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lundi, 01 février 2016

Aveyron : la guerre des oranges

Publié par Guy Jovelin le 1er février 2016

Les vendeurs d'oranges sur les parkings créent la polémique. Les primeurs locaux se sentent lésés par ce commerce au déballage et demandent une uniformisation des règles pour tous. Ils dénoncent une concurrence déloyale.

 
Krystel Guerrero n'emploie sur ses stands itinérants que des salariés français © France 3

© France 3 Krystel Guerrero n'emploie sur ses stands itinérants que des salariés français

 
Depuis deux ans, les vendeurs au déballage montent des stands, en toute légalité, sur le bord des routes et attirent ainsi le chaland en grand nombre. Les commerçants sédentaires voient leur vente d'oranges baisser considérablement à tel point que certaines grandes surfaces ont installé, elles mêmes, des étals sur leur parking pour s'assimiler au principe de vente des itinérants. 

Des itinérants espagnols parfaitement en règle
Les itinérants appartiennent à des entreprises espagnoles. Parmi elles, Krystel Guerrero dont les salariés écoulent ainsi plus de 150 cagettes par jour à 10 euros.
Ses salariés sont français. La gérante paie ses impôts en France. Elle côtise à l'Urssaf, elle paie la taxe d'apprentissage, les retraites ... Bref! elle ne considère pas que la concurrence qu'elle fait aux commerçants sédentaires soit déloyale. 
 Les vendeurs itinérants se sont multipliés depuis quelques années en Aveyron.

Vidéo : le reportage de Maxime Van Oudendyck et Dominique Cantrelle
 
 
 
Les commerçants sédentaires et itinérants se font la guerre sur les oranges
 

samedi, 07 novembre 2015

Deux profanations anti-chrétiennes commises par des musulmans en Andalousie

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2015

 

CaptureLe quotidien espagnol El Mundo signale deux cas de sacrilèges commis par des musulmans : l’un dans une église de Malaga, l’autre contre un lieu de dévotion.

Le premier cas a été découvert le 1er novembre au soir par le curé de la chapelle du Carmel « Torre de Benagalbón » (commune de Rincón de la Victoria, Malaga). Le tabernacle a été forcé mais n’a pu être ouvert, des objets du culte et des images pieuses ont été abimés ou brisés. Les auteurs du sacrilège ont laissé peint à la peinture noire « Allah » à l’intérieur du lieu de culte. Une plainte a été déposée auprès de la Guardia Civil de Malaga.

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