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dimanche, 20 août 2017

L’épuration américaine s’en prend au Maréchal Pétain

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2017

  par   19 août 2017

L’affaire de Charlottesville est devenue le prétexte pour se livrer aux Etats-Unis à une purge politiquement correcte dont on ne voit pas la fin. Après la chasse aux monuments confédérés, puis la critique des monuments et noms de parcs et d’avenues dédiés à George Washington, c’est maintenant au Maréchal Pétain de faire les frais de cette nouvelle vague de terrorisme intellectuel.

Le maire de New York, Bill de Blasio, chantre du multiculturalisme, du métissage et du lobby LGBT, a annoncé via son compte Twitter son intention d’effacer la plaque en granit posée en 1931 en l’honneur du Maréchal Pétain, venu défiler en tant que vainqueur de la bataille de Verdun avec le général Pershing, considéré comme le héros américain de l’engagement des Etats-Unis dans la première guerre mondiale.

Le Maréchal Pétain et le Général US Pershing

Cette plaque est fixée dans un quartier de Broadway surnommé le « Canyon des héros » qui compte plusieurs centaines de plaques commémoratives gravées dans cette section de la pointe sud de Manhattan.

Plus largement, Bill de Blasio a annoncé un réexamen de tous les symboles de la ville qui pourraient évoquer « le racisme ou la haine ».

 

Source : medias-presse.info

QUI PAYERA LES POTS CASSES ?

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2017

Les cours des matières premières, en particulier le pétrole, le cuivre, le cacao, le coton et le soja pour ne citer que les plus importantes, se maintiennent dans de faibles fluctuations de prix depuis le début de l’année. Des facteurs conjoncturels et structurels expliquent ce phénomène :

-Une demande chinoise atone (taux de croissance de 6% le plus faible depuis 25 ans)

-Un ralentissement économique mondial (hors Afrique) dans les zones à forte croissance (Asie du Sud-Est, Amérique Latine), et une progression modeste depuis 2 ans en Europe et aux Etats-Unis.

Plus spécifiquement, les cours du pétrole (et du gaz) avaient chuté de près de 50% en fin d’année 2016 pour atteindre un plus bas à 26 USD/baril avant de se redresser suite à l’accord de Vienne en fin novembre 2016. La prévision de 70 USD/baril en moyenne en 2017 envisagée par les experts ne se matérialise cependant pas pour le moment. Les prix, après avoir touché un plus haut à 55 USD/baril ont à nouveau plongé pour se stabiliser aux alentours de 45 USD/baril, fin juin. Les cours avaient notamment atteints leur plus bas niveau en dix mois à la mi-juin, soit une chute de près de 20% du baril depuis un sommet de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) fin mai. L’OPEP et ses partenaires, dont la Russie, ont décidé de poursuivre leur effort de limitation de leur production respective afin de soutenir les cours, mais la Libye, l’Iran et le Nigeria ont augmenté leur extraction. De plus, l’OPEP n’a pas intérêt à ce que les prix flambent, ce qui relancerait le pétrole de schiste aux États-Unis. Les producteurs américains de schiste qui ont subi de plein fouet la chute des cours, verraient d’un bon œil les prix du baril remonter à un niveau leur permettant de retrouver une rentabilité (proche des 55 USD/baril).

La conjoncture économique, financière et sociale sur notre planète ne semble pas satisfaire tout le monde. A en croire les dernières élections, en particulier en Europe, les « masses laborieuses » ne se montrent pas aussi enthousiastes que certains analystes, qui eux, se félicitent des cours historiques des actions, de l’argent généreusement octroyé par les banques centrales aux institutions financières et du soutien inconditionnel de ces mêmes banques centrales pour les actifs financiers « pourris ». En effet, la Banque Centrale Européenne (BCE) rachète les dettes souveraines et mêmes les obligations d’entreprises quand le système n’en veut plus car trop risquées ! Ces rachats à vil prix ne sont pas autorisés stricto-sensu dans les statuts de la BCE, mais des artifices juridiques font fi de ces interdits. Que ne ferait-on pas pour aider les copains ?

Votre argent sert donc bien ce système pourri, inefficace, voire inutile. Les banques exercent-elles encore leur métier d’intermédiaires : à savoir prêter de l’argent à des porteurs de projets, des entreprises désireuses d’investir, à des entrepreneurs ? Le secteur bancaire européen n’en finit pas de se lézarder et de sérieux doutes subsistent au sujet de la « fin de la Crise », ce qui ne manque pas non plus d’inquiéter les marchés. Continuer la lecture 

 

Source : altermedia.info

Le terrorisme low cost et saisonnier

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2017

Coran.jpg

Bernard Plouvier

Tout raisonnement sur le terrorisme djihadiste actuel en Europe doit partir de deux points fondamentaux : le coran et la pomme pourrie.

Le coran est un livre de haine et d’appel au meurtre des « infidèles » (soit : tout ce qui n’adore pas le dénommé allah) et des apostats de la religion mahométane. Que l’on ne vienne pas nous leurrer avec une équivalence djihâd = perfectionnement de soi-même : c’est une fantaisie de soufi ! Le coran est d’une clarté aveuglante, dans un nombre effarant de sourates : le djihâd, c’est tuer tous ceux qui ne veulent pas adorer allah.

La pomme pourrie qui contamine tout un panier de beaux fruits, ce n’est pas une théorie, mais une réalité que tout apprenti récoltant et stockeur de fruits connaît bien. Appliquée au terrorisme, cette contamination explique bien des choses.

Dans un milieu de jeunes mahométans transplantés ou nés en Europe occidentale ou scandinave, l’on se rend très vite compte que seule une minorité de jeunes noirs, maghrébins ou moyen-orientaux vont triompher dans leurs études et obtenir un travail rémunérateur, intéressant et gratifiant. La majorité de ceux-ci ne pourra que végéter dans la médiocrité, pratiquant de petits boulots ingrats, vivre de la charité publique (les allocations diverses), à moins de se lancer dans divers trafics (vente de drogue ou d’armes, vol et rackett, prostitution et proxénétisme).

Pour certains parmi ces ratés sociaux ou ces jeunes programmés pour devenir les rebuts de la société européenne, il existe un pari (assez proche du pari pascalien dans sa finalité) : se lancer dans le terrorisme. D’abord pour connaître les joies intimes de la conspiration en petit groupe uni par le même but, celles de la prise de risque et, par-dessus tout, celles de nuire à des « nantis », à des êtres plus doués, mieux adaptés. Enfin et surtout, l’obtention à tout coup du paradis : effectivement, le coran promet le paradis d’allah à tout muslim (fidèle) mourant pour assurer la propagation de l’islam. À quoi bon vivre honnêtement et prosaïquement s’il est aussi simple d’obtenir une éternité de délices surnaturels.

Pour tuer du pékin qui se rend à son travail, fait ses courses, jouit de vacances bien méritées ou de festivités saisonnières, il ne faut guère déployer beaucoup d’imagination ni investir des sommes folles. Les commanditaires et auteurs des attentats du 11 septembre 2001 à New York voulaient frapper de stupeur l’opinion publique planétaire. Ils ont réussi, mais la réalisation coûta cher et les retombées pour les mahométans d’Afrique, du Proche-Orient et du Moyen-Orient furent détestables.

Le terrorisme des sociopathes agglutinés dans les quartiers mahométans des cités européennes est, à terme, beaucoup plus rentable et à bien moindre coût. Voler un camion ou n’importe quel véhicule assez lourd pour tuer un maximum de promeneurs dans une course au sein d’une foule est à la portée de n’importe quel groupuscule de voyous de banlieue.

De même, s’il est quasiment impossible à un Européen autochtone d’acheter une arme pour protéger sa famille, il est très simple à un mahométan de se procurer un AK-47 ou un Uzi, avec l’argent volé, racketté ou provenant d’un trafic. Au pire, un candidat djihadiste besogneux peut se rabattre sur quelques couteaux à lame en céramique.

Investissement modeste, voire minime, et résultat assuré : les attentats perpétrés en Europe depuis 2014 font généralement une ou plusieurs dizaines de tués et une ou deux centaines de blessés… c’est presque aussi rentable en nombre de victimes que l’envoi de quelques bombardiers sur une cible choisie et c’est infiniment moins coûteux.

Contre ce terrorisme simple, mais efficace, bon marché pour les assassins, et qui se répète de façon épidémique en période festive et aux dates symboliques, il n’est qu’une seule mesure radicale : refouler vers les terres d’islam ces mahométans dont l’Europe n’a que faire.

Si les Européens occidentaux sont trop mollassons, trop corrompus pour assurer le renouvellement endogène de leurs Nations, supprimons le droit à l’avortement de complaisance et importons des Européens de l’est… des vrais, en se souvenant qu’un Rom ne sera jamais un Roumain ou un Bulgare, même s’il est porteur d’un passeport qui l’affirme.

L’islam djihadiste est à l’évidence une religion de haine meurtrière. Ulémas, mollahs et autres bons apôtres nous assurent que le véritable islam ne l’est pas. La lecture du coran infirme absolument ces belles paroles. Il faut imposer la lecture du coran aux Européens pour qu’ils comprennent enfin la dangerosité extrême de ce culte barbare, médiéval, misonéiste et sanguinaire.      

 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier

Source : synthesenationale