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mardi, 04 novembre 2014

De Toulouse à Nantes : tous les casseurs d’extrême gauche relâchés

 

Publié par Guy Jovelin

Alors que Manuel Valls et son gouvernement tentent de ménager son extrême gauche sur le plan politique – Ségolène Royal a invité les opposants au barrage de Sivens à une vaste concertation – , la justice fait soudain preuve d’un laxisme extraordinaire. Alors que des Français ont fait plusieurs semaines de prison après leur arrestation arbitraire dans le cadre de la Manif pour tous, durant laquelle il n’y avait eu ni dégât, ni blessé, tous les – rares – casseurs d’extrême gauche arrêtés, qui ont commis d’innombrables crimes et délits ces derniers jours, ont été relâchés.

À Nantes, sur les 21 racailles interpellées samedi, aucune n’a été jugée en comparution immédiate. Sept ont fait l’objet d’un simple rappel à la loi et sept seront – devraient être – convoquées devant un tribunal correctionnel pour divers délits, mais aucun n’a été maintenu en détention avec que les faits retenus « outrages », « port d’armes » et « violences sur policiers » sont plus graves que ceux retenus contre des militants de LMPT qui ont fait plusieurs semaines de prison. Trois mineurs seront convoqués devant un juge pour enfants.

À Toulouse où de nombreux incendies criminels ont été perpétrés et où les violences ont fait plusieurs blessés, quatre extrémistes ont été jugés. Deux racailles qui ont caillassé des policiers ont écopé de six mois de prison, dont quatre avec sursis et quatre mois, dont trois avec sursis ; ils sont repartis libres du tribunal.

Un autre individu qui a reconnu avoir jeté des parpaings sur les policiers a obtenu le renvoi de son procès et devrait obtenir une peine encore plus clémente. Le quatrième individu jugé, qui portait une arme factice, a été relaxé.

Source

mardi, 22 juillet 2014

On nous avait assuré "un avenir radieux grâce à la société plurielle"...

Publié par Guy Jovelin

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Lu dans Le Point.fr cliquez ici :

"Tout à coup, une centaine de casseurs foncent vers l'entrée du métro Barbès. Une rumeur circule. La Ligue de défense juive serait présente. Aux cris de "Allah Akbar", ils s'acharnent à faire céder les grilles. Après quelques minutes, c'est chose faite. Les caméras de vidéosurveillance sont détruites les unes après les autres. Venue pour manifester dans le calme, Sarah, une étudiante de 19 ans, tente de les dissuader. En vain. Un homme s'amuse à faire résonner son Taser. Un autre déplie son couteau. Les CRS pénètrent à leur tour dans le métro. S'engage alors une bagarre d'une rare violence.
Les casseurs s'attaquent ensuite à l'hôpital Lariboisière. Les vigiles, trop peu nombreux, battent en retraite. "Vous êtes frappés ou quoi ? C'est un hôpital !" s'époumone un vieil homme. "Un hôpital sioniste", réplique un assaillant. Dans le même laps de temps, des barricades enflammées sont érigées sur le boulevard de Rochechouart, les très nombreuses palettes du marché n'ayant pas été enlevées... Une épaisse fumée noire s'élève dans le ciel. Le trafic du métro est suspendu face au danger provoqué par les flammes. Protégés par la police, les voyageurs évacuent les rames en marchant le long des voies aériennes. La réaction des forces de l'ordre tarde à venir. Elles sont dépassées par la tournure des événements, ce dont profitent les casseurs pour redoubler de violence. "C'est la révolution !" s'exclame un homme arborant un autocollant du NPA.

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