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mercredi, 07 novembre 2018

Macron, cible des Français (et de l’ultra-droite)

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2018

Rédigé par notre équipe le 07 novembre 2018

L’air de rien, la semaine qui a débuté est très politique. Macron saisit les micros qui lui sont tendus, déroule ses discours (peut-être écrits par son tout nouveau « conseiller mémoire ») et en revient toujours au même message. Seul espoir pour une France qui se cherche, le président est si brillant qu’il exciterait une ultra-droite prête à des actions violentes contre sa personne. L’information a été donnée hier et arrive à point pour nourrir le discours sur les heures les plus sombres de notre histoire…

En politique, il faut se créer de faux ennemis pour les battre (facilement) et s’imposer comme la seule solution. Macron est un spécialiste en la matière et depuis plusieurs semaines déjà, l’ennemi est celui qui ne veut pas de l’Union européenne. Autrement dit, il s’agit d’un nazi version 2018 qui est même prêt à s’en prendre aux plus éminents personnages de l’Etat. La preuve, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a arrêté, hier, six personnes soupçonnées de vouloir s’en prendre physiquement à notre bien maigrichon président.

Les nazis sont partout…

La semaine de congés payés (l’hôtel a été réglé par les Macron selon la comm’ de l’Elysée) n’aura pas suffi à remplumer le jeunot. Sur les images officielles, la mine présidentielle n’est pas bien belle malgré les milliers d’euros dépensés en maquillage… Bref, notre président est déjà sur la pente descendante et de méchants individus liés à l’ultra-droite voudraient carrément sa peau. Cinq hommes et une femme âgés de 22 à 62 ans ont été placés en garde à vue. Cette bande disséminée dans plusieurs départements allait-elle supprimer le chef de l’Etat si la DGSI ne les avait pas héroïquement arrêtés ? En fait, personne ne le sait à commencer par la DGSI…

Il s’agit en fait d’une enquête préventive en vue du long passage de Macron dans l’Est de la France. On apprend juste qu’un projet d’action violente était discuté, mais rien de précis à se mettre sous la dent. C’est un peu court pour parler d’ores et déjà d’ « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Des centaines de djihadistes revenus d’Irak et de Syrie n’ont pas eu le droit à ce même traitement. Mais entre islamistes et ultra-droite, la Macronie fait son choix pour mieux narrer les heures les plus sombres de l’Histoire de France…

La DGSI se lance donc dans les arrestations préventives et ceux qui osent porter un gilet jaune se voient, comme à Reims, éconduits par le cordon de sécurité jupitérien. Macron ne doit pas souffrir d’être hué et, pire encore, être questionné par des gueux de Français. Ces derniers ont déjà trop mal traité le favori de Macron – Alexandre Benalla – alors il ne le sera plus permis de l’ouvrir. Oui, oui, le président a cru bon prendre la défense de son ancien garde du corps au cours du pathétique entretien « mené » par Nikos Aliagas.

Espérons retrouver l’animateur d’Europe 1 entre deux chansons de la Star Academy pour qu’il puisse expliquer au peuple qui sont les six individus interpellés et pourquoi le début de commencement d’un projet d’action violente contre Macron est pris plus au sérieux que les préparations d’attentats islamistes contre la France. Une bonne petite piqûre de rappel s’impose !

 

Source : 24heuresactu

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