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jeudi, 14 février 2019

La Corse se débarrasse de ses migrants et les envoie en rétention à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

Par  le 13/02/2019 
 

Des pratiques illégales et absurdes ! La Cimade entend ainsi dénoncer le sort réservé à des migrants interpellés en Corse.
Selon l’association d’aide aux réfugiés et demandeurs d’asile, la Corse traite en effet des migrants « avec mépris » et en dépit du bon sens.

Depuis le début de l’année, 14 personnes interpellées en Corse ont été placées en rétention à Toulouse (au centre de Cornebarrieu). Elles ont d’abord passé 48 heures dans un local de rétention à Bastia puis elles ont été acheminées vers Toulouse en avion en passant par Paris sous escorte policière.

[…]

Pour la Cimade, « ces procédures sont tant financièrement qu’humainement, très coûteuses.  Elles sont particulièrement absurdes et inefficaces. Elles traumatisent durablement les personnes qui en sont victimes et qui sont privées de liberté. »

France 3 via fdesouche

lundi, 24 septembre 2018

Ajaccio : un jeune Corse blessé au visage après avoir subi une attaque au couteau, l’agresseur serait un Nord-Africain

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2018

Par  le 24/09/2018

 

Dimanche soir, un rassemblement d’une centaine de personnes s’est tenu devant la gare d’Ajaccio. Un événement qui fait suite à l’agression au couteau d’un jeune homme dans la nuit de samedi à dimanche. 

(…) Un jeune homme d’une vingtaine d’années est blessé au visage par un coup de couteau entre l’oreille et le coin de la bouche. Il est transporté au centre hospitalier d’Ajaccio où lui sont prodigués 30 points de suture. (…)

Dans la journée de dimanche, le groupe de supporters Orsi Ribelli, dont la victime fait partie, et Nazione, regroupement politique créée suite aux événements des Jardins de l’empereur en 2016, appellent au rassemblement.

Dans un communiqué, les Orsi Ribelli dénoncent un « acte d’une lâcheté sans nom » et précisent que l’agresseur est « d’origine nord-africaine, déjà connu par la justice pour des faits similaires ».

La mobilisation, organisée sur les lieux de l’altercation, a rassemblé une centaine de personnes.

France 3 via fdesouche

vendredi, 04 mai 2018

France: Une musulmane veut interdire le drapeau corse « Nous avons demandé de l’aide à une association pour élaborer une pétition. »

Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2018

 

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 Bien entendu, pour cette femme les invasions musulmanes et leurs massacres sur territoires européens ne sont aucunement un problème. Au contraire, le fait de s'opposer aux musulmans lui est visiblement insupportable puisque ce drapeau symbolise la résistance des Corses aux Maures musulmans.

**********

"Je viens d'apprendre avec horreur que sur le drapeau Corse c'est une tête de Maure. Autrement dit un arabe décapité ! Comment peut on laisser à un département Français une horreur pareil comme symbole ?

Je ne répondrais pas au flot d'insultes que je reçois. Sachez que dès ce matin, nous avons commencé avec l'aide de notre asso à élaborer une pétition visant à faire interdire ce drapeau qui est insultant, raciste et violent. Je vous tiendrais informé. Arrêtez d'insulter merci."

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A noter que cette même musulmane prétend que dénoncer les appels au meurtre du coran est... de l'islamophobie (voir image plus bas). En clair s'opposer à la christianophobie et à l'antisémitisme est interdit. Et cette femme se présente en "défenseuse (sic) des droits de l'Homme"...

Ne vous inquiétez pas, Samira a pu bénéficier de tous les avantages possibles des kouffars en France, pays qu'elle remercie à sa manière en militant exclusivement contre les racines chrétiennes.

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Source Twitter via lesobservateurs

vendredi, 19 janvier 2018

Corse : deux surveillants de la prison de Borgo agressés par trois détenus

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2018

Par  Mis à jour le 19/01/2018 

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Deux gardiens de la prison de Borgo (Haute-Corse) ont été grièvement blessés ce matin par trois détenus, dont un suivi pour radicalisation, ce vendredi. Les deux hommes, dont l'un a été plus gravement touché que l'autre, ont été transférés vers l'hôpital de Bastia, a indiqué la procureure de Bastia, Caroline Tharot.

Selon la direction de l'administration pénitentiaire, les deux surveillants, dont le pronostic vital n'est pas engagé, ont été attaqués par trois détenus de droit commun, et non par un seul comme indiqué dans un premier temps. L'un de ces trois détenus est suivi pour radicalisation religieuse, a-t-on précisé de même source à l'AFP.

Les trois détenus seraient retranchés dans leurs cellules et refuseraient d'en sortir. Un périmètre autour de la prison a été bouclé et une dizaine de véhicules de CRS sont arrivés vers 11h devant la maison d'arrêt, où la direction de l'administration pénitentiaire a confirmé à l'AFP qu'une opération de police était en cours.

Des soupçons de radicalisation pesaient sur l'un des détenus. Ces dernières ont été confirmées récemment par des écoutes téléphoniques transmises à la procureure, qui a ouvert une enquête. "Il s'agit d'une grosse agression, l'un des deux gardiens était inconscient et l'auteur est un détenu qui avait déjà une fiche signalétique sur son comportement", a indiqué à l'AFP Maxime Coustie, délégué régional UFAP.

 

Source : lefigaro

lundi, 20 mars 2017

"Est-ce que tu crois en Dieu en Allah ou en Yahvé?" : l'enquête qui crée la polémique à l'école

Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2017
Par Julian MATTEI--19 mars 2017 
 
ARCHIVES J. F.
De l'aveu même du rectorat, le sujet est "hypersensible". Il met en émoi le monde de l'éducation insulaire et au premier chef les syndicats d'enseignants. La cause de cette inquiétude ? Deux questionnaires d'une vingtaine de pages chacun sur la "diversité en Corse" - émanant de l'Ecole supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE), réalisés à la demande du président de l'assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, dans le cadre d'une commission chargée de travailler sur la diversité culturelle - que Corse-Matin a pu consulter.

Le premier vise les écoliers du primaire, le second les collégiens et les lycéens, invités à répondre de manière anonyme à quelque 70 questions à la teneur parfois surprenante.

"Est-ce que tu portes une croix, une kippa, un voile ?"

Ainsi les questions N°51 à 60, sont axées sur les pratiques religieuses des élèves et de leur famille ("As-tu une religion ?", "Est-ce que tu crois en : Allah, Dieu, Yahvé ?", "Est-ce que ta mère croit en Allah, Dieu, Yahvé ?", "Pendant le Ramadan, manges-tu dans la journée ?", "Dans la vie de tous les jours, est-ce que tu portes une croix, une kippa, une médaille, un voile ?").

Une autre partie du questionnaire, très détaillée (les questions N°25 à 50), concerne quant à elle les pratiques linguistiques des élèves et de leur entourage proche.

Officiellement, ce document "élaboré par les enseignants-chercheurs de l'Università di Corsica" et placé sous la triple égide de l'ESPE (ancien IUFM, qui forme les professeurs des écoles) de Corse, de l'université et de l'assemblée de Corse est destiné à la "réalisation d'un état des lieux quantitatif rendu indispensable pour évaluer l'importance de chacun des groupes culturels au sein de la population".

Mais des élus, des syndicats d'enseignants et des professionnels de l'éducation s'élèvent contre le caractère "intrusif" et "tendancieux" de tels questionnaires. "Des questions sur l'orientation de la religion ou la vie privée des élèves n'ont rien à faire dans un système éducatif laïc et républicain, estime Fabien Mineo, secrétaire du SNUIPP. Nous sommes clairement en dehors des clous. En tant que fonctionnaires, il nous est absolument impossible de proposer à des enfants de répondre à ce type d'enquête".

"Ce n'est pas digne d'un questionnaire destiné à des scolaires, s'indigne la FSU. On essaie de mettre en oeuvre une politique éducative comme si la Corse était un Etat. Nous sommes une région, au sein de laquelle les règles nationales s'appliquent''. 


[...] l'intégralité de cet article dans le Corse-Matin du 19 mars