié de vous dire, quand j’ai été frappée, j’ai tout de suite pensé à ma collègue agressée à Pantin il y a une douzaine d’années (NDLR : cité des Pommiers, en 2002). Elle a eu le visage cassé et après de multiples opérations elle souffre toujours…», ajoute-t-elle.

 

Source : contre-info

Une année cruciale

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017

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Georges Feltin-Tracol

1917 est désignée par les historiens comme l’« année terrible », l’« année du tournant » dans la Grande Guerre. Cent ans plus tard, 2017 sera-t-elle comme le titre le nouveau numéro de l’excellente revue Conflits « l’année de tous les dangers » ? Malgré cet intitulé pessimiste, permettez-moi de vous présenter tous mes meilleurs vœux de Joie, de Grande Santé, de Force et de Prospérité pour les 359 jours qui seront certainement déterminants pour notre avenir.

L’administration de Donald Trump entrera en fonction dans deux semaines. L’incertitude demeure totale en ce qui concerne ses orientations géopolitiques majeures à un moment où la mer de Chine méridionale devient une véritable poudrière régionale avec l’annexion rampante des archipels Spratleys et Paracels par la Chine et le décrochage des Philippines de la zone d’influence US pour un rapprochement avec Pékin. Comment Trump réagira-t-il ?

En Europe, trois événements prévus marqueront cette année : les élections présidentielles et législatives au printemps en France, les législatives allemandes en septembre avec la possible reconduction d’Angela Merkel à un quatrième mandat (et on accuse ensuite Vladimir Poutine de s’accrocher au pouvoir !) et le déclenchement tant attendu du Brexit par l’activation de l’article 50. L’imprévu concernera d’éventuelles législatives anticipées en Italie avec une poussée prévisible des populismes du Mouvement Cinq Étoiles et de la Ligue du Nord.

Toutes ces péripéties politiciennes ne doivent cependant pas cacher que les soi-disant « migrants » continuent à se déverser sur le Vieux Continent, aidés par des natifs adeptes de l’ethnomasochisme, que la crise fragilise les catégories sociales populaires et moyennes inférieures autochtones et que les lamentables politiques d’austérité exigées par les banques qui croulent sous les profits se poursuivent au nom d’une conception désuète des rapports économiques et sociaux.

Comme pour toutes les années précédentes, 2017 sera surtout riche en événements inattendus et en retournements, plus ou moins considérables, de l’actualité. Une chose est déjà entérinée : la « fin de l’histoire » avancée par Francis Fukuyama est belle et bien achevée. Place donc aux « chocs de l’histoire » !

Bonjour chez vous !

 

Source : synthesenationale