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vendredi, 19 août 2016

France: l’imam Abdelali Mamoun accuse les cloches des églises de sonner

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2016

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Dans l’émission C dans l’air diffusée le 17 août dernier et où l’on débattait du thème « Burkini : une polémique française », Abdelali Mamoun (présenté à tort comme l’imam d’Alfortville, Val-de-Marne, alors qu’il n’y officie plus depuis décembre 2013 selon le site Des dômes et des minarets) semble dire qu’il faut que les églises arrêtent de sonner leurs cloches puisqu’on interdit aux musulmans les appels à la prière depuis les minarets… Vous pourrez entendre ses propos dans la vidéo ci-dessous à partir de 23’ 40”… C’est assez troublant (merci à M. A. pour son signalement).

"Comment ça se fait qu'en France des cloches sonnent à chaque heure pour manifester la présence chrétienne en France et que les musulmans eux n'auraient pas le droit d'exprimer leur conviction religieuse. Alors soyons discrets jusqu'au bout et arrêtons toutes ces cloches."

Source

 

Source : lesobservateurs

Difficultés pour le 115, le numéro d’urgence des SDF

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2016

Par le 18/08/2016

Quelque 55% des appels au 115 n’ont jamais abouti en juillet dernier, selon un baromètre de la Fnars. Dans le Rhône, moins de 20% des appels à ce numéro d’urgence aboutissent à un hébergement temporaire.

Manque de places, faible taux de rotation des lits: été comme hiver, il est difficile de répondre au besoin d’hébergement, alors que l’on compte 2.000 personnes vivant dans la rue rien que dans le Rhône.

 

Source : fdesouche

France (vidéo) : dans la capitale de la Bretagne, des groupes de jeunes migrants dépouillent les passants, rudoient les femmes

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2016

PAR LE

rennes-se-mobilise-pour-laccueil-de-migrants(…) Comme souvent, le triptyque immigration-impéritie des autorités locales-exigences des associations a débouché sur une impasse et une situation dont les Rennais du centre-ville sont de plus en plus nombreux à se plaindre. D’après le dossier de presse préparé en 2011 par le Conseil départemental, l’Ille-et-Vilaine, représentait cette année-là le troisième département d’accueil des mineurs étrangers isolés en France.(…)
La gestion des “mineurs isolés” à Rennes devient aujourd’hui un véritable problème de politique et de sécurité publique tant il se conjugue aujourd’hui avec différentes formes de délinquance et d’abus.
Dans le centre-ville, les « mineurs isolés », sont désormais bien connus et ont, semble-t-il, décidé de briser leur isolement en se rassemblant par bandes de quinze à vingt individus en haut de la mythique « rue de la soif » (rue Saint Michel) pour imposer la palpation du portefeuille des badauds, voire importuner les demoiselles, de plus en plus effrayées par les libertés prises par les audacieux « mineurs ». « Les filles qui traversent la place Saint-Michel le soir disent toutes qu’elles ne se sentent plus du tout en sécurité ici.Depuis plusieurs mois, la presse locale rapporte d’ailleurs les incidents qui se multiplient : vols, agressions, cambriolages, rixes. Tout cela commence à faire partie du décor nocturne de la cité bretonne, jusqu’à déboucher sur des affrontements nettement plus importants. Dans la nuit du jeudi 10 au 11 août, un groupe d’une vingtaine de « mineurs isolés » tombent ainsi sur une bande de jeunes Rennais décidés à en découdre et l’affrontement se termine à coups de chaises…et de tournevis, avec deux blessés légers à la clé, avec deux blessés légers à la clé. « J’ai vu un de ces types aller fouiller dans le container à verre pour trouver des tessons de bouteilles et s’en servir pour frapper », raconte un témoin de la scène. Une bonne partie des employés ou des clients des bars alentour s’accordent à dire que la situation devient incontrôlable : « La police est débordée par le phénomène. Ils n’ont pas les effectifs pour faire face à ça », explique un habitant du quartier. « Les types se baladent sans papiers et prétendent être mineurs. Du coup, arrêtés, ils sont immédiatement relâchés. Et une bonne partie d’entre eux ne sont certainement pas libyens ou afghans mais algériens ou marocains. Je ne vois pas trop de quoi exactement ils sont réfugiés », renchérit un autre employé d’un commerce de la rue (…)

 

Source : http://www.causeur.fr/rennes-mineurs-isoles-immigration-3...

jeudi, 18 août 2016

Justice : un islamiste indemnisé par l'Etat

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2016

Éric Pelletier

Farouk Ben Abbes est mis en examen en 2010 pour un projet d’attentat contre une salle de spectacle en France, sur la foi d’informations émanant des services secrets égyptiens. S’il a bénéficié d’un non-lieu, il est assigné à résidence depuis 2015.

(PhotoPQR/ « Est Eclair »/MAXPPP/Jérôme Bruley.)

 

Farouk Ben Abbes, mis en cause dans un projet d'attentat, a reçu 6 000 € après un non-lieu, au titre du préjudice moral, pour trois mois de détention provisoire.

La décision fait grincer des dents les très rares magistrats et policiers spécialisés dans la confidence. L'Etat a été contraint d'indemniser l'islamiste Farouk Ben Abbes « pour préjudice moral » en contrepartie d'une détention provisoire de trois mois.

Cet homme de 31 ans, de nationalité belge et tunisienne, est actuellement assigné à résidence à Toulouse (Haute-Garonne), contraint à un pointage régulier au commissariat central de la ville, compte tenu de sa dangerosité supposée.

Ben Abbes, figure de l'islam radical, est un ami intime de Fabien Clain, l'homme qui a revendiqué les attentats du 13 novembre dans un message audio. Il est soupçonné d'avoir frayé avec une filiale d'Al-Qaïda entre Gaza et l'Egypte. Son nom est par ailleurs cité dans l'enquête sur l'attentat qui a coûté la vie à une adolescente française, Cécile Vannier, le 22 février 2009 au Caire, même s'il n'est pas poursuivi. Lui dément toute implication.

Son indemnisation est l'aboutissement d'un recours pour une détention injustifiée de « deux mois et vingt-cinq jours » entre 2010 et 2011. A cette époque, Farouk Ben Abbes est mis en examen dans le cadre d'un premier projet d'attentat contre le Bataclan, notamment sur la foi d'informations venues des services égyptiens.

« La référence à un préjudice moral peut susciter un certain malaise »

Faute de preuves, le dossier débouche finalement trois ans plus tard sur un non-lieu, ouvrant la voie à un dédommagement financier. C'est ainsi que, le 3 mars 2014, la cour d'appel de Paris donne entièrement raison à Ben Abbes. Elle lui octroie près de 20 000 € pour préjudices moral et matériel. Le ministère de la Justice dépose immédiatement un recours. Du coup, l'affaire arrive dans les mains de la Commission nationale de réparation des détentions. Le 13 janvier 2015, cet ultime arbitrage donne partiellement raison à Farouk Ben Abbes, ne retenant que le « préjudice moral », soit une facture de quelque 6 000 € pour l'Etat auxquels s'ajoutent des frais de justice. Selon une source proche du dossier, l'ardoise a été alourdie de 2 600 € de pénalités, l'administration ayant tardé à payer.

S'agissant d'un homme innocenté dans un dossier judiciaire, le recours de Farouk Ben Abbes relève d'une stricte application du droit. « La référence à un préjudice moral s'agissant d'un islamiste rejetant frontalement les valeurs démocratiques peut susciter un certain malaise », fait valoir un avocat pénaliste familier des arcanes de l'indemnisation. Cette notion de préjudice moral apparaît nécessairement subjective.

Quoi qu'il en soit, cette offensive judiciaire contre l'Etat français pourrait montrer la voie à d'autres islamistes dans un contexte où les procédures antiterroristes se multiplient. Près de 300 personnes sont actuellement mises en examen dans le cadre des procédures dites « irako-syriennes ». Les poursuites relèvent souvent de faits criminels susceptibles d'engendrer de longues années de détention provisoire avant la tenue d'un éventuel procès.

L'affaire replace Farouk Ben Abbes en pleine lumière, après sa rocambolesque tentative d'expulsion vers la Tunisie, sur un vol régulier, le 22 juillet (nos éditions du 9 août). Le ministère de l'Intérieur le jugeait « susceptible, à tout moment, de fomenter, commettre ou apporter un soutien logistique à une action terroriste en France ». Au dernier moment, l'avion, un vol régulier, est empêché de décoller. L'administration se serait rendu compte in extremis qu'un contrôle judiciaire portant sur une affaire ancienne interdisait à Farouk Ben Abbes de quitter le territoire. Il était donc inexpulsable mais « dédommageable ».

 

Source : leparisien

Sisco : Un jeune Corse en colère fait le buzz sur Facebook : plus d’un million de vues en 24h (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2016

La vidéo d’Arnaud Seassari a fait plus d’un million de vues depuis hier sur Facebook.

Source : fdesouche