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vendredi, 02 mars 2018

Quand les politiques singent les SDF pour le bien de la com’

Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2018

Rédigé par notre équipe le 01 mars 2018.

On allait voir ce qu’on allait voir ! Les élus sortant de leurs logements de fonction pour dormir dans la rue avec des sans-abri et montrer aux Français qu’ils s’occupent –eux – des plus miséreux. Une opération de communication pas comme les autres, car sous prétexte d’alerter les citoyens à une situation qu’ils connaissent déjà bien, les élus ont singé le désarroi de personnes qu’ils n’entendent pas vraiment aider.  

Quel courage ! Alors qu’une vague de froid s’abat sur la France et rend hystérique nos journaleux de première classe, quelques élus franciliens (à peine dix) ont décidé de braver les températures polaires pour donner un coup de projecteur sur la situation des sans-abri. L’opération menée par Mama Sy, une conseillère municipale sans étiquette d’Etampes a fait parlé pendant quelques jours. Il fallait faire monter la sauce bien que le plat proposé soit indigeste.

De qui fait-on la com’ ?

En effet, dormir une nuit dans la rue pour montrer que la République est solidaire avec les SDF a quelque chose d’un peu dérangeant surtout dans un pays où le Secrétaire d’Etat à la Cohésion des Territoires estime qu’il n’y a que 50 SDF dans les rues franciliennes… Seuls les élites enfermées dans leur tour d’ivoire peuvent tenir de tels propos. Le Français moyen sait, lui, de quoi il en retourne. Il suffit juste de mettre le nez dehors pour comprendre que les 50 SDF sont au moins mille fois plus nombreux…

A quoi sert de dormir dans un sac de couchage le temps d’une nuit sous la lumière des caméras ? Strictement à rien même si les génies derrière cette opération pensent qu’en faisant le buzz quelques heures ils vont changer quoi que ce soit. Au lieu de dormir sur le bitume froid, ils auraient pu accueillir un SDF chez eux. Leur esprit étroit n’est certainement pas parvenu à cette option qui aurait pourtant fait parlé et vraiment aidé des dizaines de sans domicile fixe.

Oui, mais accueillir un SDF chez soi, cela fait quand même des images moins intéressantes pour les médias. De plus, le SDF aurait peut-être l’idée saugrenue de s’y sentir bien et de supplier de rester une nuit de plus. La solidarité c’est bien, mais il ne faut surtout pas qu’elle empiète sur le bien-être de nos chers élus. Ces derniers peuvent désormais se pavaner sur les plateaux télé en expliquant la mine défaite que dormir dans la rue est une épreuve difficile.

Auront-ils droit à un certificat pour cette performance théâtrale unique ? Espérons-le car il serait quand même dommage que tout cela n’ait servi à rien ! Et si d’aventure, les certificats venaient à se faire attendre, un petit coup de fil à l’Elysée pourrait arranger bien des choses. Dans ce lieu sévit un président qui joue les conteurs pour les enfants du personnel élyséen. Il s’apprête à narrer « Pierre et le loup ». Un emploi qui change peu de son travail habituel fait de sornettes en tous genres.

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 08 février 2018

Vague de froid : Christian, SDF à Paris, « ne sait pas où dormir ce soir » et « n’attend rien de l’État »

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2018

Par  le 07/02/2018  

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Christian Page, sans-abri à Paris depuis trois ans, s’équipe modestement pour se préparer à dormir dans la rue avec un mercure en négatif, sans rien attendre de l’État. Sommelier il y a cinq ans, Christian Page est devenu SDF à la suite d’ »accidents » de vie : chômage, divorce, expulsion de son logement… Il attend un logement d’urgence depuis trois ans.

« Je sais pas où dormir ce soir ». « Je n’attends rien de l’État, il y a beaucoup de gens qui me dépannent, qui m’aident, avec de la nourriture, de l’argent, des vêtements. Il n’y a rien à leur demander, ces gens réagissent naturellement. » 

 
 

Christian Page vit dans la rue depuis trois ans maintenant et l’arrivée de la nuit la plus froide depuis le début de l’hiver à Paris a naturellement inquiété ce sans-abri, qui ne bénéficie pas de l’hébergement d’urgence. « On ne la voit pas arriver, la nuit la plus froide, même si on s’inquiète de la météo. On ne peut pas savoir quand on va se prendre deux heures de neige sur la gueule« , témoigne Christian Page dans Europe Soir mercredi.

« Il y a des gens faibles, qui meurent de froid« . « Après, on s’y attend donc on se prépare. Il faut s’équiper… Moi j’ai des couvertures, des duvets qui me permettent de tenir à une certaine température, je me démerde pas mal« , ajoute-il. Mais Christian Page rappelle qu’avec un mercure en négatif, les sans-abri les plus fragiles succombent à cette vague de froid exceptionnelle : « Je tente de survivre. Je suis en bonne santé, tout va bien pour moi, il n’y a pas de soucis pour l’instant, mais il y a des gens qui sont faibles et qui meurent de froid dans la rue. » […]

 

Europe 1 via fdesouche

mardi, 06 février 2018

LREM a une dent contre les sans-dents

Publié par Guy Jovelin le 06 féveier 2018

Rédigé par notre équipe le 06 février 2018.

La pauvreté fait peur. Elle fait peur aux personnes en situation précaire. Mais elle fait surtout peur aux riches qui voient les pauvres comme des individus à peine humains. Beaucoup pensent que les pauvres ont bien mérité ce qu’il leur arrive. Ils n’avaient qu’à étudier et travailler avec ardeur… Difficile pourtant d’exprimer cette pensée malsaine, mais il faut croire que la parole se libère à l’ombre de Jupiter. C’est ainsi que le député LREM, Sylvain Maillard, a fait connaître sa conception de la pauvreté et des SDF. Âmes sensibles s’abstenir.  

Dans notre société, l’objectif d’une vie est la réussite sociale. Qu’est-ce que le bonheur, une vie familiale heureuse, le don de soi si c’est pour finir sa vie sans une Rolex au poignet et du fric plein les poches ? Il faut rafler un maximum d’argent et ceux qui n’ont pas réussi sont juste bons à aller voter pour les quelques heureux élus. Des dirigeants qui ne peuvent pas même concevoir la pauvreté. Comment des êtres humains pourraient-ils tomber si bas qu’ils dorment dans la rue et se nourrissent grâce à la mendicité et en faisant les poubelles ? Pour certains, il ne s’agit que de marginaux qui préfèrent s’exclure de la si sainte société de consommation.

La détestation des pauvres : l’exemple Maillard

Sylvain Maillard, sémillant député LREM de la 1ère circonscription de Paris est de ceux-là. Enfance heureuse à Versailles, parcours scolaire quelconque, mais marqué du sceau de l’entrepreneuriat, il décroche finalement la timbale en juin 2017. Ses longs et chaotiques débuts en politique qui l’ont vu passer dans toutes les familles du RPR au Modem sont oubliés. M. Maillard est enfin député et il va falloir le suivre au rythme d’un libéralisme débordant. Après six mois dans l’ombre, il a enfin l’opportunité de s’exprimer dans un média (RFI en l’occurrence), il a pu se laisser aller à des confidences et partager son intime conviction sur les SDF.

Bien entendu, ce député anonyme était invité pour parler de l’œuvre déjà grandiose de son patron jupitérien. Ce dernier avait déclaré en 2017 : « Je ne veux plus, d’ici la fin de l’année, avoir des femmes et des hommes dans les rues ». Mission accomplie car en déplacement, la police fait le ménage et ne laisse que des Macron maniac dans son champ de vision et de celui des caméras complices. Macron ne voit plus de pauvres (en a-t-il déjà croisé un ?), mais les SDF sont toujours dans la rue. Pourtant, selon le secrétaire d’Etat à la Cohésion des territoires, Julien Denormandie, ils ne seraient plus bien nombreux : « à peu près une cinquantaine d’hommes isolés en Ile-de-France, pour être très précis ». Un chiffre mensonger qui omet la présence de plusieurs milliers de SDF en Ile-de-France, mais qui passe bien à la radio dans l’optique de faire gober n’importe quoi à l’auditeur macronien.

Cinq minutes dans les rues de Paris suffisent à comprendre l’ampleur du phénomène. Ce ne sont pas cinquante SDF qui restent en Ile-de-France, mais cinquante dans un rayon de trois pâtés de maisons… Difficile de vendre la soupe LREM après des propos aussi grotesques, mais pour Sylvain Maillard, rien n’est impossible. Il faut même enfoncer un peu plus le clou. Il déclare tout de go que le chiffre avancé par le Secrétaire d’Etat « est exact ». Il y aurait une cinquantaine de personnes encore à la rue, car aucune « solution positive, favorable à une mise à l’abri » n’a pu être mise en place. La faute à qui ? Aux SDF eux-mêmes pardi !

« Même dans les cas de grand froid, certains SDF ne souhaitent pas être mis à l’abri » et préfèrent « rester seuls dans la rue ». La misère extrême, c’est un choix. « C’est leur choix » selon le député LREM… Sentant peut-être qu’il est allé un peu loin dans sa détestation des pauvres, Maillard affirme que certains ne veulent pas « être en communauté », d’autres « sont dans des situations psychologiques très compliquées », d’autres encore « souhaitent rester en couples » ou « avec des animaux domestiques ». C’et vrai qu’un couple ou une personne seule avec un chien préfère décliner dans la rue plutôt que dormir le ventre plein et sous un toit en sécurité.

Les défenseurs de Sieur Maillard ne vont pas tarder à plaider la maladresse, et des propos tirés de leur contexte. Ils affirmeront que Maillard est un grand humaniste qui se soucie tant des autres qu’il a créé une société justement pour donner du travail aux plus démunis. Il a beaucoup fait et fera encore plus en tant que député de la nation. Mais que peut-il faire face à « l’immense majorité » de SDF qui sont à la rue « par choix » ? Il peut déjà se taire et démissionner. Au moins la sensation de vertige sera moins forte pour celles et ceux qui tombent sur des propos vraiment nauséabonds.

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 24 février 2017

L’état réel de la France

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2017

POSTÉ LE 23 FÉVRIER , 2017

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Les multiples campagnes présidentielles qui se déroulent depuis des mois ont provoqué un vacarme médiatique assourdissant. Les discours, conférences, interviews, commentaires et commentaires de commentaires se succèdent jour nuit. Mais ce sont des mots. La réalité, c’est autre chose. Que l’on en juge :

La sécurité, c’est 3,75 millions de crimes et délits par an (plus ceux qui ne sont pas déclarés), 802 assassinats, hors attentats islamistes (238 morts, prêtre égorgé et médecins poignardés), et 200 viols par jour. On a enregistré 243 000 cambriolages de logements en 2016, soit une effraction toutes les deux minutes. Imaginons avec optimisme que 10 % seulement des auteurs de ces crimes et délits méritent, une fois jugés, la prison ferme, soit 370 000 individus. Où les mettra-t-on, sachant qu’avec 65 000 détenus, les prisons sont surpeuplées ? 7 500 gendarmes et policiers ont été blessés en 2015 au cours de leur mission, rendue de plus en plus risquée, moins en raison des coups qu’ils reçoivent que des sanctions dont ils peuvent faire l’objet de la part de la justice, apparemment très attentive à protéger de facto les délinquants.

Tous les jours, des manifestations, autorisées ou non, organisées par des associations et syndicats subventionnés par l’argent public, donnent lieu à des pillages de magasins, à des incendies de restaurants ou de voitures, à la destruction systématique du mobilier urbain. Toutes les demi-heures, un incident violent se produit dans les hôpitaux, provoqué souvent par le mari musulman d’une patiente qui doit être soignée sans qu’on la regarde et sans auscultation.

On recense, en outre, en France, 183 bandes armées qui opèrent dans les banlieues des grandes villes, et se livrent presque ouvertement au trafic de stupéfiants. Tous les 15 jours, un adolescent de l’une de ces bandes est assassiné à coups de couteau. Son nom n’est jamais publié et vous savez pourquoi… De façon générale, le vandalisme coûte au contribuable plusieurs milliards d’euros par an.

L’immigration, qui, depuis des décennies, envahit le territoire national, est en grande partie la cause de cette anarchie meurtrière et destructrice. La France compte désormais 10 à 12 millions d’immigrés de tout statut, dont 6 à 8 millions de musulmans, en majorité originaires d’Afrique, beaucoup d’entre eux étant sans qualification ni ressource. Il en arrive environ 1 000 nouveaux par jour. La progression démographique en Afrique, l’anarchie qui y règne, les guerres dans presque tous les pays musulmans, font que cette immigration sans frein ne pourra que s’amplifier, sans possibilité pour les pays dits « d’accueil » de renvoyer ces populations d’où elles viennent. La seule action efficace qui est menée par les États, les organisations internationales et les associations, est de les aider à débarquer en Europe. Les mesures démagogiques de toute nature, claironnées par la presse, sont autant d’appels pour toute la misère du monde à venir en Europe de l’Ouest, et en particulier en France, là où l’immigré sait qu’il sera logé, nourri, soigné et qu’il ne risque pas grand-chose à piller et à voler. Le salaire universel sonne la mobilisation générale pour des dizaines de millions de candidats au départ qui pensent recevoir 1 000 € par mois, simplement en tendant la main, alors qu’en Afrique noire, hormis les dirigeants archi-corrompus, les familles vivent péniblement avec quelques euros par jour.

Tout cela conduit inexorablement à la ruine. La France consacre en effet plus de 700 milliards d’euros à son budget social, chaque année. Soit 31,9 % en pourcentage de PIB. C’est la championne du monde – étant évidemment, de ce fait, la championne du monde des prélèvements obligatoires (57 % du PIB). Si bien que le Français qui a un emploi travaille jusqu’au 29 juillet pour payer les 300 impôts et taxes inventés par l’administration fiscale. Il faut aussi rétribuer quelque 6 millions de fonctionnaires, chiffre en augmentation constante, y compris des jeunes Français surdiplômés mais qui, bien que salariés, sont sans emploi puisque les services sont en sureffectif – avec un absentéisme moyen de 30 jours par an dont le coût annuel est estimé à 140 milliards d’euros, sans parler de 2 millions de jours de grève par an organisées par les syndicats ultra-subventionnés par l’argent public. Ceci explique que les entreprises écrasées par l’impôt et tourmentées par l’État de 1 000 façons sont en faillite (630 000 par an) et surtout n’embauchent pas. Le chiffre du chômage est officiellement de 9,9 % en France. C’est faux. Si on intègre toutes les catégories de chômeurs, on obtient un taux de chômage de 21,2 %, entretenu notamment par les 200 000 jeunes qui sortent de l’onéreux système scolaire sans aucun diplôme, sachant à peine lire, écrire et compter, alimentant les 9 millions d’habitants vivant en France sous le seuil de pauvreté et sans doute les 70 000 SDF des trottoirs, sans parler de ceux qui ont la « chance » d’être logés dans des taudis à vermine. C’est cela la réalité. En même temps, on constate que la balance commerciale de la France reste largement déficitaire avec 48 milliards d’euros de déficit en 2016, alors que la balance allemande est en 2016, positive de 278 milliards d’euros. Dans une France sans croissance réelle, à la désindustrialisation et à la crise agricole, s’ajoutent les déboires du tourisme dus à la dégradation de l’image de notre pays, à la porte de la guerre civile. Personne ne l’ignore. Tout cela se fait, en outre, dans une complexité effroyable. Je relève à ce propos la réflexion de Bernard Zimmern, polytechnicien et fondateur de l’Ifrap, qui écrit dans Les profiteurs de l’État (Plon), page 270 : « Tout est fait pour que personne ne comprenne rien. » 12 700 décrets, 36 269 communes, 13 régions et 101 départements (dont l’un, récemment créé, est entièrement musulman et misérable, mais à la maternité la plus prolifique du monde – ce qui permet de célébrer le « dynamisme démographique rassurant de la France »). Comment peut-on comprendre ce charabia administratif, lorsqu’on relève l’obligation de payer la redevance pour pollution diffuse, la taxe sur les boues d’épuration et celle affectée au CTCPA et au CTIFL, etc. Ainsi en est-on revenu aux cités antiques où le pouvoir était détenu par des grands prêtres au langage secret que le peuple ne pouvait comprendre, n’étant autorisé qu’à se prosterner et à payer !

 

Source : les4verites

jeudi, 05 janvier 2017

Réactions diverses et mélangées ...

Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2017 

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Mardi 3 janvier, journal de 13h de France 2 : 67% des SDF demandant un hébergement d'urgence, en cette période de grand froid, ont vu leur demande refusée. Motif ? Pas de place... Pourtant nous avons tous vu, il y a quelques semaines, ces jeunes gaillards pétant de santé, jeunes, habillés correctement, presque tous avec iPhone dernier cri, manifestement pleins de force et de vitalité, se voir attribuer une très belle chambre individuelle, flambant neuve, tout confort, dans un de ces multiples édifices surgis tout d'un coup de nulle part : école ou caserne désaffectées, gymnase inutilisé, lieux divers laissés à l'abandon et restaurés, pour l'occasion, à grands frais. Oui, amis, voilà : c'était pour disséminer, partout en France, des petits groupes d'Erythréens, Somaliens, Tchétchènes, Kosovars, Soudanais et autres Africains ou musulmans. Une seule solution pour les 67% de SDF français qui crèvent de froid dans la rue : dire qu'ils se sont convertis à l'Islam, et qu'ils s'appellent Rachid, Youssouf ou Mohammed. Ils auront une chambre tout confort dans l'heure...

S'en seront-ils moqués, de Trump, et, entre autres, de son mur destiné à arrêter les migrants venus du Mexique. Et pour en arriver à quoi : à la construction, à Calais, d'un... mur. Eh ! oui, d'un mur, pour protéger les accès au port de Calais des intrusions répétées de migrants sur les voies. 

Implantée sur la RN16, entre la route de Gravelines et la zone Marcel Doret, cette barrière fait un kilomètre de long, et prolonge les quelque 30 kilomètres de grillage, surmonté de barbelés, installés depuis l'été 2015 pour protéger le port et la rocade portuaire.

Ainsi donc, ce que les journaleux et autres grandes consciences du politiquement correct nous présentaient comme l'horreur absolue de Trump, et de son programme, ils l'ont fait !

Mais l'honneur est sauf, nous disent-ils : le mur (22 millions d'Euros tout de même !) a été payé... par les Anglais ! Alors, si ce sont les Anglais qui payent ...

Même le Pape y était allé - lors de la campagne électorale aux USA - de son petit commentaire, disant naïvement - ou inconsidérément... - qu'il valait mieux lancer des ponts que construire des murs ; et conseillant d'accueillir l'autre, d'aller à sa rencontre, de le comprendre.... Sur le fond, en théorie pure, il n'a pas tort. Mais, la vie est-elle une théorie pure ?

Qu'il aille donc dire cela aux pays musulmans, là où les chrétiens n'ont le choix qu'entre la conversion, la mort ou l'exil, alors qu'ils vivent sur leur terre depuis deux mille ans, bien avant l'arrivée des musulmans.

Alphonse Karr disait à quelqu'un qui réclamait l'abolition de la peine de mort : « Abolissons la peine de mort, mais que messieurs les assassins commencent ! » ... 

 

Source : lafautearousseau