Loin de moi l’idée d’être contre les migrants. Ils ont suffisamment de problèmes. Ce que je ne peux pas laisser passer, par contre, c’est qu’ils aient des gestes déplacés devant des enfants. »
Jocelyne Catoen décrit alors la scène à laquelle elle a assisté avec sa petite-fille de 6 ans. « Ils glissaient leur main sous leur slip de bain et se frottaient (le sexe, ndlr). Ils se lavaient peut-être, mais ça ne se fait pas quand on est entouré de femmes et d’enfants. Il s’agit de douches mixtes à la piscine Guynemer. »
(…) Jocelyne s’inquiète. « Ils sont de plus en plus nombreux. Il y a deux semaines, ils étaient une dizaine à l’heure du cours de natation de ma petite-fille. On avait pu se doucher. Sur la dizaine de douches de la piscine, trois restaient libres. »
Mais la situation a empiré la semaine suivante. « Je n’ai rien contre le fait qu’ils viennent à la piscine, mais, cette fois-ci, ils devaient bien être une cinquantaine. Toutes les douches étaient réquisitionnées et, dans les bassins, ils restaient groupés, sans bouger ni nager. Et leurs regards étaient loin d’être amicaux. Les enfants n’osaient pas s’en approcher. »
Les larmes de sa petite-fille l’ont poussée à agir. « Elle qui aime profiter de la piscine après sa leçon de natation ne voulait plus rester. Avec deux ou trois mamans, on a dû créer un passage entre les migrants, pour permettre aux petits d’avoir accès aux vestiaires. Ils étaient effrayés. »
(…)
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