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mercredi, 20 septembre 2017

Des cas de tuberculose et de gale parmi les migrants du parc Maximilien

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2017

Par: rédaction  19/09/17 - 14h56  Source: Belga

 
© belga.

Environ 100 à 150 agents de police ont couru le risque d'infection par la tuberculose ou la gale lors des actions menées au parc Maximilien, près de la gare du Nord à Bruxelles, a indiqué mardi le syndicat de police ACOD (CGSP) à l'agence Belga, confirmant les informations du journal Het Nieuwsblad. Aucun cas n'a cependant été signalé par les agents.

Après les premières actions d'identification menées dans le parc et ses alentours, des cas de gale et de tuberculose ont été détectés parmi les migrants. Les agents de police craignent désormais une contamination.

Les policiers concernés sont placés sous la surveillance d'un médecin mais, étant donné la durée de la période d'incubation, aucune infection n'a pour le moment été observée. "Nous devons mettre en place une meilleure préparation et nous équiper de moyens de prévention comme un masque et des gants notamment", ajoute le syndicaliste Marc Duplessis.

La police a immédiatement adopté ces mesures. Un médecin est désormais également présent pour évaluer la situation et rassurer les agents.

 

Source : 7sur7

Un contrat d'armement à 3 milliards d'euros aurait aidé à la libération du journaliste Loup Bureau

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2017

Photo © TRISTAN REYNAUD/SIPA
Photo © TRISTAN REYNAUD/SIPA

Otage. Nos confrères de Challenges révèlent en exclusivité qu'un contrat d'armement à plusieurs millions d'euros serait à l'origine de la libération du journaliste français Loup Bureau, retenu en prison en Turquie pendant 51 jours.

C'est une information exclusive révélée par nos confrères du journal économique Challenges : “la négociation en cours d’un contrat d’armement de plusieurs milliards d’euros entre la France et la Turquie a accéléré la libération, le 17 septembre, du journaliste Loup Bureau, détenu pendant 51 jour à Sirnak”, le journal ajoutant que “le sujet sera d'ailleurs discrètement évoqué par Emmanuel Macron et Recep Tayyip Erdogan, lors de leur rencontre, le 19 septembre à New-York”.

“Un contrat à trois milliards d'euros”

Challenges explique que le contrat en question porte sur un appel d'offre du ministère de la défense turc sur l'architecture d'un futur système de défense aérien du pays où le spécialiste de l'électronique militaire français Thalès et le fabriquant européen de missiles MBDA ont concouru ensemble.

 

Source : valeursactuelles

Migrants mineurs isolés : l'Etat s'engage sur une prise en charge financière

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre2017

Migrants mineurs isolés : l'Etat s'engage sur une prise en charge financière
Des mineurs isolés accueilli dans une antenne de la Croix rouge, à Taverny, dans le Val-d'Oise, fin 2002.@ AFP

L'Etat s'engage à octroyer une rallonge budgétaire de 6,5 millions d'euros en 2017 pour soulager les départements. 

L'Etat va donner un coup de pouce à l'enveloppe budgétaire prévue pour les "mineurs isolés", ces jeunes migrants arrivés seuls en France et dont le nombre a fortement augmenté ces dernières années, saturant l'accueil dans certains départements.

Complément budgétaire de 6,5 millions d'euros en 2017. Les ministres de la Justice, Nicole Belloubet, et de la Santé, Agnès Buzyn, ont annoncé lundi un "abondement budgétaire de 6,5 millions d'euros en 2017" consacré au "remboursement par l'Etat aux départements de la période d'évaluation" de ces mineurs. Conformément aux engagements du précédent gouvernement, les départements recevront aussi "30% du coût correspondant à la prise en charge des mineurs non accompagnés supplémentaires" en 2017, ont assuré les ministres lors d'une réunion vendredi avec Conseils départementaux, magistrats et associations. 

Compétence des départements. Ces jeunes relèvent, comme tous les mineurs, de l'aide sociale à l'enfance donc des départements. Mais leur nombre a "considérablement augmenté", passant "de 4.000 arrivées en 2012 à 16.000 en 2016", a reconnu début septembre Emmanuel Macron. Prenant acte de la "charge croissante" sur les Conseils départementaux, le président de la République avait alors demandé au gouvernement des propositions "d'ici la fin de l'année" pour "revoir complètement la question de l'accueil et de l'accompagnement de ces mineurs".

Des "expérimentations" visant à "améliorer la prise en charge et harmoniser les procédures d'évaluation", qui varient d'un département à l'autre, seront mises en place en 2018.

 

Source : europe1