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jeudi, 07 septembre 2017

LE « MEMORIEL », UNE LIGNE DE FRONT A NE PAS LACHER !

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2017

 

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Ce mois d’août a été ponctué d’événements divers et variés, dont la criminelle vague d’attaques de nos concitoyens européens par des « détraqués mentaux » n’est pas la moins révoltante… Une curieuse épidémie de folie subite se serait emparée des desservants et des croyants d’une « religion de paix, d’amour et de partage » : attaques au couteau à Levallois, Bruxelles, Londres, ou à la voiture folle comme à Marseille et, surtout, à Barcelone et à Cambrils en Catalogne. La crise des missiles balistiques entre les Etats-Unis et la Corée du Nord tout comme la consécration de la dictature marxiste au Venezuela, ont illustré les pages de politique étrangère de nos journaux. Mais il est un autre événement qui, par sa portée symbolique et, surtout, par ses conséquences, a une répercussion qui va bien au-delà des frontières américaines : je veux parler des manifestations de Charlottesville en Virginie.

La bannière confédérée est inséparable du pays de « Dixie »

Il aura fallu qu’un jeune Blanc paniqué par une horde « d’anti-fas » fonce aveuglément pour s’enfuir dans une foule de manifestants et écrase, malheureusement, une jeune femme, pour que la grosse artillerie de tout ce que les Etats-Unis comptent comme progressistes et anti racistes professionnels et stipendiés, rallume la guerre des symboles.

Il y a déjà des lustres que l’héroïque « southern cross », un rectangle rouge barré de diagonales bleues frappées de 13 étoiles blanches à cinq branches, est pourchassé ici ou là, dans le Sud comme dans le reste des Etats. Déjà, l’actuelle représentante de Donald Trump aux Nations-Unies, ex-gouverneur d’origine indienne de la Caroline du Sud, avait fait enlever ce drapeau du sommet du capitole de Columbia, sa capitale.

La Géorgie, Etat symbole s’il en est de la résistance sudiste, avait banni cette southern cross du battant de son emblème officiel pour le remplacer par un insipide drapeau sans aucune valeur historique. Curieusement, à contrario, dans un Etat comme le Mississippi où les Noirs frôlent les 50 % de la population, le drapeau « maudit » avait été conservé suite à un référendum populaire !

Les défenseurs des droits civiques et des personnes de couleur nous rétorqueront que tous ces signes font revivre un passé qui ne passe pas. Mais c’est faire mentir l’histoire avec un grand « H » que de ne pas tenir compte de la charge émotionnelle que représentent pour les Blancs du Sud, même ceux qui ne sont pas engagés politiquement, ces armoiries, drapeaux, plaques mémorielles et autres statues. Il n’y a pas une petite ville où le soldat confédéré statufié ne se dresse sur une place, en général devant le city hall ou le county court house.

De nombreuses associations font participer leurs adhérents aux reconstitutions historiques des grandes batailles qui ont jalonné la guerre fratricide entre le Sud et le Nord. Même chose en passant, - changeons de continent -, pour les gros bourgs du Transvaal ou de l’Etat libre d’Orange en Afrique du Sud, avec le guerrier Boer immortalisé dans la pierre. Faudrait-il, chez nous, occulter la silhouette familière de nos poilus qui enjolivent bien souvent, nos monuments aux morts ?

Déboulonner la statue du général Robert Lee est un acte « mémoricide » attentatoire à la sensibilité sudiste. D’ailleurs, que peut-on reprocher à ce grand officier, chef de l’Armée de Virginie, que l’on peut qualifier « d’humain », comparé aux « bouchers » du Nord, les Grant et autre Sherman ? Il décrivait l’esclavage comme « un mal moral et politique » et avait affranchi les esclaves vivant sur la propriété de sa femme, quand l’épouse d’Abraham Lincoln, s’était « affranchie », elle, de cet acte d’élargissement, conservant des esclaves jusqu’à la fin de la Guerre de sécession ! Et que dire du père fondateur de l’Union, le célèbre Georges Washington dont on peut voir, à côté de sa maison à Mount Vernon au bord du Potomac, les cases de ses esclaves ? Faudra-t-il le déboulonner, lui aussi, comme « notre » Napoléon en France, coupable d’avoir rétabli – provisoirement – l’esclavage aux Antilles ?

Au tour de Stone Mountain, près d’Atlanta ?

Jusqu’où iront-ils, tous ces néo-profanateurs, jusqu’à détruire l’énorme monolithe de 8 Km de périmètre et de 236 m de hauteur, où les silhouettes géantes des héros confédérés gravées dans le granit, le Président Jefferson Davis et les généraux Robert Lee et Stonewall Jackson, semblent chevaucher côte à côte pour l’éternité ? Cette chasse aux sorcières sudistes est nauséabonde, elle creuse encore un peu plus les fossés qui séparent les Américains. Les plaies, pourtant, ne demandent qu’à cicatriser. Ce nouveau champ de bataille historico-culturel tend à imposer la victoire du politiquement correct à toute une frange de la population qui n’en veut pas. C’est la même chose en Europe.

Pétain et Franco, honnis, relégués aux oubliettes !

La France est-elle à l’abri de ce genre de haines de soi ? Il y a belle lurette que les plaques de rues au nom du vainqueur de Verdun ont été dévissées et remplacées, ici ou là, par des rues du 19 mars ! A Vichy, devant l’hôtel du Parc qui fut la résidence du Maréchal pendant quatre ans avant que les Nazis ne l’arrêtent brutalement et ne l’internent en Allemagne, une plaque explicative ne brille pas particulièrement par son objectivité. En Espagne, le vainqueur de la croisade anti-communiste de 1936-1939 a vu ses statues disparaitre en même temps que « s’évaporait » son patronyme des places, avenues et autres rues de Castille, d’Aragon et autre Andalousie. On parle même de transférer sa tombe ainsi que celle de José Antonio Primo de Rivera (NDLR : fondateur de la Phalange, assassiné par les rouges le 20 novembre 1936), d’ailleurs, du Vall de los Caïdos pour un banal cimetière galicien. La Galice, entre parenthèses, où El Ferrol «  a oublié » depuis bien longtemps qu’elle s’appelait El Ferrol del Caudillo, et que cette cité portuaire était la ville natale de l’ancien Chef de l’Etat.

Honorer les grands noms de notre histoire, les grands événements, fussent-ils controversés, n’est pas attentatoire aux fameux « droits de l’homme » mis à toutes les sauces. Vous verrez qu’au train où vont les choses, avec un Président qui insulte la vérité historique, la France ne tardera pas à considérer que, décidément, on en fait trop, aussi, pour Charles De Gaulle ! En attendant chers amis, si vous traversez certaines villes du 9-3 encore aux mains du PC  « F », vous quitterez la rue Maurice Thorez pour emprunter l’avenue Gagarine avant de déboucher sur la place Duclos ! Courage… Douce, mais pauvre France !

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Source :synthesenationale

Les visites suspectes d'une élue Front National à la maison d'arrêt de Rodez

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2017

Par Laurent Dubois (avec F. Valéry)

La maison d'arrêt de Rodez à Druelle / © MaxPPP
La maison d'arrêt de Rodez à Druelle / © MaxPPP

INFO FRANCE 3 MIDI-PYRENEES - Une élue tarnaise du Front National reconnaît avoir fourni un téléphone portable à un détenu incarcéré à la maison d'arrêt de Rodez. Des stupéfiants auraient également été introduits dans l'établissement.

Par Laurent Dubois (avec F. Valéry) 

Glawdys Ramadji est conseillère municipale (FN) à Albi. Mais elle effectue régulièrement des "allers-retours" vers Rodez. Glawdys Ramadji se rend au parloir de la maison d'arrêt de Druelle, près de Rodez, plusieurs fois par semaine. L'élue Frontiste voit le père de son fils, DB. DB est mis en examen et écroué dans une affaire de vol à main armé. Selon nos informations, c'est à l'occasion de l'une de ces rencontres que Glawdys Ramadji a fourni un téléphone portable à son ex-compagnon.

Un signalement effectué

Selon nos informations, le cellulaire sert à passer des appels vocaux mais aussi à envoyer des Sms. Il a d'ailleurs encore été utilisé entre ce lundi 4 septembre au soir et mardi après-midi pour une communication vers une commune tarnaise. Un signalement a été effectué auprès des services pénitentiaires. La procédure en matière de signalement par une personne extérieure est toujours la même. La Direction Interrégionale, située à Toulouse, doit être informée. Selon nos informations, la maison d'arrêt de Rodez ne respecte pas toujours ce process. Mais, s'agissant du téléphone portable de DB, le signalement a bien été transmis.

Bien évidemment, la détention d'un téléphone portable est interdite dans un établissement pénitentiaire. En cas de découverte par les gardiens une saisie est faite. Il existe également (article 434-5 du code pénal) des conséquences judiciaires. En fonction des juridictions et du profil (récidive ou non) de l'auteur du délit, l'introduction d'un portable peut se traduire par une condamnation ferme ou avec sursis. Une interdiction définitive de visite peut également être prononcée.

Les détenus (condamnés ou prévenus) peuvent téléphoner à l'extérieur. Ils disposent de 8 points phone à la maison d'arrêt de Rodez. Deux dans chaque cour de promenade. Un par étage et un commun aux quartiers d'isolement et disciplinaires. Les conversations sont enregistrées et écoutées. Les enregistrements sont conservés durant 3 mois.

L'élue reconnaît avoir passé le téléphone

Par définition, un téléphone portable "clandestin" échappe à ces règles de surveillance. C'est le cas du cellulaire actuellement en la possession de l'ex-compagnon de Gladwys Ramadji. Contactée par France 3 Occitanie, l'élue albigeoise reconnaît avoir fourni un téléphone à DB. Glawdys Ramadji précise que c'est à la demande de son ex-compagnon et que sa première réaction a été de s'interroger sur l'utilité de disposer d'une carte SIM.

Jamais fouillée lors des parloirs

Glawdys Ramadji précise également n'avoir jamais été fouillée.Selon elle, c'est la preuve qu'elle n'a pas de problème avec les gardiens et qu'elle n'éveille pas la suspicion. Selon nos informations, la conseillère municipale n'est pas particulièrement proche du personnel pénitentiaire de Rodez et elle n'a pas bénéficié d'un régime particulier. Son statut d'élue n'explique pas l'absence de fouille. Il arrive que les visiteurs ne soient pas contrôlés. Y compris lorsqu'un signalement existe. Généralement, c'est le détenu qui fait l'objet d'une palpation.

Des stupéfiants également introduits dans l'établissement ?

Un contrôle aurait pu permettre de récupérer le téléphone de DB. Mais, selon nos informations, des stupéfiants auraient pu également tomber dans les mailles du filet. Gladwys Ramadji aurait profité de plusieurs parloirs pour fournir du cannabis à DB. Ce trafic de stupéfiant aurait également bénéficié à son co-détenu.

La présence de stupéfiants derrière les murs de la prison de Rodez n'a rien d'impossible. Dans un rapport rédigé en janvier 2014, le Contrôleur Général des Lieux de Privation de Libertés précise que du cannabis a été retrouvé sur le chemin de ronde le 2 novembre 2013.

Glawdys Ramadji nie toute implication dans une affaire de stupéfiant. L'élue déclare que son ex-compagnon n'est pas consommateur. Mais, selon nos informations, DB est connu des services de polices pour des questions de "stups". L'élue Frontiste indique qu'elle n'aurait jamais pris le risque d'introduire des stupéfiants en prison : "Je ne suis pas folle. Jamais, je ne ferai cela. Je sais bien que si je fais cela je risque de me faire prendre et de perdre mon fils que l'on va placer à la DDASS".

Contactée par France 3 Occitanie, l'administration pénitentiaire déclare qu'elle "ne peut et ne souhaite pas communiquer sur un cas individuel".

Le Front National demande sa démission

Championne de Taekwondo, Glawdys Ramadji a fait parler d'elle en mai dernier à la suite d'une altercation avec des habitants du quartier de Lapanouse, deux versions des faits s'affrontant. Une enquête avait alors été ouverte.
Après nos révélations sur son implication dans l'introduction d'un portable en prison, le Front National du Tarn a fait savoir qu'il souhaite que l'élue démissionne de ses fonctions de conseillère municipale d'Albi. 
Glawdys Ramadji avait été élue sur la liste conduite par Frédéric Cabrolier en mars 2014. 
 
Source : france3-regions.francetvinfo

Europe – Démographie : La Peste Blanche

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2017

La Peste Blanche

PAR  LE 

Après deux mois passés sous les platanes à écouter le chant des cigales, un verre de Châteauneuf du Pape à la main, un cigare à la bouche, mon ordinateur ou un livre sur les genoux, un chien à mes pieds, et mes petits enfants s’agitant dans le lointain, le temps est revenu de regagner les brumes du « Noooord » et de cesser d’être bêtement heureux.

Tout d’abord, je veux remercier ceux qui ont répondu à mon billet « Travailler, comprendre, partager ». Il semble bien que le consensus soit que l’IDL doive se mettre à créer et éditer des vidéos, courtes, éducatives et si possible amusantes pour toucher un plus large public. Voilà qui est acquis. J’ai déjà pris un certain nombre de rendez-vous avec des lecteurs spécialistes de la chose et qui ont gentiment proposé de nous aider à mieux comprendre comment nous pourrions faire. A suivre donc…

Plus sérieusement, je me suis interrogé sur le sujet de cette première chronique de rentrée qui souvent donne le ton à l’année qui va suivre. Devait-elle porter sur le coup d’Etat larvé contre le Président Trump, qui continue de plus belle au moment où j’écris ces lignes ? Devait- elle porter sur le terrorisme Islamique qui continue à frapper à l’aveugle autour de nous ? Ou encore, me fallait-il décrire la nouvelle donne monétaire qui s’annonce avec la Chine, manœuvrant pour pouvoir payer son pétrole en monnaie chinoise et non plus en dollars, ce qui pourrait changer la face du monde ?

Toutes réflexions faites, je me suis dit que j’allais vous parler de la plus importante nouvelle des quarante prochaines années et cette nouvelle c’est bien sur la disparition quasiment certaine de la population « Caucasienne » en Europe.

Avant de me lancer dans cet exercice, o combien dangereux pour ma respectabilité personnelle et ma chance d’être entendue dans notre belle démocratie, je voudrais rappeler une fois encore une anecdote qui concerne Schumpeter. En 1919, Schumpeter et un ami tombent sur Max Weber dans un café à Vienne et se mettent à parler des communistes en Russie. Calmement, Schumpeter explique que le nouveau régime allait être à l’origine de dizaines de million de mort. Max Weber, qui trouve insupportable que l’on puisse faire une prévision comme celle-là et ne rien faire pour empêcher les massacres, se met à crier de plus en plus fort. Au bout d’un certain temps de ce dialogue de sourd, Schumpeter se lève, prend son manteau et sort. Son ami le rejoint pour lui demander ce qu’il pensait de la dispute. Et Schumpeter fort calme de répondre « Je ne comprends pas qu’un homme aussi bien élevé puisse crier si fort dans un café… »

Pas plus que Schumpeter, je n’aime ce que je vais dire. Mais la méthode scientifique consiste à publier les résultats de ses travaux, même s’ils ne sont pas en conformité avec les aprioris moraux de celui qui les a effectués. Aimer ou ne pas aimer n’a rien à voir avec l’esprit scientifique.

Pour une fois, je ne vais pas parler d’économie mais de démographie, la beauté avec cette science humaine étant que l’on n’a pas besoin de faire des prévisions : Ceux qui sont nés aujourd’hui seront là dans trente ans et ceux qui ne sont pas nés ne seront pas là. Cela est CERTAIN.

Dans cet article, je ferai abstraction de l’immigration nouvelle qui va continuer sans doute dans les trente ans qui viennent, et donc je ne prendrai en compte que les réalités connues aujourd’hui c’est-à-dire les naissances.

Commençons par une petite remarque anecdotique.

Pour la première fois dans l’histoire la quasi-totalité des dirigeants européens n’ont pas d’enfants.

Madame Merkel, madame May, monsieur Macron, les premiers ministres Italien, Suédois, Néerlandais, Luxembourgeois, Irlandais aucun n’a d’enfants. Seuls le Belge, qui vient de remplacer le précédent premier ministre Belge (sans enfant) et l’Espagnol en ont deux chacun…

Ma première remarque est que je ne peux pas m’empêcher de penser que celui qui n’a pas d’enfant n’a pas la même notion du futur que celui qui en a eu. Pour celui qui n’a pas d’enfants, le futur s’arrête sans doute à la prochaine élection ou à sa mort. Après moi, le déluge…

Continuons.

En Allemagne, 30 % des femmes de plus 45 ans et 40 % de celles qui ont eu des diplômes universitaires sont sans enfants et le taux de fécondité (nombre d’enfants par femme) des populations locales hors immigrants est d’environ 1.4. La situation est la même en Italie, en Espagne, en Grèce au Benelux…

Ainsi, en Italie ou en Grèce, 100 grands-parents ont en moyenne 42 petits enfants, offrant ainsi l’exemple même d’une pyramide démographique inversée reposant non pas sur la base mais sur la pointe. Et tout le monde sait que si l’on met une pyramide sur la pointe, elle a une fâcheuse tendance à se casser la figure.

Ce qui m’amène à ma deuxième remarque : les grands parents et les parents ont émis une dette étatique gigantesque lorsqu’ils étaient cent. S’imaginer que leurs petits enfants seront capables de rembourser cette dette alors même qu’ils ne seront plus que 42 relève de l’optimisme le plus béat, à mon humble avis.

Poussons plus loin : ces 100 grands-parents sont tous logés, et parfois fort bien. Penser que l’immobilier va monter quand il n’y aura que 42 acheteurs pour 100 vendeurs est une idée intéressante mais dont j’ai du mal à comprendre la logique. Et c’est tout aussi vrai des voitures, des frigidaires, des chambres d’hôtel, des places de professeurs ou d’obstétriciens, ou que sais-je encore…

Venons-en maintenant aux calculs actuariels.

Imaginons que dans un pays les femmes liées à la population de « souche » aient en moyenne 1.3 ou 1.4 enfant/ femme tandis que la population d’origine immigrée (ce qui veut dire en Europe : musulmane) ait taux de fécondité de 3.4 à 4 enfants par femme.

Postulons qui plus est que cette population nouvelle ne représente que 10 % de la population totale…

Chacun va penser que « bien du temps » va se passer avant que la majorité ne bascule en direction de la population immigrée et que d’ici là tous ces enfants feront comme dans la chanson « et tout cela ça fait d’excellents français », après être passés par notre remarquable système éducatif.

Tout dépend en fait de ce que l’on recouvre par la formule « bien du temps ».

En fait, et si l’on retient mes hypothèses, le basculement se produira au bout de trente à quarante ans. Dans quarante ans, il y aura autant de petits enfants issus des 90 % que de petits enfants issus des 10 %…  Et à ce moment-là, la majorité de la population française deviendra inéluctablement « d’origine musulmane ».

Je ne dis pas que cela sera mal, ou que cela sera bien. Je dis simplement que cela sera fort différent et que nécessairement cela aura de l’influence sur le système politique.

Et donc, dans quarante ans au plus tard, il est à peu près certain que la majorité de la population sera d’origine musulmane, en Autriche, en Allemagne, en Espagne, en Italie, en Belgique, en Hollande.  Encore une fois, il ne s’agit pas de prédictions mais de calculs et je ne fais même pas appel à l’arrivée de nouveaux immigrants.

Je ne verrai pas ce basculement, mais mes enfants le verront sans doute et certainement mes petits-enfants. Ce qui est arrivée à l’Espagne ou à l’Asie mineure au X et XI eme siècle va arriver à l’Europe au XXI eme siècle, c’est une certitude.

Quelques exemples : A Anvers, la majorité des enfants dans les classes du primaire aujourd’hui sont musulmans. C’est donc dire que dans 15 ans, la majorité des nouveaux entrants sur le marché du travail sera musulmane.

A Bruxelles, la capitale de l’Europe, 25 % des nouvelles naissances sont musulmanes, au pays de Galles, en Ecosse le nom le plus populaire à la naissance est Mohamed, et ainsi de suite.

Venons-en à notre pays.

Nos élites se congratulent tous les jours au prétexte que notre taux de fécondité par femme en France serait d’environ 2 enfants par femme, assurant ainsi le remplacement des générations, ce qui est une très bonne chose. Cependant, et pour des raisons que je n’ai pas à expliquer, il est interdit en France de recenser les différentes populations en fonction de leurs croyances religieuses et donc nul ne sait quel est le taux de fertilité des femmes françaises « arrivées récemment », comme il est convenu de les appeler. Habitant une partie de l’année dans la région d’Avignon et allant fréquemment pour des raisons professionnelles à Roubaix, à Toulouse ou dans l’Est de Paris, j’ai du mal à croire que nous ne soyons pas déjà à 10 % de citoyens d’origine musulmane, et que ces 10 % auraient une fécondité par femme de seulement 1.4.

La réalité est probablement que nous en sommes déjà à 90 % de la population ayant un taux de fécondité des femmes de 1. 4, comme partout ailleurs en Europe et que les 10 % restantes (non françaises de souche) doivent être à 4 ou à 5 enfants par femme (ce que je peux constater dans les zones commerciales autour d’Avignon), ce qui nous amène aux alentours de 1.8 pour le taux de fécondité « national ».  (1,4*0.9+4*10).

Nous serions dans ce cas dans la même situation que nos voisins, la seule différence étant que nous aurions plus d’immigrés et/ou que ces immigrés auraient plus d’enfants. Et donc, le basculement arriverait plus tôt chez nous que chez eux.

Une possibilité existe pour atténuer ce phénomène : que 10 % des jeunes femmes françaises depuis longtemps et en âge d’avoir des enfants décident, sans que personne ne comprenne pourquoi un peu comme leurs grands-mères à partir de 1942, d’avoir quatre, cinq, six enfants, ce qui maintiendrait l’équilibre des populations.

J’en vois quelques signes ici ou là dans les milieux très Catholiques…

Conclusion

Les hommes politiques vivent dans un présent perpétuel et essayent de vendre à leurs électeurs l’idée qu’ils sont capables d’arrêter le temps, que tout le monde restera toujours jeune et que ce présent si agréable durera toujours, un peu comme dans la chanson « Plus d’un million d’années, et toujours en été ».

Monsieur Macron a fait toute sa campagne sur sa capacité ‘’magique’’ à arrêter le temps et ceux parmi nous qui vivent fort agréablement ont beaucoup aimé ce message et donc voté pour lui (les autres, une majorité, se sont abstenus ou ont voté contre).

Mais tout enfant sait assez vite que l’été interminable qui commence fin Juin est toujours suivi de la rentrée scolaire en Septembre, où les choses se gâtent singulièrement à chaque fois, du moins si j’en crois mes souvenirs. L’été démographique Français, commencé en 1968 se termine, nous arrivons hélas à sa fin bien que les français aient voté pour que l’été dure toute l’année.  Mais on ne peut voter pour retourner au Paradis, nous en avons été chassés, et il y a bien longtemps. Comme tout un chacun le sait, en France les fins d’été sont souvent difficiles politiquement. Je crains qu’il n’en soit de même pour la fin de notre été démographique qui aura duré de 1968 à 2010 environ, soit les quarante ans habituels.

Et il n’y aura pas d’automne, nous allons rentrer directement dans un hiver démographique qui je le crains ne sera suivi d’aucun printemps…

Notre été sera vraiment terminé le jour où la démographie basculera, tout simplement parce que nous serons devenus minoritaires dans nos propres pays et que la majorité ne fera plus attention aux jérémiades de vieux soixante-huitards, qui seront tous à la retraite ou morts, c’est-à dire insignifiants.

L’immense nouvelle des trente ou quarante prochaines années sera donc la disparition des populations Européennes, dont les ancêtres ont créé le monde moderne.

Et avec ces populations disparaitront les Nations européennes si diverses et si complémentaires qui ont fait l’immense succès du vieux continent depuis cinq siècles au moins.

Comme le disait Toynbee, les civilisations ne meurent pas assassinées, elles meurent parce qu’elles se suicident.

Pierre Chaunu, le grand historien français disparu en 2009, fort inquiet de ce phénomène l’avait appelé la « peste blanche », par opposition à la « peste noire » qui avait décimé l’Europe au XIV eme siècle. Ce suicide, comme tout suicide est un refus de la vie. Dans le fond, l’Europe va mourir parce qu’elle a refusé la vie en privilégiant les cultures de mort.

Ce n’est ni bien ni mal.

C’EST.

NDA

Cette chronique m’a été inspirée par les travaux de l’une des meilleures plumes actuelles, Mark Steyn, Canadien vivant aux USA. Je ne saurai trop recommander à ceux qui lisent l’anglais d’aller sur son site.

https://www.steynonline.com/

http://institutdeslibertes.org/la-peste-blanche/

 

Source : leblogalupus

Le père Martin, l’ami du pape, en pleine divagation

Publié par Guy Jovlin le 07 septembre 2017

par   6 septembre 2017 

La déclaration dite de Nashville (Nashville Statement) aux Etats-Unis a fait grand bruit. Un ensemble d’organisations évangélistes se sont réunies et ont rédigé le 29 août un texte en quatorze points. Sa préparation avait suscité de vastes controverses.

En résumé, si Dieu aime les LGTB, il ne les juge pas moins. En effet il ne peut pas accepter l’homosexualité car il a créé l’homme et la femme ; jamais Jésus n’aurait accepté un mariage homosexuel ou bigame. Se faire homosexuel ou transgenre va contre l’ordre de la Création et la volonté de Dieu. Une telle conduite met ceux qui la pratiquent en dehors de la morale divine. Ceux qui ont une attraction pour le même sexe et vivent dans la pureté sont particulièrement aimés de Dieu. Approuver l’homosexualité et le transgenre est un péché tout aussi grave que pour ceux qui vivent dans cet état : c’est se départir de la foi et du témoignage que tout chrétien doit porter. J’en passe …et des meilleures. Bref, pour les évangélistes, c’est tolérance zéro.

Nous n’en dirons pas plus car rapporter d’autres éléments plus prégnants risqueraient de faire tomber sous le coup de la censure totalitaire et législative concernant l’homophobie.

Cependant ces quatorze points rejoignent l’enseignement traditionnel de l’Eglise sur le sujet. Avec une nuance importante. Celle-ci disjoint le pécheur et le péché. Il ne faut pas juger les hommes mais le principe de vie qui les anime. Ceci se référant à la réponse de Jésus à la femme adultère : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »

La Déclaration de Nashville s’est vue contrée violemment par le père Martin. Ce  jésuite a récemment été nommé par le pape, conseiller à la communication du Vatican. Plus progressiste il n’y a pas. C’est un des hommes-clé de l’autodestruction de l’Eglise. Dans Civilta Catholica, en ce qui concerne l’homosexualité, il lie le péché au pécheur. Comme on ne peut juger le pécheur, il n’y a pas lieu de juger le péché. Curieux sophisme. Mon voisin bat sa femme. Qui suis-je pour le juger aurait dit François ? Il n’y a donc pas lieu de dire que battre sa femme est ignominieux. En pratique le père Martin fait exploser tout l’enseignement de l’Eglise sur la morale

Martin va prendre la mouche sur la Déclaration de Nasville ; bien que ce ne soit pas ses oignons. Il va ainsi envoyer une série de sept tweets qui ont été relevés par le journal (de gauche) Washington Post du 30 août. L’un d’entre eux est absolument incroyable : “I affirm : That LGBT people are some of the holiest people I know”. “J’affirme : que les personnes LGBT sont parmi les plus saintes que je connaisse “. Ah Bon ! Certes Dieu nous appelle tous à la sainteté. Qu’attend donc Martin pour faire partie de LGBT ? A moins qu’il en soit déjà et qu’il est déjà saint sur terre. Qu’il vienne donc se joindre au club homo très discret et calfeutré en bas de l’immeuble que j’habite durant ces vacances…Martin aura tous loisirs pour y exhiber sa sainteté.

Voilà le genre de zigomars qui règnent actuellement à Rome par la grâce de François.

Jean-Pierre Dickès

 

Source : medias-presse.info

L’abbaye de Belval reconvertie en centre d’accueil pour immigrés

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2017

 par   6 septembre 2017 

Le monastère de Belval n’est plus occupé par les sœurs cisterciennes depuis 2012. L’association Vie active y loge depuis le mois d’août des immigrés.

L’abbaye de Belval est en effet devenue l’un des deux CAES (Centres d’Accueil et d’Examen des Situations), avec celui de Bailleul (Nord), dont le ministre de l’intérieur Gérard Collomb avait annoncé la création, le 31 juillet 2017. Ces nouvelles structures sont la réponse gouvernementale à la décision rendue par le Conseil d’État, jugeant que les conditions de vie des migrants à Calais révélaient une « carence des autorités publiques ».

Les immigrés sont logés dans l’ancien logis des religieuses et dans l’ancienne aumônerie, au milieu d’un parc boisé de douze hectares, excusez du peu.

 

Source : medias-presse.info