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vendredi, 08 septembre 2017

Après avoir découvert l’insécurité, Jean-Vincent Placé songe à arrêter la politique

Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2017

par   6 septembre 2017 

Jean-Vincent Placé, sénateur de l’Essonne et ancien secrétaire d’État, a fait une découverte. L’insécurité n’est pas qu’un sentiment !

Le week-end dernier, Jean-Vincent Placé aurait été victime d’une agression dans les rues de Paris. Trois individus l’auraient frappé pour lui dérober son téléphone portable, sa montre et sa carte bleue. Une situation désagréable déjà vécue par de très nombreux Français depuis de nombreuses années sans que cela n’émeuve jusqu’ici l’élu écologiste.

Rattrapé par le réel, Jean-Vincent Placé fait une curieuse expérience : ce qu’il appelait jusqu’ici le « sentiment » d’insécurité peut fendre une lèvre et casser une dent. Et M. Placé peut s’estimer heureux. D’autres Français ont vécu le « sentiment » d’insécurité de façon bien plus rude encore.

Peu habitué à appréhender le réel, Jean-Vincent Placé a déclaré : «J’aime beaucoup la politique mais cette agression me fait réfléchir à arrêter».

Comme quoi…

 

Source : medias-presse.info

ANTI-CLERICAUX HIER, PRO-ISLAMISTES AUJOURD’HUI.

Publié par Guy Jovelin le 08 septembre2017

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Pieter Kerstens

Ces 40 dernières années, nous avons vécu une réelle « colonisation » de notre continent par des individus issus de terres lointaines, entreprise imaginée, planifiée, organisée et qui nous est imposée par des lobbies aux mains des mondialistes, souvent issus du capitalisme apatride.

Par des études ou des rapports aussi vagues que sectaires, diverses organisations internationales nous matraquent épisodiquement de l’inéluctable obligation de recevoir des dizaines de millions d’immigrés du tiers-monde, au prétexte que ce « sang nouveau » nous sauverait de la décadence démographique, du vieillissement des peuples d’Europe et assurerait la survie de nos caisses de retraites…

- Nul ne propose l’accroissement et le rajeunissement des populations de nos pays par une politique nataliste et des aides à la famille ou à la mère au foyer.

- Nul ne s’élève contre le constat de 25 millions de chômeurs européens qui pourraient être mis au travail, sans l’aide d’un afflux de nouveaux immigrants extra-européens !

- Nul n’envisage le rapatriement de millions de clandestins vivant sur notre sol en réels hors-la-loi, source d’innombrables conflits, de délits divers et de crimes crapuleux.

- Nul ne songe à la fermeture de l’espace Schengen, véritable passoire au trafic d’êtres humains qui, au lieu de voyages périlleux, devraient se réfugier dans les pays voisins de leur patrie respective.

Que dire de la désacralisation de nos églises et de la construction de milliers de mosquées en Europe ?

Depuis plus d’un siècle, les laïcards, les libres penseurs, les francs-maçons et les socialauds-humanistes ont combattu la chrétienté, interdit la soutane dans les lieux publics (de même que les uniformes ou les tenues de pompiers), invectivé les religieuses en cornette et ont mis tout en œuvre pour vider les églises. Cela, décennies après décennies, urbi et orbi, de l’école maternelle jusqu’aux universités, en se servant de leurs dogmes laïcs pour combattre le clergé, partout, encore et toujours anti-chrétiens d’abord !

Mais qu’attendent-ils donc maintenant pour brandir leur idéologie chérie et s’opposer à l’invasion islamique ?

Pourquoi ne manifestent-ils pas avec autant de virulence envers les musulmans qu’ils ne le faisaient hier avec leur haine de la chrétienté ?

Pourquoi tolèrent-ils effectivement la généralisation des sacrifices rituels -barbarie moyenâgeuse- quand ils combattaient les processions chrétiennes ?

Pourquoi ne s’opposent-ils pas au port du voile islamiste, signe de soumission de la femme ?

Pourquoi ces laïcistes gauchisants ne réclament-ils pas la fermeture des mosquées et le contrôle des imams prêchant contre les « valeurs de la République », sans parler de terrorisme ?

L’heure n’est plus à la complaisance ni aux atermoiements : il faut réagir avec fermeté sous peine de disparaître ou d’accepter la servitude …(ou encore la dimmhitude).

 

Source : synthesenationale