Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 16 septembre 2016

Paris : piégée sur Facebook, aguichée à Barbès et violée au Champ de Mars

Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2016

C’est un guet-apens par Internet. Et un viol collectif d’une sauvagerie sans nom dans l’un des plus beaux parcs du centre de Paris.

Une femme, jeune majeure, s’est fait violer par quatre hommes dans la nuit de dimanche à lundi, vers 5 heures du matin, en plein Champ de Mars (VIIe). Les policiers du 3e DPJ (District de police judiciaire), à qui le Parquet de Paris a confié l’enquête criminelle, sont dans une course contre-la-montre pour retrouver et interpeller ses auteurs qui envisageaient de partir le lendemain… en Allemagne.

Les faits ont eu lieu au niveau de l’avenue Charles Risler (VIIe), juste derrière la crèche de la Fondation de la Croix de Saint-Simon. Mais le drame se dessinait avant… La jeune fille, en différend familial, chassée de chez sa mère à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), s’est fait piéger deux jours avant par un prédateur, rencontré sur Facebook. Ils ont entamé une correspondance amicale. Il lui a donné rendez-vous dans la journée de dimanche à Barbes (XVIIIe). Ils ont finalement « fini la soirée sur le Champ de Mars » à « boire du coca, manger des fraises et des raisins ». Sauf que là, ils étaient cinq. Et le piège s’est refermé. Les quatre agresseurs, tous la vingtaine, certains connus des services de police, auraient, d’après les premiers éléments de l’enquête, prémédité le viol en positionnant avant des couvertures dans le bosquet…

Le Parisien

 

Source : lesobservateurs

mardi, 22 juillet 2014

On nous avait assuré "un avenir radieux grâce à la société plurielle"...

Publié par Guy Jovelin

ts-par-2749882-jpg_2384972.JPG

Lu dans Le Point.fr cliquez ici :

"Tout à coup, une centaine de casseurs foncent vers l'entrée du métro Barbès. Une rumeur circule. La Ligue de défense juive serait présente. Aux cris de "Allah Akbar", ils s'acharnent à faire céder les grilles. Après quelques minutes, c'est chose faite. Les caméras de vidéosurveillance sont détruites les unes après les autres. Venue pour manifester dans le calme, Sarah, une étudiante de 19 ans, tente de les dissuader. En vain. Un homme s'amuse à faire résonner son Taser. Un autre déplie son couteau. Les CRS pénètrent à leur tour dans le métro. S'engage alors une bagarre d'une rare violence.
Les casseurs s'attaquent ensuite à l'hôpital Lariboisière. Les vigiles, trop peu nombreux, battent en retraite. "Vous êtes frappés ou quoi ? C'est un hôpital !" s'époumone un vieil homme. "Un hôpital sioniste", réplique un assaillant. Dans le même laps de temps, des barricades enflammées sont érigées sur le boulevard de Rochechouart, les très nombreuses palettes du marché n'ayant pas été enlevées... Une épaisse fumée noire s'élève dans le ciel. Le trafic du métro est suspendu face au danger provoqué par les flammes. Protégés par la police, les voyageurs évacuent les rames en marchant le long des voies aériennes. La réaction des forces de l'ordre tarde à venir. Elles sont dépassées par la tournure des événements, ce dont profitent les casseurs pour redoubler de violence. "C'est la révolution !" s'exclame un homme arborant un autocollant du NPA.

Sans commentaire...