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mercredi, 18 octobre 2017

La stèle du général Salan profanée

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2017

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Passée totalement aperçue dans la grande presse et même dans la presse nationale, cette information nous est donnée dans la livraison de septembre 2017 de Lectures Françaises.

La ville de Saint-Seurin-sur l’Isle, en Gironde, est une commune de 3.000 habitants dont la seule particularité notable fut sportive, puisque ville natale du champion olympique d’équitation (aux Jeux de Séoul en 1988) Pierre Durand et ville dont le club de football, l’AS Saint-Seurin, connu un passage en 2e division de 1989 à 1992, avant que le club ne soit avalé par celui de Libourne en 1998.

Cette sympathique bourgade est dirigée depuis presque un demi-siècle par Marcel Berthomé (DVG), doyen des maires français en activité puisqu’âgé de 95 ans et réélu en 2014 avec… 100 % des voix ! En 2006, l’édile local avait érigé deux stèles commémoratives sur la place du Général Salan. L’une bien entendu en l’honneur du libérateur de Toulon en 1944 et l’autre aux combattants tombés pour la défense de l’Algérie Française, dont la plaque précisait : « Aux fusillés, aux patriotes, aux disparus, aux Harkis tombés pour que vive la France en Algérie ».

Déjà endommagée en 2014 et 2015, la stèle en l’honneur du général a cette fois été totalement saccagée à coups de masse, elle n’est plus qu’un amas de gravats et de pierre brisée. Les faits se sont passés en début d’année mais n’ont été connus que ce mois-ci.

Il n’est pas étonnant que les campagnes de haine antifrançaise visant à accroître la rancœur des colons algériens en France donnent de tels résultats. Les récents propos du sépharade Benjamin Stora, formé par le groupuscule communiste OCI, partisan de la repentance à sens unique et principal vecteur de propagation de la haine antifrançaise (ce qui explique pourquoi la République le paie), qui dirige le Musée national de l’histoire de l’immigration (MNHI), centre apologétique de la colonisation de la France (et qui lui ne risque pas d’être profané), le montre bien. Dans Libération du 13 octobre, il appelle ainsi à plus de propagande coloniale en France, sur le prétendu « apport » des peuplades exotiques dans notre pays, tout en continuant par ailleurs à imposer sa vision falsificatrice de l’histoire et sur la prétendue défaite de la France en Algérie (victoire militaire, comme en Indochine, gâchées par les frères de sang de Stora dans les deux cas).

La destruction mémorielle, c’est la première étape avant le génocide, les Ukrainiens en savent quelque chose…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

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