**Toujours à Limoges : Le corps de Marion C. 35 ans, a été retrouvé jeudi dans le jardin de sa résidence, avenue Marcellin Berthelot, dans le quartier de la gare des Charentes. Les voisins avaient témoigné que la terre de ce jardin avait été récemment remuée. C’est en cet endroit même que le cadavre a été découvert, enveloppé dans un drap. Marion a été tuée d’une demi-douzaine de coups de couteau. Elle avait disparu depuis le 28 mai et son ex compagnon, père de ses deux filles, avait alerté la police dès le 5 juin. Marion C. était connue des services de police pour des affaires de stupéfiants et de vols. On n’en sait pas plus…pour l’instant !
On en sait davantage aujourd’hui : son ex compagnon, qui était activement recherché, a été arrêté ce mardi 19 juin par la police d’Alfortville, en région parisienne. Il s’agit d’un « migrant » en situation irrégulière qui a reconnu avoir tué la mère de famille dans son appartement avant d’enterrer le corps dans le jardin. Il est actuellement en garde à vue.
Montélimar (Drôme) – Jeudi, vers 17 h, un individu âgé de 23 ans se présente au commissariat pour avouer un crime. Il a pris une femme en stop à l’entrée de l’autoroute et il l’a assassinée à l’aide d’un couteau de chasse dans le département du Gard. Les gendarmes se rendent immédiatement sur les lieux, en hélicoptère muni d’une caméra thermique, et découvrent effectivement le corps sans vie de la malheureuse victime, gisant près d’une mare, à quelques centaines de mètres de la départementale entre Sommières et Villevieille. Il s’agit d’une guide touristique, âgée de 38 ans, et résident à Valence. Le meurtrier a simplement déclaré « qu’il voulait s’en prendre à quelqu’un ». Placé en détention on ne sait rien ni de son identité ni de ses origines, selon la formule désormais habituelle !
Toujours à Montélimar. Le corps sans vie d’un homme, âgé d’une cinquantaine d’années, a été retrouvé, par un plaisancier qui a donné l’alerte, flottant sur le Rhône, mains et pieds liés. L’enquête a été confiée à la Police judiciaire.
Toulouse (Haute-Garonne) – Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 2h30, un homme, âgé de 30 ans, qui circulait dans le quartier Saouzelong, est interpellé par un individu qui lui demande une cigarette. Il ne fume pas. L’individu sort un couteau et le poignarde. Le poumon perforé, la victime réussit à trouver refuge chez un habitant du quartier. Transporté à l’hôpital, entre la vie et la mort, il a été sauvé. L’auteur de ce coup de couteau est activement recherché. On connaîtra, peut-être, son identité et ses origines ?
Encore à Toulouse – Jeudi, alors qu’il venait de participer à la fête de la musique, un étudiant fait du stop afin de rejoindre sa voiture, garée assez loin du centre-ville. Il monte à bord d’un véhicule et les deux sympathiques convoyeurs l’agressent immédiatement. Braqué puis kidnappé, sous la menace d’une arme à feu, ils lui dérobent sa carte bleue, puis prennent la route de Montpellier et dans cette ville ils retirent 350 euros, puis foncent sur Avignon, en forçant un péage d’autoroute, et finissent leur périple, de plus de 300 kilomètres, en déposant le malheureux étudiant devant la gare, en centre-ville d’Avignon. Grâce au témoignage de la victime, les deux agresseurs ont pu être interpellés. Ils étaient en possession du téléphone portable de l’étudiant et de 200 euros en espèces. Bien entendu nous ne connaissons pas encore ni les identités ni les origines de ces deux voyous !
Et pour en terminer avec cette région toulousaine, dont il est bien trop souvent question dans les faits divers : Yahya G., 18 ans, paraît-il, clandestin et sans papier, est jugé en comparution immédiate pour trois cambriolages avec effraction et le vol d’un scooter. Tout cela au cours des deux derniers mois, notamment le 16 juin dernier à Grisolles. La veille de sa comparution, Yahya venait d’être condamné par le tribunal pour enfants ( ?) à un mois de détention ferme et deux avec sursis, pour quatre autres délits. « Pourquoi tout cela ? » lui demande le président du tribunal ? – « J’ai pas de travail, j’ai besoin de sou pour m’habiller et sortir avec les collègues. », explique le « jeune majeur ». Il est finalement, et presque en s’excusant, condamné très légèrement à 6 mois ferme et 6 mois avec sursis, mais il ne sera pas expulsé, à son grand soulagement… et même à celui des magistrats. « Vous voulez rester en France ? (Lui demande gentiment le président Lenfantin) alors faites attention car avec ces condamnations votre régularisation s’annonce difficile ! ». On peut se poser la question : Pourquoi ce délinquant primaire devrait être régularisé ? A quel titre ? Il est Marocain et le Maroc est loin d’être en guerre, ni en difficulté financière et économique, que je sache ? Alors laissez-le continuer à voler chez nous, le « pauvre », il a tant besoin « de sous » !
Justement, au sujet de Toulouse, dont nos lecteurs sont régulièrement informés sur les nombreux faits divers qui s’y déroulent, comme dans quelques autres grandes villes, comme Marseille, Grenoble ou encore Rennes, les habitants du quartier Arnaud-Bernard n’en peuvent plus. L’insécurité règne au quotidien dans ce quartier devenu de non-droit. Le président de l’association des riverains, William, n’hésite pas à qualifier la situation de dangereuse et dramatique avec menaces sur les habitants qui, depuis longtemps, doivent se taire sous peine de représailles. Le deal « à ciel ouvert » se concentre entre les rues des Trois piliers, de l’Hirondelle et Saint-Charles : trafic de stupéfiants, bagarres, agressions à l’arme blanche, entre gangs de dealers pour des questions de territoire. Ils ne reculent devant rien, malgré les interventions policières. Nombreux, entre 17 et 40 ans, sont des Algériens et de jeunes clandestins mineurs en situation illégale. Dans les commerces les voyous se battent à coups de machette, avec du sang partout. Plus personnes ne veut s’installer dans ces quartiers. Ils comprennent vite ce qui les attend. Les rideaux se baissent quotidiennement. Tant que la tolérance zéro ne sera pas appliquée, rien ne sera possible… donc rien ne sera plus possible, puisque la tolérance zéro ne sera jamais appliquée !
Paris (10e arrondissement) – Vendredi, le corps d’un homme a été repêché dans le canal Saint-Martin, à hauteur du quai Valmy. L’homme n’a pas pu être identifié puisqu’il ne portait aucun papier d’identité sur lui mais, fort heureusement (on peut respirer un bon coup) il ne s’agit pas d’un « migrant » clandestin (ce qui aurait fait la « Une » de tous les médias de la capitale). Mais, en réalité, est-ce que cette constatation peut nous rassurer pleinement ? En effet, s’il ne s’agit pas d’un « migrant », cet homme a été assassiné, mais par qui ?
Saint-Brieuc (22) – C’est la fête de la musique. Dans la nuit de jeudi à vendredi, il est 3h du matin, rue Saint-Gouéno. Un jeune couple rentre chez lui lorsqu’il est agressé par trois voyous. Roués de coups, le jeune homme et son amie sont délestés de leur téléphone portable. Les voyous prennent la fuite. Ils ne tarderont pas à être interpellés et placés en garde à vue. Il s’agit de trois mineurs, dont deux « migrants », mineurs isolés en situation illégale. Ils ont été aussitôt relâchés et devront se présenter devant le juge pour enfants… si on les retrouve ? L’un des mineurs avait déjà commis des violences sur un agent du conseil départemental chargé justement du suivi des mineurs étrangers isolés. Le second mineur, âgé paraît-il de 17 ans, a refusé de se soumettre à un relevé d’empreintes et à un prélèvement ADN. Vous comprenez pourquoi !
Châtellerault (Vienne) – Lors d’un simple contrôle policier, on découvre une somme de 3700 euros en espèces sur l’individu, déjà connu des services de police parce qu’il avait été condamné pour trafic de drogue. L’enquête, sur la vie de cet individu, permet de découvrir qu’il menait un train de vie luxueux : voyages en Espagne et au Maroc, dans les plus grands hôtels, achats d’articles de luxe payés comptant, etc. Surprenant car il était « sans emploi ». Au cours de la même enquête, les policiers mettent la main sur un autre « Châtelleraudais », également condamné déjà pour trafic de stupéfiants, et déclaré comme « autoentrepreneur » avec un salaire de 1200 euros mensuel et menant un train de vie identique au précédent. Lors de l’interpellation de ces quatre personnes, les deux trafiquants mais également une revendeuse et son compagnon, ont été découverts plus de 20 000 euros d’objets de luxe, notamment 11 paires de chaussures de marque «Louboutin », d’une valeur de 10.000 euros et un fusil à pompe. On souhaiterait vivement connaître les identités et les origines de ces délinquants ?
Chinon (Indre et Loire) – Dans la nuit de vendredi à samedi, les gendarmes sont appelés pour mettre fin à un tapage nocturne. Ils se trouvent face à un individu, apparemment alcoolisé. Ils tentent de le raisonner, de dialoguer. L‘individu, une main dissimulée derrière son dos, s’avance vers eux et, soudain, sort un pistolet. L’un des gendarmes tire à deux reprises. L’individu, né en 1969, connu des services de police et de justice : il compte une dizaine de condamnations sur son casier judiciaire, est tué sur le coup. « Le pistolet brandi par l’individu s’avère être une arme factice mais d’excellente fabrication », explique le procureur de la République de Tours, Jean-Luc Beck. Il n’empêche que le gendarme a été placé en garde à vue, le temps de la procédure et l’Inspection Générale de la gendarmerie a été saisie. Cela n’aurait pas été nécessaire si c’est le gendarme qui avait été tué, en lieu et place de l’individu (dont nous ne connaissons ni l’identité ni les origines) mais qui, il y a quelques semaines, s’était déjà trouvé face aux gendarmes et les avait menacés avec un fusil.
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