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mardi, 29 janvier 2019

Une racaille violente nommée membre de la commission contre “les violences d’extrême droite “

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2019

Auteur : Rédaction

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Vous souvenez-vous du député LREM M’jid El Guerrab, qui s'était comporté comme une racaille en frappant violemment à coup de casque de scooter un responsable socialiste (occasionnant un traumatisme crânien, une hospitalisation en soins intensifs et deux mois d’arrêt de travail !) ?

Cet individu fait partie de la « commission d'enquête sur la lutte contre les groupuscules d'extrême-droite en France » qui vient d’être créée et sera présidée par un député d’extrême-gauche !

La « lutte » contre un courant politique – très réduit – est donc une préoccupation des parlementeurs. Drôle de conception du pluralisme démocratique. Et drôle de priorité, quand on voit les problèmes nombreux que connait le pays…

Des étrangers, des voyous, des bolcheviques prétendent incarner l’Etat français et s’en prendre aux éléments les plus patriotes du peuple ! Quelle époque odieuse !

Jean-Yves Le Gallou@jylgallou
Le député El Guerrab est membre de la commission contre "les violences d’extrême droite " (sic) . Il a agressé et gravement blessé un de ses ex-camarades du à coups de casque de moto. Rassurez moi c'est bien une ? Ou alors vous en pensez quoi @MRessiguier ?
 

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Source : lesalonbeige via contre-info

vendredi, 28 décembre 2018

Droite et « extrême-droite » main dans la main pour gouverner l’Andalousie

Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2018

Par  le 27/12/2018 
 

Avec les voix du parti Vox (classé à l’extrême droite), la candidate de Ciudadanos (centre droite) est élue présidente du parlement régional. Et le leader du Parti populaire (droite) devrait devenir président de la région espagnole en janvier.

Pour la première fois depuis 1977 et le retour de la démocratie, un responsable d’extrême droite occupera un poste à responsabilité dans une institution espagnole : Manuel Gaviria, du parti Vox, est devenu jeudi vice-président du Parlement d’Andalousie. Il sera l’un des six membres du bureau de l’assemblée régionale. En échange, sa formation a permis l’élection de Marta Bosquet, candidate de Ciudadanos (centre droit) à la tête du Parlement qui siège à Séville.

[…] C’est donc une formation xénophobe, opposée aux droits des femmes et des minorités, crispée sur l’unité du pays contestée par la tentative de sécession d’une partie de la société catalane, qui s’érige en arbitre. […]

news.yahoo/Libération via fdesouche

vendredi, 07 septembre 2018

Brésil : le candidat à la présidentielle Jair Bolsonaro, classé à l’extrême-droite et en tête des intentions de vote, vient d’être poignardé

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2018

Par  le 06/09/2018 
 
Voir l'image sur Twitter
Rádio BandNews FM
 
@radiobandnewsfm
 

Adélio Bispo de Oliveira, de 40 anos, é o homem que esfaqueou Jair Bolsonaro.

Jair Bolsonaro, candidat de l’extrême droite à la présidentielle d’octobre au Brésil, a été légèrement blessé à l’arme blanche lors d’un meeting de campagne, a annoncé son fils Flavio, assurant qu' »il va bien ».

Jair Bolsonaro, largement en tête des sondages pour le premier tour du 7 octobre, « a reçu un coup de couteau à l’abdomen », a annoncé son fils, député de l’État de Rio de Janeiro, sur Twitter, mais « ses blessures sont superficielles ».

Des images télévisées montrent Jair Bolsonaro, juché sur les épaules de sympathisants, recevoir un coup violent sous le thorax et s’effondrer en arrière avant d’être évacué, alors qu’il faisait campagne dans une rue bondée d’une ville de l’État du Minais Gerais, dans le sud-est du pays. Un porte-parole de la police de cet État, cité par l’agence Brasil, a confirmé l’agression subie par le candidat de 63 ans, ajoutant qu’il avait été hospitalisé dans la ville de Juiz de Fora et qu’une personne avait été arrêtée.

Europe 1 via www.fdesouche

jeudi, 15 mars 2018

Rotterdam (Pays-Bas) : la gauche s’unit derrière le parti islamique pour faire barrage à l’extrême-droite

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2018

Par  le 15/03/2018

dimanche, 10 décembre 2017

«C’est pas grave d’être blanc» clame l’extrême droite dans les universités américaines

Publié par Guy Jovelin le10 décembre 2017

Par Le Figaro Etudiant • Publié le 

«Du point de vue l’alt-right, cette réaction est censée prouver l’existence du racisme anti-blanc» analyse le Washington Post. Crédits photo: Twitter
 

Des affiches indiquant le slogan d’extrême droite «It’s okay to be white», élaboré sur le forum de discussion 4chan, pullulent dans les universités américaines.

Le phénomène est tel qu’il inquiète la presse américaine. Des affiches proclamant «it’s okay to be white» (ce n’est pas grave d’être blanc, ndlr) se sont répandues sur les campus américains cette semaine, note par exemple le Washington Post. Ce slogan est apparu en premier sur un message posté sur le forum de discussion 4chan, forum américain anonyme connu du grand public pour avoir vu naître le mouvement du groupe de hacker Anonymous. Selon le journal américain, l’utilisateur encourageait à répandre le message, suggérant qu’il alimenterait l’agitation sociale et pousserait les Américains blancs à adopter des idéologies d’extrême droite.

Partagés par les partisans de «l’alt-right», frange de l’extrême droite américaine, les blancs américains sont persécutés et victimes de racisme. Depuis mardi, les affiches ont été repérées à Rocky River, Ohio, au Concordia College de Moorhead, Minnesota, à l’Université de Tulane à la Nouvelle-Orléans, à l’école secondaire Montgomery Blair à Silver Spring, autour du campus universitaire de Cambridge, Masssaschussets et à l’Université de l’Alberta au Canada, énumère le grand quotidien américain.

Décrédibiliser les médias

Dans la plupart des cas, les écoles et les villes ont retiré les affiches, mais le message a continué à se répandre en images et en hashtags sur le réseau social Twitter et sur d’autres plateformes de médias sociaux. Le but des partisans de cette campagne de propagande était que des médias ou universitaires accusent ces affiches d’être racistes, ce qui est arrivé à plusieurs reprises, note le site Slate.fr.

«Ensuite, les Américains blancs découvriront que les journalistes américains et les ‘‘gauchistes’’ détestent les Blancs et cesseront de considérer les médias comme crédibles» analyse le Washington Post en décryptant la volonté de l’auteur du message anonyme. «Du point de vue l’alt-right, cette réaction est censée prouver l’existence du racisme anti-blanc, car une déclaration aussi anodine que «c’est pas grave d’être blanc» ne devrait pas être controversée» conclue le journal.

 

Source : etudiant.lefigaro