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vendredi, 28 juillet 2017

Retour à Maurras : « Ce pays-ci n'est pas un terrain vague ... »

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2017

 

L’hospitalité 

Il s'agit de savoir si nous sommes chez nous en France ou si nous n'y sommes plus ; si notre sol nous appartient ou si nous allons perdre avec lui notre fer, notre houille et notre pain ; si, avec les champs et la mer, les canaux et les fleuves, nous allons aliéner les habitations de nos pères, depuis le monument où se glorifie la Cité jusqu'aux humbles maisons de nos particuliers. Devant un cas de cette taille, il est ridicule de demander si la France renoncera aux traditions hospitalières d'un grand peuple civilisé. Avant d'hospitaliser, il faut être. Avant de rendre hommage aux supériorités littéraires ou scientifiques étrangères, il faut avoir gardé la qualité de nation française. Or il est parfaitement clair que nous n'existerons bientôt plus si nous continuons d'aller de ce train. (…)

immigration_paris-copie.jpgCe pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie.

(…) La jeune France d'aujourd'hui est en réaction complète et profonde contre ce double mal. Elle rentre chez elle. Ses pénates intellectuels, ses pénates matériels seront reconquis. Il faut que l'ouvrier français, le savant, l'écrivain français soient privilégiés en France. Il faut que les importations intellectuelles et morales soient mises à leur rang et à leur mérite, non au-dessus de leur mérite et de leur rang. L'étiquette étrangère recommande un produit à la confiance publique : c'est à la défiance du pays que doit correspondre au contraire la vue de tout pavillon non français. Qu'une bonne marque étrangère triomphe par la suite de cette défiance, nous y consentons volontiers, n'ayant aucun intérêt à nous diminuer par l'ignorance ou le refus des avantages de dehors, mais l'intérêt primordial est de développer nos produits en soutenant nos producteurs. Le temps de la badauderie à la gauloise est fini. Nous redevenons des Français conscients d'une histoire incomparable, d'un territoire sans rival, d'un génie littéraire et scientifique dont les merveilles se confondent avec celles du genre humain.  

Charles Maurras 

L’Action française, 6 juillet 1912

 

Source : lafautearousseau

Quelques mois après avoir été condamné à cinq ans de prison ferme, le chauffard qui a tué Merel De Prins (12) est libre…

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2017 

Rédaction en ligne 

Quelques mois après avoir été condamné à cinq ans de prison ferme pour avoir tué la jeune Merel De Prins suite à un accident en octobre 2015, Muhammed Aytekin est déjà « libre » : il a été libéré sous conditions.

Photonews

Début 2017, Muhammed Aytekin, 22 ans, était condamné à cinq ans de prison ferme par le tribunal de police de Vilvoorde. Le jeune homme avait, en octobre 2015, percuté mortellement la jeune Merel De Prins, 12 ans, alors qu’elle circulait à vélo sur une piste cyclable. Sous le coup d’une déchéance du droit de conduire au moment du drame, le conducteur avait pris la fuite et s’était réfugié à l’étranger avant de se rendre quelques jours plus tard.

Ce mercredi, nous apprenons que Muhammed Aytekin va être libéré sous conditions, cinq mois après sa condamnation. Selon le Nieuwsblad, il souffrirait d’une maladie au niveau des yeux et « il risque de devenir aveugle », selon son avocat. Le condamné aurait déjà passé une série de tests et a été opéré, mais il est en pleine revalidation. Ces raisons ont poussé le tribunal d’application des peines à le libérer sous conditions.

Muhammed Aytekin ne doit pas porter de bracelet électronique. 

 

Source : sudinfo.be