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vendredi, 24 juillet 2015

Participez à l'Université d'Eté de Civitas!

 Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2015

Cantines : « Seul un tiers de leur approvisionnement vient de France »

 Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2015

Hollande a déclaré ce jeudi qu’il souhaitait que les cantines scolaires et la restauration collective fassent la part belle aux produits issus de l’agriculture française, déplorant qu’à l’heure actuelle seul un tiers de leur approvisionnement vienne de France. La veille au soir, le Conseil départemental de la Mayenne avait annoncé qu’à l’avenir « 100 % des produits servis dans les collèges » seraient d’origine française. Ces engagements sont-ils réellement tenables ? La question se pose car la réglementation des appels d’offres et le droit européen empêchent les cantines de s’enquérir de l’origine des produits.

Aucune mention de l’origine géographique dans les appels d’offres

Pour s’approvisionner, dès que le montant du contrat est supérieur à 15.000 euros H. T., le gestionnaire, qu’il s’agisse d’une collectivité, d’une entreprise ou d’une société de gestion extérieure, doit passer par une procédure d’appel d’offres. Or il est actuellement impossible de mentionner l’origine géographique des produits dans les appels d’offre.

Certes, cette procédure n’est pas obligatoire pour les montants inférieurs à 15.000 euros H.T., et des achats de gré à gré peuvent être réalisés sur simple facture et sans publicité.

La mention de l’origine est contraire aux règles communautaires

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AGRICULTURE : ENFIN ON PARLE DES CHARGES, DES RÉGLEMENTATIONS…

Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2015

Agriculture : enfin on parle des charges, des réglementations…
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jeudi, 23 juillet 2015

Y a un problème ??

 

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mercredi, 22 juillet 2015

Monde paysan : suicides dans les campagnes

Ce reportage réalisé par Armel Joubert des Ouches pour reinformation.tv a pour but de briser le tabou des suicides dans les campagnes mais aussi de réveiller le monde politique qui, quoi qu’il en dise, méprise de plus en plus le monde paysan.

4 à 500. C’est le nombre de suicides d’agriculteurs recensés en France, chaque année, d’après des chiffres provenant des Caisses de la MSA (Mutualité sociale agricole) et de l’INVS, l’Institut national de veille sanitaire. Mais le chiffre réel est sans doute bien supérieur aux statistiques car, pour des problèmes liés aux assurances notamment, beaucoup de décès seraient déclarés dans la catégorie accident ou maladie. Le suicide dans les exploitations agricoles révèle un effrayant constat : par des lois scélérates, par une multiplication des contraintes administratives et environnementales notamment, par le système du « toujours moins cher » auquel on a habitué le monde urbain, le monde politique accule des agriculteurs à mettre fin à leurs jours. Au-delà de toutes ces explications, il y en a une autre, essentielle celle-ci : l’européisme et le mondialisme défendus par le système politique, le dogme intangible de l’ouverture des frontières pour qui la disparition du monde paysan et les suicides dans les campagnes sont de simples « dommages collatéraux ».