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mardi, 14 novembre 2017

Le frère du chauffard de Blagnac, adepte d'un islam rigoriste, interpellé et écroué

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2017

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Le frère de l'automobiliste qui a renversé sciemment un groupe d'étudiants vendredi 10 novembre, route de Grenade, à Blagnac, a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi et placé en garde à vue dans les locaux de la sûreté départementale.

A la suite des faits commis par son frère, atteint de schizophrénie et écroué depuis dimanche soir 12 novembre, il est soupçonné d'avoir menacé avec une arme son colocataire, à Blagnac.

Adepte d'un islam rigoriste

Il a été arrêté pour "violence volontaire avec arme" et s'expliquera ce mardi devant le tribunal correctionnel, en audience de comparution immédiate.

Cet homme de 32 ans, radicalisé et adepte d'un islam rigoriste, s'en serait pris à son colocataire l'accusant de l'avoir dénoncé aux policiers après la tentative d'assassinat perpetré par son frère cadet.

Deux des trois victimes encore hospitalisées

Le SRPJ de Toulouse en charge de l'enquête sur la tentative d'assassinat poursuit ses investigations. Deux des trois victimes, blessées lors dans la collision, sont toujours hospitalisées mais leurs jours ne sont pas en danger.

Les trois étudiantes blessées suivaient une formation au sein de l'ICD, l'International business school installé sur le campus IGS.

vendredi, 28 juillet 2017

Quelques mois après avoir été condamné à cinq ans de prison ferme, le chauffard qui a tué Merel De Prins (12) est libre…

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2017 

Rédaction en ligne 

Quelques mois après avoir été condamné à cinq ans de prison ferme pour avoir tué la jeune Merel De Prins suite à un accident en octobre 2015, Muhammed Aytekin est déjà « libre » : il a été libéré sous conditions.

Photonews

Début 2017, Muhammed Aytekin, 22 ans, était condamné à cinq ans de prison ferme par le tribunal de police de Vilvoorde. Le jeune homme avait, en octobre 2015, percuté mortellement la jeune Merel De Prins, 12 ans, alors qu’elle circulait à vélo sur une piste cyclable. Sous le coup d’une déchéance du droit de conduire au moment du drame, le conducteur avait pris la fuite et s’était réfugié à l’étranger avant de se rendre quelques jours plus tard.

Ce mercredi, nous apprenons que Muhammed Aytekin va être libéré sous conditions, cinq mois après sa condamnation. Selon le Nieuwsblad, il souffrirait d’une maladie au niveau des yeux et « il risque de devenir aveugle », selon son avocat. Le condamné aurait déjà passé une série de tests et a été opéré, mais il est en pleine revalidation. Ces raisons ont poussé le tribunal d’application des peines à le libérer sous conditions.

Muhammed Aytekin ne doit pas porter de bracelet électronique. 

 

Source : sudinfo.be

jeudi, 20 juillet 2017

Des policiers visés à La Faourette, deux agents blessés par un chauffard

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

   
 

Un individu a délibérément foncé sur des policiers dans la soirée du mardi 18 juillet aux alentours de 20 heures. Avec son bolide il a tenté de percuter à trois reprises les agents qui effectuaient un contrôle d’identité dans le quartier La Faourette à Toulouse. 

Un banal contrôle d’identité peut rapidement dégénérer dans le quartier La Faourette. C’est ce qui est arrivé à deux policiers, mardi 18 juillet vers 20 heures, lorsqu’une voiture roulant à toute allure leur est passée devant à l’intersection des rues Claude Bourgelat et Cuvier. Au vu de la vitesse élevée, les fonctionnaires lui ont fait signe de ralentir. Mais engagé dans l’impasse Cuvier, le chauffard a fait demi-tour et a essayé de percuter l’équipage.

« Le véhicule a surgi à toute allure sur les lieux du contrôle. Au lieu d’obtempérer, son conducteur s’est engouffré dans la rue Cuvier, qui se termine en impasse, où il a fait demi-tour. Et là, il a foncé délibérément, toujours à vive allure, sur les fonctionnaires. L’un d’entre eux a alors été obligé de sauter sur le capot du véhicule de police pour éviter l’impact. » témoigne Didier Martinez, secrétaire régional Unité SGP Police Occitanie, à Actu Toulouse.

La voiture sérigraphiée endommagée, un des policiers a été violemment projeté au sol. Mais l’assaillant ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Il a alors reculé pour visé le second policier qui a bien failli être percuté de plein fouet.

Arrestation musclée et menaces de mort

En prenant la fuite, l’individu est rentré dans des véhicules en stationnement. Il a donc essayé de s’enfuir à pied, mais rattrapé par des policiers venus en renfort, une bagarre a alors éclatée. Tant bien que mal, les agents ont pu le maîtriser, non sans subir des menaces de mort.

Le chauffard, âgé d’une vingtaine d’année a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat central de Toulouse et devra répondre de ses actes devant la justice pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique, rébellion et refus d’obtempéré aggravé. Les syndicats demandent la plus grande fermeté à l’encontre de l’auteur de ces délits, qui aurait pu coûter la vie à deux gardiens de la paix.

 

Source : infos-toulouse

jeudi, 02 mars 2017

Toulouse (31) : Mourad avait traîné un policier sur plusieurs mètres, 3 ans ferme

Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2017

Par le 28/02/2017 

« C’est quand même grave ce que vous avez fait Monsieur », s’indigne Didier Suc, président du tribunal correctionnel de Toulouse devant Mourad, 18 ans, Marocain en situation irrégulière.

Jeudi soir, une brigade composée de trois policiers était en mission de surveillance dans le quartier de la Reynerie. Là, ils ont aperçu un chauffard qui roulait à vive allure et qui a grillé un feu rouge sous leurs yeux (nos éditions précédentes). Ils ont décidé de le contrôler mais il ne s’est pas laissé faire. Bloqué à l’avant par le fourgon de police, il a fait marche arrière et s’est lancé dans une folle course-poursuite. À toute vitesse sur un parking, il a heurté les barrières ce qui a entraîné l’arrêt de son véhicule. Les policiers ont mis pied à terre mais l’individu a redémarré.

Dans sa fuite, il a heurté le chef de bord du fourgon de police au niveau du genou et un autre policier au niveau du bras. Ce dernier a même été traîné au sol sur quelques mètres avant de se retrouver coincé entre la voiture du suspect et la barrière de sécurité. Comme si cela ne suffisait pas, une vingtaine d’individus est sortie pour venir « caillasser » les policiers qui ont dû partir séance tenante.

(…)

Ce chauffard est Mourad Ben Allie. Maigre, veste noire et barbe naissante, il jure n’avoir pas reconnu les policiers. « Je n’ai rien contre la police », se justifie-t-il. Toujours est-il que les conséquences sont lourdes pour le policier blessé. Une attelle et six jours d’interruption totale de travail. Ce dernier, ainsi que ses collègues, sont tous présents pour témoigner (…)

Le procureur Patrice Michel s’agace : « Ce comportement n’est pas normal dans une société civilisée et ce dossier est emblématique du travail quotidien et difficile des policiers qui, en plus des violences, se font caillasser, simplement parce qu’ils sont policiers ». Il ne manque pas de relever la mention présente sur le casier judiciaire de Mourad pour refus de se soumettre à une mesure d’expulsion. Il requiert 3 à 4 ans de prison ferme avec maintien en détention.

Me Djammen Nzepa pour la défense plaide plutôt pour un « mauvais choix au mauvais moment ». Le couperet tombe. Trois ans de prison ferme avec maintien en détention.

La Dépêche

mercredi, 04 juin 2014

Rodéos mortels en banlieue : qui sont ces jeunes qui roulent en Ferrari ? (par Marie Delarue)

Publié par Guy Jovelin

Soit Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis (93), ville de banlieue sur un nœud ferroviaire, entre Romainville, Bobigny et Bondy. Le vendredi après-midi, les gens ordinaires sont au boulot. Je parle ici de ceux qui se lèvent tôt, ou même qui se lèvent tout court. Et puis il y a des gens pas ordinaires qui, ce jour-là, font la fête, et même qui se marient. Je lis d’ailleurs que ça devient très branché, dans les banlieues, de se marier le vendredi.

Bref, vendredi dernier, à Noisy-le-Sec, un père de famille ordinaire était à son boulot. Stationné avec sa camionnette de chantier, il y chargeait des gravats quand une Porsche, qui faisait la course avec un coupé Mercedes dans une rue à la vitesse limitée à 30 km/h, lui est grimpée dessus. Grimpée, c’est bien le mot juste puisque le malheureux a servi de tremplin au bolide pour atterrir dans le tas de gravats. On ne fait pas le poids contre une Porsche lancée à toute allure. Le malheureux n’a pas eu le temps de voir la mort venir.

L’assassin et son ami chauffard, des gens sans doute pas ordinaires, étaient de noce. On ne sait pas le nom des mariés, pas non plus le nom des chauffards – et pourquoi ne le sait-on pas d’ailleurs ? –, mais on a une idée du contenu de leur boîte crânienne : de la bouillie pour kéké, du bling-bling de bas étage, de la frime en veux-tu en voilà, des diams en verroterie, de la Rolex de bazar. Bref, c’était assurément deux c… de la pire espèce.

Comme la mode est aux mariages le vendredi, elle est aussi aux cortèges de frimeurs : des dizaines de voitures dont des bolides dont on fait ronfler les moteurs jusqu’à la limite de la rupture avant de se lâcher pour un rodéo dans la ville.

Excédé par cette surenchère de connerie criminelle, le maire Laurent Rivoire a bien tenté d’y mettre fin : « On a fait ce qu’on pouvait il y a deux ans en faisant signer une charte de bonne conduite à tous les mariés quand ils déposent leur dossier en mairie. Les époux l’avaient signée. Dans la charte, il est demandé de respecter les horaires et le Code de la route dans la ville », a-t-il dit au Parisien. Et après ? Pas de sanctions pour les contrevenants ?

Monsieur le Maire, franchement : pensez-vous vraiment qu’une « charte » soit susceptible de freiner ces abrutis pathologiques, des gens qui n’ont aucun respect d’autrui et ne connaissent sans doute même pas le sens du mot ? Et puis, surtout, dites-nous donc qui ils sont, ces jeunes capables de dépenser en un week-end ce que ne vous rapporte pas votre mandat en une année, simplement pour frimer dans une grosse cylindrée. Il y avait, paraît-il, ce jour-là dans la noce des Ferrari, Lamborghini, Porsche, etc. Renseignement pris, le prix moyen d’une location de ces bolides est autour de 3.000 euros pour le week-end, assorti d’une caution de 10.000 à 15.000 euros.

Qui s’offre cela ? Pas vous, pas moi. Pas non plus l’ouvrier qui chargeait sa camionnette et laisse trois orphelins. Qui alors ? Des jeunes des cités qui vivent du RSA ?

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