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samedi, 23 février 2019

Macron veut « adopter une définition de l’antisémitisme qui intègre l’antisionisme »

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2019
 
                                                                                                                                        Auteur : Rédaction

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Macron passant son grand oral devant l’organisme le plus puissant de France

C’est une incroyable prise de position : le sionisme, qui est une idéologie politique (ayant abouti à la création de l’Etat israélien récemment) deviendrait incritiquable.

Alors que l’oligarchie, Macron le premier, vitupère en permanence le nationalisme, il y a un nationalisme qui deviendrait sacré…

Qui pourrait désormais nier la puissance énorme de ce lobby ?

France info :

« Au lendemain des rassemblements contre l’antisémitisme, Emmanuel Macron participe au traditionnel dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), mercredi 20 février au soir, à Paris. Le chef de l’Etat y a annoncé que la France allait adopter la définition de l’antisémitisme de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’holocauste (IHRA) qui intègre l’antisionisme. Une annonce forte attendue par les représentants de la communauté juive.

L’Elysée travaille sur plusieurs pistes, selon les informations de franceinfo : créer d’abord une loi qui engagerait la responsabilité des plateformes sur les contenus antisémites et racistes. Renforcer ensuite l’éducation sur l’utilisation des réseaux sociaux. Jean-Michel Blanquer a écrit aux chefs d’établissements pour qu’ils relancent tous les dispositifs existants. Le ministre de l’Education a notamment lancé une plateforme en décembre pour que les enseignants puissent signaler tout acte de racisme ou d’antisémitisme.

Il n’y aura pas de loi pour pénaliser l’antisionisme, en revanche. Emmanuel Macron a assuré ne pas être favorable à la pénalisation de l’antisionisme, voulue par Francis Kalifat, le président du Crif, et relayée dans une récente proposition de loi. Mais l’Elysée travaille sur la transposition d’une directive européenne, avec une définition de l’antisémitisme qui inclut la négation d’Israël.  »

Pour l’instant il n’y aurait pas de loi particulière, sauf que si l’antisionisme est – de façon absurde – considéré comme un antisémitisme (quid des juifs antisionistes?), il sera forcément passible des tribunaux républicains.


Source : contre-info

mercredi, 20 février 2019

Emmanuel Macron se rend au dîner du CRIF

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2019

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Ce mercredi soir, le CRIF organise son dîner annuel et se vante de la présence du président de la république Emmanuel Macron.

Et pour l’occasion, la télévision israélienne i24news est de la partie et assure le reportage en direct.


Voir l'image sur Twitter
CRIF
 
@Le_CRIF

 - Intervention de @FrancisKalifat, Président du Crif, sur @i24NEWS_FR.
Suivez le 34ème Dîner du Crif en direct sur i24news

 
 

Source : medias-presse.info

Affaire Finkielkraut : Macron en pleine communication politique

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2019

Auteur : Pierrot


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Plus de 72 heures de logorrhée médiatico-politique pour une simple agression verbale en marge d’une manifestation… Beaucoup plus que les 206 viols chaque jour dans l’Hexagone, Beaucoup plus que pour le meurtre de n’importe quel Français, beaucoup que pour l’attentat de Chekatt au marché de Noël de Strasbourg en décembre dernier. La machine médiatique s’est littéralement enflammée pour quelques insultes à l’encontre d’un personnage publique souvent vertement critiqué sur ses propres canaux. De Le Pen à Mélenchon, toute la classe politique s’est bêtement précipitée aux micros des journalistes pour faire un commentaire sans intérêt et accuser l’adversaire idéologique.

La droite « réac » en profite pour tirer à boulets rouges sur les musulmans et la mouvance gauchiste, sans même rappeler que l’agression n’est rien à la lumière de ce que vive quotidiennement des milliers de Français, et qu’en une seule semaine, pas moins de 4 églises ont été profanées…

En attendant, les communicants du gouvernement associent pendant près de 4 jours consécutifs les Gilets jaune à la haine des juifs, et Macron visite dans la même journée, un cimetière juif profané (Quatzenheim) et le mémorial de la Shoah. Il conclut en promettant de nouvelles lois pour combattre la « bête immonde ». L’Elysée réalise ainsi le Grand Chelem de la récupération et de la propagande politique. 

Cerise sur le gâteau, les associations juives réclament de nouvelles mesures liberticides, légitiment leur existence auprès de leur communauté chauffée à blanc et justifient leurs subventions pour l’année prochaine…  

Trouvé sur Le Monde : Emmanuel Macron s’est engagé mardi 19 février à agir, légiférer et « punir », à son arrivée au cimetière de Quatzenheim (Bas-Rhin), où plus de quatre-vingts tombes juives ont été profanées, couvertes de croix gammées. « Ceux qui ont fait ça ne sont pas dignes de la République et elle les punira », a déclaré le chef de l’Etat, qui se rendra ensuite au Mémorial de la Shoah à Paris et s’exprimera mercredi devant le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). « On prendra des actes, on prendra des lois et on punira », a-t-il ajouté, s’entretenant avec des habitants, consternés. Accompagné du grand rabbin de France, Haïm Korsia, et portant la kippa, il s’est ensuite recueilli devant plusieurs tombes, posant une pierre sur l’une d’elles, « pour que le souvenir ne s’estompe pas ». Il a dit sa « honte » et sa « détermination » à lutter contre l’antisémitisme. « Ce n’est pas aux juifs de France de se défendre, c’est à la République », a-t-il ajouté. Cette lutte contre l’antisémitisme ne passera cependant pas par une loi punissant l’antisionisme (l’opposition à l’Etat d’Israël), demandée par certains députés de sa majorité et à laquelle le chef de l’Etat s’est dit opposé.


Source : contre-info

dimanche, 10 février 2019

Emmanuel Macron et Edouard Philippe : ils n’en ont plus pour bien longtemps

Publié par Guy Jovelin le 10 février 2019

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Emmanuel Macron et Edouard Philippe : ils n’en ont plus pour bien longtemps

Selon Bernard Antony :

Les mots se bousculent chez les observateurs et analystes pour désigner le spectacle comportemental que donne désormais presque chaque jour Emmanuel Macron, tel un de ces monarques fiévreux des pièces de Shakespeare parlant durant des heures et des heures, le regard allumé, comme persuadé que, par la magie des chaînes en continu, l’univers l’écoute : frénésie, addiction, narcissisme…

Ce n’est certes pas de la logorrhée, car le personnage monopolise assurément le pseudo-grand débat avec encore un grand étalage de cohérence et de logique.

Mais il parle, il parle, il parle, Emmanuel, autant qu’un Jaurès, la culture classique et le génie oratoire en moins, autant qu’un Castro des premières années, engouffrant vite les questions pour d’interminables réponses dans une fascinante plénitude d’autosatisfaction.

Bien sûr pour chasser son angoisse.

Tant qu’il cause, en effet, il n’écoute pas les mauvaises nouvelles qui tombent de plus en plus comme jadis les balles à Gravelotte.

Celle qu’on voit de moins en moins, c’est Brigitte et quand on l’aperçoit, dissimulant de plus en plus son visage sous une chevelure tombante de griffon ou de bouvier des Flandres, on comprend bien que pour elle aussi l’heure est à l’inquiétude. Mais quand donc s’arrêtera-t-il de causer ?

C’est aussi ce que se demande tout l’entourage gouvernemental et de la République… en marche arrière.

Et voilà qu’on vient d’en apprendre encore de belles sur Benalla. « Quelle scoumoune que ce Benalla », trépigne Macron et désormais avec lui le glabre barbu Edouard Philippe, car la commissaire de police préposée à la sécurité de Matignon a pour compagnon un zigotto totalement compromis dans les coups tordus affairistes de Benalla avec de richissimes Russes aux mœurs financières pas très claires.

Avec ce genre de russes, fussent-ils plus ou moins poutino-compatibles, ça sent vite le roussi !

De surcroît, ce transcendantal imbécile de Castaner a eu l’incroyable maladresse de faire perquisitionner chez Plenel comme naguère chez Mélenchon. Plenel, avec sa bonté de cobra et avec derrière lui toute la solidarité médiatique que l’on sait, ne pardonnera pas.

Les révélations vont se succéder. Macron a toujours la ressource thérapeutique de passer désormais quatre ou cinq heures par jour dans les écoles maternelles de Blanquer.

 

Source : lesalonbeige

samedi, 09 février 2019

La France prête à se brouiller avec l’Allemagne pour assouvir sa russophobie ?

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2019

Rédigé par notre équipe le 08 février 2019.

Derrière les sourires et les embrassades, la relation franco-allemande n’est pas si bonne que la presse d’Etat est sommée de l’affirmer. Paris et Berlin ont des visions et des intérêts différents qui peuvent aller jusqu’au clash. C’est le cas autour du projet de gazoduc Nord Stream 2. Un gazoduc long de 1 200 kilomètres qui doit envoyer directement du gaz russe à l’Allemagne en passant sous la mer Baltique. L’idée est fructueuse pour les deux pays, mais Macron fait tout en coulisse pour que le projet avorte. Le président français est le genre de partenaire dont on se passerait bien.  

Angela Merkel a vu défiler les présidents français un à un. Chirac, Sarkozy, Hollande et désormais Macron. La retraite bientôt venue, elle aura le temps de rédiger ses mémoires et de donner ses impressions sur chacun d’eux. Et si elle ne manie pas la langue de bois, le plus habillé pour l’hiver pourrait bien être Emmanuel Macron. En effet, sous ses apparences de type avenant, toujours le sourire aux lèvres et à la tape dans le dos facile, se cache un roquet qui ne supporte pas qu’il se passe quelque chose en son absence. Macron veut être au centre de tout et désigner l’ennemi, seul, en fonction de ses lubies et des intérêts de l’oligarchie qui l’a érigé au pouvoir.

Quand Macron s’ingère dans les affaires russo-allemandes

Alors quand l’Allemagne s’entend avec la Russie pour un projet ambitieux de gazoduc, le président français voit rouge. Berlin et Moscou se sont mis d’accord pour la construction d’un gazoduc partant de la région de Saint-Pétersbourg avec pout point d’arrivée la côte nord de l’Allemagne. Un trajet à 100 % sous la mer qui longe les eaux territoriales de plusieurs pays historiquement très hostiles à la Russie (les pays Baltes en tête). Peu importe, le projet est légal, financé (près de dix milliards d’euros) et construit à hauteur de 400 kilomètres. Gazprom fournit le gaz, conduit et finance les travaux à hauteur de 50 % tandis que cinq compagnies européennes s’offrent chacune 10 % d’un gâteau qui doit voir 11 % du gaz consommé en Europe traverser la mer Baltique.

Tout est donc parfaitement sur les rails, mais le capricieux Macron rêve de faire capoter le projet. Ses cris d’orfraie n’ont aucun effet mis à part d’agacer une Allemagne qui s’est déjà montrée bien patiente avec lui. La preuve, Merkel a signé la Traité d’Aix-La-Chapelle. Ah, mais c’est un mauvais exemple, car ce texte une soumission de la France à l’Allemagne. Cette fois-ci, en plus d’être un peu pénible, Macron tente carrément de mettre des bâtons dans les roues de Merkel non pas parce que ce projet ferait de l’Allemagne le centre névralgique du gaz en Europe, mais parce qu’il fait aussi le jeu de la Russie.

Avec Nord Stream 2, plus d’intermédiaire ukrainien qui pille le gaz tout en se gavant de redevance de transit. C’est ainsi moins de conflits potentiels et donc moins d’occasions de lancer des sanctions contre un pays qui sert d’ennemi de l’extérieur. Un rôle joué par la Russie à la perfection qui permet à des incompétents notoires comme Hollande et Macron de jouer au petit général en chef. Il faut quand même que la russophobie soit sacrément ancrée dans l’esprit des élites pour qu’elles en viennent à utiliser Bruxelles pour tenter de faire passer une révision de la directive gazière qui aurait pour effet de mettre un terme presque certain au projet.

Ça se tire dans les pattes à Bruxelles, mais officiellement tout va bien. L’ennemi est ailleurs, voire à Rome. Berlin doit rester le partenaire adoré coûte que coûte malgré les coups bas. Cette affaire est typique de la Macronie. Les combats les plus importants se font loin des regards. Pas de déclarations tonitruantes, juste la volonté de tuer politiquement pour de mauvaises raisons. Une stratégie qui finira d’achever un Macron isolé sur la scène européenne. La liste des pays qui le haïsse est déjà impressionnante et il fait tout pour l’allonger. Encore un peu et on pourrait le croire masochiste !

 

Source : 24heuresactu