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mercredi, 07 décembre 2016

Corse: Commerçants agressés par des Maghrébins à Ajaccio « Ici on est chez nous, on paye pas ! »

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2016

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Le magasin Intersport d’Ajaccio a reçu une drôle de visite samedi après-midi. Selon son gérant son personnel, son épouse et lui-même ont été agressés par des individus qui ont refusé de payer les produits qu’ils venaient d’acquérir. L’affaire viendra ce mardi devant le TGI d’Ajaccio.

 Corsenet.info

 

 

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Source Fdesouche

jeudi, 01 septembre 2016

« O CORSE, ILE D’AMOUR », (AIR CONNU….)

Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2016

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

L’été, qui n’est pas encore tout à fait terminé, a été fertile en évènements divers et variés. Nous n’aurions que l’embarras du choix pour les commenter. Si l’on met, provisoirement, entre parenthèses la tragédie niçoise du 14 juillet, d’autres faits scandaleux, intéressants ou tout simplement « clownesques », ont animé les pages de nos quotidiens. C’est ainsi que l’on aura noté que des touristes chinois et coréens ont été dépouillés dans notre si sympathique département anxiogène du « 9-3 », observé le rapprochement de la Turquie d’Erdogan avec Israël et la Russie qui a précédé l’irruption des chars de la première en Syrie, constaté l’inespérée défaite de l’African National Congress aux municipales de Pretoria, Le Cap, Johannesburg et Port Elisabeth qui a, peut-être , sonné le glas de l’ANC devenu le marigot des affairistes et autres corrompus comme le Président Jacob Zuma, ou encore souri aux lancements des campagnes présidentielles de Sarkozy et Montebourg ou à celle d’Emmanuel Macron , telle « une lessive qui lave plus blanc », oui tout aurait été prétexte à dissertations et autres exégèses ! Mais, ce qui a retenu mon attention, c’est la résistance de Corses en Corse, province française, face aux provocations d’origine « exotique » sur la plage de Sisco, près de Bastia. Et là, les ligues de vertu antiracistes étaient bien embarrassées.

Les Corses ont démontré « qu’ils en avaient »….

Je le confesse, je n’ai jamais eu une tendresse particulière pour les encagoulés du FLNC. Sans doute parce que les trois premières lettres de ce sigle me rappellent de mauvais souvenirs… Et puis, quel courage faut-il pour se déguiser en pénitent de Séville ou en Grand sorcier du Ku-Klux-Klan, la pétoire à la main, dans la fraicheur du maquis corse pour tenir une conférence de presse ? Mais j’avoue que là, l’avertissement « sans frais » adressé par les activistes du « Front de libération » aux terroristes islamistes potentiels, ont fait raisonner à mes oreilles, une fois n’est pas coutume, une petite musique qui m’est apparue soudainement bien sympathique ! Après l’affaire d’Ajaccio et la rixe de la plage de Sisco les iliens, unis dans leur respectable particularisme régional et linguistique, ont démontré massivement, qu’ils ne se laisseraient pas faire face aux agressions brutales dont les leurs sont victimes. Le ras-le-bol de la population s’était déjà librement exprimé avec vigueur et excès, peut-être, à la suite de l’agression de sapeurs-pompiers dans la nuit de Noël 2015 comme il s’est déchainé après que le samedi 13 aout, des jeunes et des moins jeunes, aient été frappés par des baigneurs, eux aussi d’origine maghrébine, sur une plage de Haute-Corse. Ce qu’a reconnu le Procureur de la République de Bastia, Mr Nicolas Bessone, dans sa conférence de presse explicative.(Sera-t-il muté pour cet acte courageux contre la doxa dominante ?). L’action rapide des villageois contre cette arrogance qui consistait à s’approprier une plage publique pour que les dames musulmanes puissent s’exhiber en toute quiétude dans leur camisole de scaphandrier, scelle peut-être l’acte 1 d’une reconquête territoriale et morale : à l’israélienne, « pour une dent, toute la g…le » ! (1). Les larmoyantes et sempiternelles ritournelles du « pasdamalgame » et du « bienvivrensemble » - vous inviteriez, vous, votre si sympathique voisin barbu en djellaba ? Moi pas ! - ont connu avec la manifestation de centaines de Corses scandant « on est chez nous », un coup d’arrêt peut-être décisif, en tout cas dans l’ile de beauté. Les Corses sont français depuis le XVIIIe siècle, bien avant Nice et la Savoie. Ces deux départements insulaires ont été le premier territoire français métropolitain libéré en 1943. Signe prémonitoire avant une nécessaire reconquête tout autant laïque et républicaine que morale ? Nous allons vivre des moments exaltants. L’Islam qui, ne l’oublions pas, est une religion d’importation contrairement à l’enracinement séculaire du christianisme et aussi, mais plus marginalement, du judaïsme, doit s’adapter au mode de vie de la majorité des Français (mœurs, usages et coutumes) : « à Rome vis comme un Romain ! ». C’est une évidence que, d’ailleurs, de nombreux musulmans ont assimilé.

« La reconquista » ?

L’heure n’est plus aux petites bougies et aux ridicules slogans du type « même pas peur », le moment n’est pas à la repentance de je ne sais quels actes d’un passé colonial dépassé, non, l’heure est à la « reconquista », tout simplement. La décision, redoutable, du Conseil d’Etat dans l’affaire dite du « burkini » est, à cet égard, un mauvais signal adressé dans la torpeur d’un été finissant. Est-ce pour nous étonner ? Les membres de cet organisme comme ceux qui siègent au Conseil constitutionnel, appartiennent tous à l’oligarchie dominante. Dominante pour l’instant ! Affaires à suivre….

(1) Je ne juge pas sur le fond le conflit israélo-palestinien : je constate simplement la redoutable efficacité de certaines méthodes de l’Etat hébreu. Un exemple à suivre, sans scrupules !    

 

Source : synthesenationale

jeudi, 18 août 2016

En Corse c’est la population qui a désormais l’initiative contre les racailles et les islamistes

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2016

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Ici les racailles font la loi

Ici, sur le continent, les racailles et les casseurs font la loi, notamment dans les banlieues prétendumentsensibles, zones de non-droit où les forces de l’ordre n’osent quasiment plus intervenir, obéissant aux consignes d’une hiérarchie tétanisée à l’idée du retour des émeutes de 2005. Alors pas de vagues !

Patrick Kanner, le ministre de la Ville, a courageusement affirmé qu’il y avait « aujourd’hui, on le sait, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek » (1).

Oui, « on le sait », mais on… le tolère. Mieux encore : on finance une apparence de paix urbaine en payant les caïds pour qu’ils calment les jeunes : cela s’appelle la politique de la Ville, sorte de contribution dhimmie payée par le contribuable sefran ou babtou pour que les jeunes n’aient pas « la haine ».

Mais cela marche de moins en moins et, à la première interpellation qui tourne mal, ce sera l’émeute ; et bien sûr, aussi, l’enquête immédiatement diligentée pour vérifier si, des fois, la police ne serait pas coupable de violences injustifiées, comme aux Etats-Unis. Cela se passe toujours ainsi sur le continent, pour le plus grand profit des racailles.

La culture de l’excuse

Car ici les racailles sont toujours des victimes qui font pleurer les bobos et le Syndicat de la magistrature : des victimes du chômage, du racisme ou des « provocations » policières. Sur le continent on en tient pour la culture de l’excuse dès lors que ce n’est pas un Français de souche qui commet un délit ou un crime. D’ailleurs, le racisme antifrançais ou la christianophobie, la justice ne connaît pas.

Sur le continent la population se tait et rase les murs. Car si d’aventure elle s’exprimait, alors la répression « antiraciste » s’abattrait sur elle. Les ligues de vertu bien pensantes, également financées par le contribuable, sont là pour y veiller.

Et la classe politicienne, qui ne cesse de courir après le vote communautariste, emboîte le pas : lorsqu’une violence, un crime ou un attentat sont commis, leur première réaction consiste à proclamer « Pas d’amalgame » ! C’est ce qu’Alain Juppé appelle « garder son sang-froid » (2). En clair : la fermer et se soumettre.

 L’impunité c’est fini

Dans l’Ile de Beauté, où, à la différence du continent, on veille à préserver son identité et sa famille, les choses se passent désormais différemment, comme on le voit depuis quelques mois. En Corse, on ne tolère plus, par exemple, que les « jeunes » caillassent ou agressent les pompiers en toute impunité, comme on l’a vu à Ajaccio en décembre 2015.

Le journal Le Monde titrait alors « Ajaccio sous le choc après les manifestations xénophobes » (3), jouant ainsi son rôle de pleureuse attitrée défendant les malheureux jeunes. Et le préfet, incapable de protéger les pompiers, d’en appeler évidemment à la « sérénité ». Bref, le bla-bla habituel.

Mais ce rideau de fumée politico-médiatique sur fond d’impuissance gouvernementale ne produit plus en Corse les mêmes effets soporifiques que sur le continent.

En Corse, le message d’Ajaccio était clair : l’impunité pour les racailles c’est fini. On ne va pas continuer à se laisser faire.

En Corse on désigne les choses par leur nom

La réaction aux événements qui se sont produits récemment à Sisco est également significative.

Car pour la première fois dans notre pays les autorités de la collectivité de Corse n’ont pas hésité à désigner les choses par leur nom : « Ce sont des comportements provocateurs et des actes violents de la part de personnes étrangères à la commune qui sont à l’origine des faits… assortis d’une revendication explicitement communautariste voire religieuse. Ces faits ont inéluctablement entraîné une intense émotion et une réaction forte de la part de la population de Sisco » (4).

Cette déclaration, qui non seulement désigne les responsables des affrontements mais exprime aussi sa compréhension de la réaction populaire, tranche avec le pathos bisounours et padamalgam que les élus nous assènent habituellement sur le continent après chaque fait similaire.

En Corse on n’a pas peur de désigner l’ennemi : donc on sait encore faire de la vraie politique et on sait encore faire la guerre – alors que sur le continent, déjà en voie de Soumission, on a la trouille de le faire.

En Corse le pathos bisounours et padamalgam ne marche plus

Le ministre de l’Intérieur a, bien sûr, comme d’habitude, « condamné les violences », posture officielle et cynique consistant à mettre sur le même plan agresseurs et victimes. On est habitué ici à ce type de fausse symétrie, mais en Corse cela ne marche plus.

La presse bien pensante cite ainsi avec effroi des déclarations comme celles-ci : « Les agresseurs habitent ici. On veut montrer à leurs frères, à leurs amis et à tous ceux qui les connaissent que nous ne tolérerons jamais ce genre d’actes sur notre terre ! » ; ou bien encore « Agresser un seul Corse, c’est comme agresser toute la Corse. Depuis plusieurs mois, François Hollande nous répète que nous sommes en guerre. Et dans une guerre, quand on est attaqué, il faut répondre. Et pas seulement en allumant des bougies… » (5).

Face à l’islamisme la dissidence a l’initiative en Corse

En Corse ce sont désormais les dissidents hors Système qui ont l’initiative face à l’islamisme et aux racailles : c’est-à-dire les indépendantistes et la réaction spontanée de la population.

Car, en Corse, la réaction populaire l’emporte sur celle des autorités, dépassées parce qu’enfermées, comme en métropole, dans la doxa politiquement correcte.

Comme l’a montré le FNLC dans sa déclaration diffusée dans Corse Matin le 27 juillet dernier, c’est la dissidence qui incarne désormais la grande politique car elle tient un langage de vérité qui rencontre un large écho dans la population.

Le FNLC dénonce ainsi une « radicalisation croissante dans le sud de la Corse » correspondant à la volonté des salafistes de « mettre en place chez nous la politique de Daesh ». Les indépendantistes préviennent aussi (6) que toute attaque contre les Corses fera l’objet « d’une réponse déterminée sans état d’âme ». Ils réclament aussi que les musulmans qui vivent en Corse prennent position clairement contre l’islamisme. Enfin, ils affirment qu’ « il faudra que la France cesse sa propension à intervenir militairement et vouloir donner des leçons de démocratie à la terre entière si elle veut éviter que les conflits qu’elle sème à travers le monde ne reviennent comme un boomerang sur son sol ».

On n’est pas forcé d’approuver en tout le FNLC ni le vocabulaire « anticolonialiste » propre à cette organisation, mais, en quelques mots, tout est dit.

Où sont les hommes ?

En Corse on sait manifestement que ce n’est pas en se soumettant à la violence ou en commémorant ses victimes, comme ne cesse de nous le dire l’oligarchie, qu’on retrouve sa liberté et sa dignité, mais en lui opposant la force, qui seule garantit le droit.

Mais où sont donc passés les derniers hommes ? En Corse manifestement.

Michel Geoffroy
16/08/2016

 

Source : polemia

mercredi, 17 août 2016

Un témoignage de l’agression par des musulmans maghrébins à Sisco en Corse

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2016

Alors que l’agression à Sisco en Corse fait couler beaucoup d’encre et que les médiasmainstream détournent les faits autour du port du burkini, la réalité est bien plus crûe qu’il n’y parait : cette agression démontre en réalité comment une population islamiste se considère conquérante, agressant violemment des personnes. Une tranche de vie somme toute banale de nos jours dans une France de plus en plus islamisée…

 

Source : medias-presse.info

mardi, 16 août 2016

Sisco : agressés par des adultes musulmans, les jeunes Corses répliquent…

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2016

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Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici

une attaque raciste et kouffarophobe qui a eu lieu sur une plage de Sisco au Cap Corse, après que des individus arabo-musulmans s’en soient lâchement pris à des adolescents.

La presse unanime relate l’agression en distinguant bien les agresseurs « des jeunes d’origine maghrébine », « de la communauté musulmane », alors que ceux-ci, aux dires de témoins, auraient en réalité été âgés de plus de 40 ans, tandis que les agressés, non armés, sont « des jeunes Corses » âgés, eux, de 15 à 18 ans.

Le tableau est posé.

Selon le témoignage d’une maman de l’un des agressés, les victimes se trouvaient sur une crique, « armés de leur serviette de plage », lorsque des individus en bandes armés, eux, de « haches, couteaux et harpons » et de matraques sont venus les poignarder, frappant notamment sur la tête le plus petit d’entre eux. Même en bande, le courage n’est pas la qualité première de ceux qui ont pour ordre divin de frapper les kouffars.

Le tort des Corses ? Avoir pris, de loin, des photos du paysage sur lesquels apparaissaient des personnes vêtues de tenues exotiques (les femmes étaient en « burka ») datant d’une lointaine époque et donc aussi incongrues que celles de Jacquouille-la-Fripouille en plein 21e siècle. Ce n’est d’ailleurs certainement pas un hasard si les agresseurs sortis de leur propre Moyen-Age s’en sont également pris aux voitures garées là, puisque les femmes en burka ont crevé les pneus, tout comme Jacquouille en panique devant un moyen de transport moderne frappait « la chariotte du diable » du facteur.

L’affrontement aurait fait une demi-douzaine de blessés, dont une femme enceinte ainsi qu’une autre personne dans un état très grave du côté des Maghrébins.

La maman, décrivant une « scène de guerre » dans laquelle sont intervenus une centaine de policiers et de gendarmes, poursuit son témoignage : « le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre ». Trois des pères des jeunes Corses sont arrivés en premier sur les lieux pour tenter de régler la situation, tandis que l’un d’eux aurait esquivé un coup de couteau, avant qu’un autre ne se prenne un coup de harpon.

« Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours », a déclaré la sœur de l’un des agressés.

Un témoin a déclaré que les agresseurs, âgés de 40 à 50 ans et, semble-il, d’origine marocaine, ont crié « Allah akhbar ! On est chez nous ! », avant de continuer : « on va niquer vos femmes, on va les mettre pleines ! On va s’en prendre à vos enfants ! ». Bref, rien que du classique. Une femme aurait également été lapidée par des Maghrébins, selon un autre témoin de la scène.

Pour comble de crétinerie, des membres des musulmans agresseurs ont mis le feu à leurs propres véhicules…

Après cette attaque par des adorateurs de Mahomet, on ne peut que féliciter la ténacité du maire de Cannes ainsi que celle de Lionnel Luca à Villeneuve-Loubet de n’avoir pas cédé aux revendications communautaires d’islamistes désireux d’appliquer la charia sur notre sol, la justice ayant donné raison à ceux-ci en raison du trouble à l’ordre public que le port du burkini ne pouvait que générer. Nous n’avons, en effet, pas vocation en France à tolérer des revendications d’un autre âge ostensiblement idéologiques, sexistes et porteuses de sous-entendus accusatoires laissant entendre que tous les hommes en France seraient des violeurs potentiels de musulmanes.

Lionnel Luca avait rédigé un arrêté stipulant que « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » serait interdit. La charia n’a en effet pas lieu d’être en France.

C’est dans ce contexte qu’en fin de matinée, ce dimanche, suite à cette agression kouffarophobe, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. Parmi eux, certains ont crié « aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ! ».

Nous ne pouvons qu’encourager et féliciter nos amis corses pour leur courage et leur refus de ne pas se laisser marcher sur les pieds par la racaille islamiste.

De même, on peut s’interroger sur l’incapacité de Bernard Cazeneuve de faire régner l’ordre « républicain » sur notre territoire, rôle qui lui est pourtant dévolu et pour lequel il est grassement payé. On ne peut que constater que le résultat de sa politique laxiste joue davantage en faveur des racailles qu’en faveur du peuple qu’il est supposé protéger.

Il va falloir que cet improbable régime socialiste annonce clairement la couleur : soit il installe l’islam incompatible avec notre civilisation sur notre sol afin de nous faire disparaître, soit il nous défend de cette « idéologie d’agression » hostile à toute élévation intellectuelle, à toute beauté, et surtout à toute tolérance. En tout cas, il ne peut y avoir cohabitation. Quand on se rend à la plage avec des haches dans le but de frapper des non musulmans, ainsi que l’ordonne le coran, c’est qu’on a la volonté de nuire, qu’on est en guerre.

Si on est en guerre, alors il faut bouter l’ennemi hostile hors de nos frontières françaises afin de protéger les nôtres, point barre.

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Source : synthesenationale