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dimanche, 29 novembre 2015

MÊME PAS PEUR DU RENARD QUI VA BOUFFER LA POULE

Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2015

Tony Blair, à quand les menottes aux poings, inculpation pour crimes de guerre?
De nouvelles révélations l’éclaboussent
.....peut-on lire sur le site News360X

renardBlair c’est l’homme des USA et de la péninsule arabe. Arabie et Emirats. 3000 familles qui depuis 1926 veulent défendre et faire croître leur suprématie. Tony Blair n’est pas plus coupable que Fabius, que Juppé, que Sarkozy, Chirac, Hollande et tutti quanti ….

Les coupables planétaires sont les Français et leur fantastique sentimentalisme. « Même pas peur », proclament ces innocents, mais ont-ils vu cet Officier de l’Armée de Bachar, attaché par les pieds à l’arrière d’une voiture ? L’ont-ils vu, un peu plus tard, les bras arrachés contre le bitume et qui respire encore ?

Ils ignorent qu’un ennemi n’est pas celui qu’on décide mais c’est celui qui décide. 

Ils n’ont pas peur de célébrer cette femme  ( Simone Veil ) qui a empêché la naissance de 9 millions de poussins dans la basse-cour autochtone et  «ils regardent sans les regarder, les poussettes, les ventres, les maternités, les maternelles, les rues où grouillent avec l’impôt de l’autochtone les 15 millions de petits renards notoirement dressés pour bouffer des poules dès que possible» parce qu’on ne sait quel Prophète improbable le leur a demandé.

Ils n’ont pas peur de refuser l’amalgame pour que personne ne doute plus de leur pétoche maladive de raisonneur collabo et d’oublier qu’à Hiroshima et que sur les villes allemandes en 44/45, c’est justement l’amalgame qui permit aux vainqueurs de pouvoir écrire l’Histoire …

Ils n’ont pas peur de prendre la parole pour parler à tort à travers de leur interprétation des Hadiths et du Coran alors qu’ils sont très fiers de se revendiquer athées et de n’avoir jamais lu une seule page de l’Evangile.

Ils n’ont pas peur d’oser parler de l’égalité entre l’homme et la femme et bouclent leur grande bouche devant les centaines de femmes voilées qu’ils croisent chaque jour en se regardant le bout des souliers.

Ils n’ont pas peur de dire combien ils adorent leur petit chat et leur petit chien et rasent les murs en silence devant les abattoirs où la méthode Halal leur explique qui fait la loi dans ce pays avec les créatures vivantes qui ne disent rien …

Ils n’ont pas peur d’avoir la figure aussi camouflée que les fesses après avoir suivi comme des boeufs l’ostracisme officiel contre Poutine, en prenant désormais un virage à angle droit parce que l’Armée russe et l’Armée chinoise ensemble, ça peut finir par faire beaucoup et qu’on ne peut pas non plus expédier aux quatre coins de la planète notre GIGN.

Ils n’ont pas peur de se dire « Charlie » et « Paris » sans voir qu’à moins de 10 à chaque fois, ces hommes mettent à genoux un pays tout entier dont la prétendue « dignité » dans l’inflexible refus à devenir Résistant est surtout la traduction de ce que Jean Moulin n’avait justement pas risqué d’accepter, choisissant en guise de dignité, de prendre les armes contre l’Occupant.

La bougie devant les cadavres de leurs fils qui – ontologiquement – ravissent leur désir furieux à ne pas céder (sans rire) au racisme et à la xénophobie. Les cocus aux balcons !

Les petits coupables à la mesquinerie pathétiquement comique sont ces gens du FN qui obéissent à de petits crétins locaux pour ne pas avoir les entrailles d’aller boire un café chez tel membre fondateur du Front National, désigné provisoirement comme le cathare à éviter en raison de son état de membre fondateur. N’avoir jamais encaissé un centime de salaire en politique pendant 40 ans est également le meilleur moyen de ne conserver comme camarades et amis que les seuls authentiques patriotes.

Et de ce point de vue-là, je reste très enviable.

Vitus

 

Source : http://www.lefanaldubarcares.com/

 

samedi, 28 novembre 2015

« la France fait partie de l’OTAN comme la Turquie », Face à la presse Poutine ne mâche pas ses mots

Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2015

   At a meeting with President of France Francois Hollande.

La conférence de presse de Moscou jeudi, a surtout permis à Vladimir Poutine d’exprimer sa colère contre la trahison turque et la sournoiserie des renseignements de l’OTAN, dont il soupçonne le rôle dans la frappe mortelle de l’avion russe dans l’espace aérien syrien prés de la frontière turque. Cette conférence est très importante. Pendant que Poutine mettait les points sur les « i » sans se gêner, Hollande est resté silencieux, très peu interrogé.

Pour rappel, le président turc qui a reconnu avoir donné l’ordre de descendre l’avion russe a précisé hier à la chaine de télévision américaine CNN:

«  La Turquie ne fera pas d’excuses pour avoir abattu un avion de chasse russe. » et  « « Si la même infraction se produit aujourd’hui, la Turquie se doit de réagir de la même manière. » (CNN)

C’est dans ce contexte que Vladimir Poutine a répondu aux journalistes du monde entier qui l’ont interrogé en présence de François Hollande qui après avoir exprimé sa position à la suite du Président Poutine, n’a que très peu été interrogé. Par contre sous le feu des questions Vladimir Poutine a manifesté sa colère froide pour la trahison de la Turquie et pourle jeu trouble de l’OTAN, dont il a précisé dés la première question que « la Turquie fait partie de l’OTAN, tout comme la France. » Même s’il a appelé ostensiblement la France « notre alliée » sans doute pour mieux soulever le paradoxe.

Ce terme d' »Alliée » avait été donnée à la France par la Russie dans le cadre de la volonté de Paris de mener la lutte contre les islamistes après le crash de l’avion de passagers russes au-dessus du Sinaï en Egypte. Il avait alors ordonné à l’armée russe en Syrie d’« établir un contact direct avec les Français ». D’autres pays de l’union européenne dans la foulée s’étaient enhardis à manifester la volonté de lutter:  L’Allemagne avait annoncé l’envoi d’un contingent de 650 soldats au Mali pour soutenir l’armée française, et le Royaume-Unis a mis sa base de Chypre au service du ravitaillement des chasseurs Français.  Depuis les attentas de Paris la volonté européenne de combattre les islamistes est montée d’un cran supplémentaire. Mais pour le moment, seule la France a intensifié ses frappes. Sans que celles-ci soient comparables, de loin s’en faut, avec l’ampleur des frappes russes.

C’est alors que « l’attaque cynique » de la Turquie, selon les termes du Kremlin, est venue jeter un grand froid dans ce bel enthousiasme (surtout du côté russe, semble-t-il). François Hollande qui était alors à Washington, où en guise de condoléances Obama a déclaré qu’Ankara avait le droit de défendre son espace aérien, tout en précisant, avec un mépris dont les Américains ont le secret, qu’il serait heureux de voir la Russie intégrer la coalition américaine. Ce qui montre en fait la sourde colère qui agite les milieux américains contre la coalition russe qui est venue sur le théâtre du Proche-Orient troubler leurs grosses magouilles sanguinolentes. Bref, Hollande a ressenti les conséquences à Moscou des manœuvres ténébreuses de l’OTAN lors de cette conférence de presse en compagnie du président russe, auprès duquel il était quasi transparent quoiqu’en ait dit les chaines d’information françaises toujours fidèlement obséquieuses pour le pouvoir socialiste.

Une "grande coalition" contre le groupe Etat islamique? Le projet patine sur la mésentente entre les Etats-Unis et la Russie.

C’est à la fin de cette conférence de plus en plus glaciale que Vladimir Poutine a lâché ses gros doutes sur le rôle qu’à tenu l’OTAN dans la frappe mortelle contre le bombardier russe. En effet dans le contrat d’échange d’information sur les frappes des deux coalitions les USA étaient tenues au courant des heures et lieux des vols russes dans le ciel de la Syrie:

« Et c’est précisément à ce moment et en ce lieu que nous avons été frappés. La question se pose : pourquoi avons-nous fourni ces informations aux Américains ? Soit ils ne contrôlent pas ce que font leurs alliés, soit ils distribuent ces informations à droite et à gauche sans se soucier des conséquences », s’est-il révolté.

Hollande qui venait de prendre ses ordres à Washington a affirmé que « Bachard » (sic) doit partir. Ce qui a constitué le gros morceau de son intervention, restant fidèle en cela aux engagements contractés par Sarkozy avec le Qatar et par lui-même avec l’Arabie saoudite, les deux Etats étant soutenus et livrés en armes par les USA. Armes qui sont redistribuées aux islamistes en Syrie:

« Assad ne peut jouer aucun rôle dans la Syrie future. Le rôle de la Russie, en revanche, est indispensable », a dit Hollande,  ajoutant aussitôt que des accords sur la Syrie n’influenceraient pas sa position vis-à-vis de l’Ukraine.

La première question posée au président russe concernait une colonne humanitaire frappée par l’aviation russe, à laquelle il a répondu qu’« il y avait bien une colonne, mais certainement pas pacifique ».

Répondant à une question de l’agence Reuters, Vladimir Poutine a réitéré le principe selon lequel il faut coordonner les frappes aériennes avec les opérations au sol et en Syrie, selon lui, l’armée de Bachar-el-Assad est le meilleur allié. Mais il prend des contacts avec les autres groupes syriens anti-islamistes que la Russie aidera de la même façon que l’armée gouvernementale en cas d’accord. Précisant que désormais toute coordination avec la Turquie est exclue :

« On entend aujourd’hui parler de certaines tribus proches des Turcs, Turkmènes syriens, etc. La question se pose : que font des représentants d’organisations terroristes turques sur ce territoire ? Que font sur ce territoire des ressortissants de la Fédération de Russie recherchés chez nous pour des actes criminels et qui relèvent sans équivoque de la catégorie des terroristes internationaux ? ».

Comme durant les deux guerres de Tchétchénie l’Occident à soutenu les terroristes tchétchènes, il y a lieu, de la part de Moscou, de penser que la présence de troupes tchétchènes islamistes en Syrie n’est pas sans rapports avec leurs anciens alliés des pays de l’OTAN, et peut-être pas seulement la Turquie ou la Turquie n’agissant pas de son propre chef exclusivement. C’est ici que la guerre que mène la coalition islamo-américaine sous faux drapeaux affleure à plein, Moscou n’est pas complètement dupe.

La question de journalistes français qui émettaient des doutes sur l’opportunité du déploiement récent de systèmes anti-aériens russes S-400 en Syrie, dans le cadre d’une unique coalition internationale, il a répondu cinglant:

« Nous n’avions pas ces systèmes en Syrie parce que nous partions de l’idée que notre aviation opérait à des hauteurs inaccessibles à la main criminelle des terroristes. Mais dorénavant, la Russie protégera ses avions par tous les moyens. »

Les questions ont fini par tourner uniquement sur l’affaire turque, malgré la tentative infructueuse de Hollande de calmer le jeu. Poutine est revenu notamment sur le trafic de pétrole de l’Etat islamique (donc volé à la Syrie) en direction de la Turquie:

« Ces barils ne contiennent pas que du pétrole, ils sont remplis du sang de nos concitoyens. Parce qu’avec cet argent, les terroristes achètent des armes et organisent des attentats sanguinaires, autant contre notre avion au-dessus du Sinaï qu’à Paris et dans d’autres villes du monde. Et si le haut commandement politique turc ne sait rien de tout cela, qu’il se renseigne », a-t-il lancé. Poursuivant, il a fait savoir qu’il « se fout » de savoir si Erdogan démissionnera, et également de la confirmation de ses achats de pétrole aux islamistes, « ce n’est pas notre affaire ».

Faisant valoir la déclaration d’Erdogan à France 24 selon laquelle  « si nous avions su que c’était un avion russe, nous l’aurions peut-être prévenu différemment »:

« C’est exclu ! a asséné Poutine en réponse, c’est impossible ! Nos avions portent des signes d’identification parfaitement visibles. Conformément à nos accords avec les Américains, nous avions transmis auparavant les informations concernant les zones où notre aviation opérerait, à quelles hauteurs, où et à quels moments. Ce sont des absurdités, tout ça ! Des prétextes ! »

Pas une seule fois Poutine n’a cité l’Etat islamique, mais plutôt des « groupes terroristes » tandis que pour Hollande, évitant précautionneusement le terme d’islamiste de crainte de vexer ses amis arabes, il n’a parlé que de Daech (prononçant Dach), Da’ech étant un acronyme arabe, constitué des initiales d’Etat islamique.

De toute évidence les positions de l’ un et de l’autre ne sont pas au bord de l’aplanissement, la conférence reflétait une tension de plus en plus grande entre les deux présidents au fur et à mesure qu’elle approchait de la fin, Hollande dans ses petits souliers et Poutine aussi déterminé que lors de sa célèbre formule destinée aux terroristes Tchétchènes du temps des guerres de Tchétchénie: « Je les poursuivrais jusque dans les chiottes! »

Hollande n’aura obtenu qu’une promesse d’amélioration des échanges d’informations stratégiques, et surtout, la promesse dont s’est prévalu aujourd’hui vendredi Laurent Fabius sur RTL, d’un échange de positions à viser ou au contraire à ne pas viser, selon que les groupes seraient « modérés » ou non. Mais sans doute que le mot « modéré » ne signifie pas la même chose du côté de Hollande que du côté de Poutine.

Erdogan et Poutine seront dimanche à la Conférence mondiale sur le climat (COP21), à Paris que Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères présidera. 

Emilie Defresne

emiliedefresne@medias-presse.info

mardi, 17 novembre 2015

Hollande doit être destitué par la Haute Cour pour « haute trahison »

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2015

Non content de soutenir les immigrationnistes foireux de Bruxelles à Berlin, Hollande n’a cessé, depuis son arrivé à l’Élysée, de multiplier les appels du pied au Qatar et à l’Arabie saoudite...
 
L’état d’urgence a beau avoir été décrété par le chef de l’État arborant, pour l’occasion, l’air martial des généraux avant le combat, il n’en demeure pas moins que sa responsabilité – tout comme celle du gouvernement qui, les institutions n’eussent été aussi gravement corrompues, devrait, a minima, lui proposer la démission dans son entier – est directement et sérieusement engagée.

L’on apprend ainsi qu’une des bombes humaines du Bataclan, un dénommé Samy Amimour, revenait de Syrie après avoir quitté la France – et y être revenu pour commettre son irréparable forfait – tandis qu’il était normalement placé sous contrôle judiciaire ! Bien que connu de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) qui l’avait auditionné en octobre 2012, l’individu, malgré une mise en examen pour association de malfaiteurs terroristes et un contrôle judiciaire, se baladait néanmoins tranquillement dehors. Inouï !

Hallucinant, même ! Déjà un laxisme impénitent pointait sous l’indécrottable indépendantiste Taubira.

L’on tombe derechef de l’armoire quand l’AFP lâche que la Turquie avait averti la police française par deux fois, en décembre 2014 et juin 2015, au sujet d’Omar Ismaïl Mostefaï, un des assaillants de la salle de concert parisienne ensanglantée. Circonstance aggravante : les autorités turques se sont heurtées au mur du silence des services français.

Ces informations – la seconde a été opportunément distillée par Ankara à des fins de déstabilisation intérieure du pouvoir – indiquent que la sécurité des Français a été considérée, jusqu’à présent, comme accessoire par le gouvernement. Une politique de gribouille où l’indolence le disputait au mépris, où l’incompétence voisinait avec l’inconséquence.

Mais il y a pire. Non content de soutenir les immigrationnistes foireux de Bruxelles à Berlin, Hollande n’a cessé, depuis son arrivé à l’Élysée, de multiplier les appels du pied au Qatar et à l’Arabie saoudite, pétromonarchies wahhabites auxquelles la France livre régulièrement des armements (avions de combat, fusils d’assauts, etc.), et soutenant notoirement le djihadisme à travers le monde.

Dans un édifiant entretien accordé au Monde, François Hollande confiait « que la France a soutenu la “rébellion syrienne démocratique” en lui livrant des armes. “Les rebelles syriens méritent tout notre soutien” », avait-il rajouté (20 août 2014). Depuis lors, il s’est bien gardé de préciser que « les armements livrés par les services français sont – d’une manière ou d’une autre – tombés entre les mains de groupes djihadistes, qui se réjouissent aujourd’hui de la vague d’attentats qui déstabilise la France en profondeur » (Le Canard enchaîné, 21 janvier 2015).

Parce que de tels faits sont connus et encouragés au plus haut niveau de l’État, dont les agissements mènent, de façon récurrente, aux résultats tragiques que l’on sait, la conclusion s’impose. Sauf à contrebalancer radicalement les effets mortifères de son improvisation politique, Hollande doit assurément remettre sa démission au peuple français. À défaut, il doit être destitué par la représentation nationale réunie en Haute Cour, en application de l’article 68 de la Constitution, pour « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Une forfaiture qu’on dénommait naguère haute trahison.

 

samedi, 10 octobre 2015

Hollande demande à Taubira d’aggraver la chasse aux Blancs

Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2015

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Une bagarre à la sortie d’un bar entre Chaïb Zehaf et Jean-Marie Garcia. Chaïb Zehaff meurt.  Jean-Marie Garcia est condamné mais la famille Zehaff demande à ce que l’on requalifie le crime de crime raciste.  L’affaire est rejugée. Sont invités à la barre comme témoins, Dominique Sopo et Bernard-Henri Lévy qu’on ne présente plus. Bien évidemment, ces deux témoins n’ont rien à voir, ni de près ni de loin, avec cette affaire et se trouvaient bien loin du lieu du drame lorsque celui-ci s’est produit, le 4 mars 2006 à Oullins. C’est en tant qu’autorités morales qu’ils sont conviés à la barre. BHL ne transige pas. Il est sûr de lui. Sentencieusement, sans connaître l’accusé,  en dépit de ses dénégations et malgré le premier jugement  de la Cour, notre philosophe décrète que le crime est raciste. Rien ne lui permet de le dire sinon que Chaib Zehaff est d’origine algérienne.

La circonstance aggravante est retenue. Le 29 janvier 2009, la Cour d’Assises du Rhône condamne Jean-Marie Garcia  à 25 ans d’emprisonnement.

Il y a fort à parier qu’elle ne l’eût pas été dans le cas contraire où Chaïb Zehaff aurait tué Jean-Marie Garcia.

La loi qui existe est déjà  éminemment discutable et discriminatoire. Elle  revient en effet à établir que  tuer quelqu’un pour le dépouiller  est  moins grave que le tuer parce que sa couleur de peau ne vous convient pas . Elle établit donc, de facto,  une hiérarchie dans la gravité du crime qui n’a rien à voir avec le crime lui-même mais avec les intentions réelles ou supposées de l’auteur.

La notion de circonstances aggravantes est certes tout à fait fondée.  La raison d’être de la loi est  de protéger les faibles et de compenser les inégalités naturelles : un enfant doit être protégé d’une brute adulte. On reconnaît là la circonstance aggravante.  Mais avec cette loi, on en revient à juger sur des intentions; autrement dit, on entre  en terrain particulièrement glissant. Le cas cité plus haut en est un exemple.

Terrain d’autant plus glissant que tous les citoyens ne sont pas à égalité devant cette loi. Le racisme anti-Blanc n’est pas reconnu.  Par conséquent, les seuls justiciables pouvant se prévaloir de cette loi sont ceux qui ne sont pas Blancs, alors que ces derniers  peuvent toujours  tomber sous le coup de ladite circonstance aggravante sans pouvoir jamais en bénéficier à leur tour. Quel brillant avocat aurait assez de talent pour établir devant une  Cour que  « face de craie »ou « sale babtou »aggrave le degré du crime?

Or, François Hollande,  surfant sur la vague Morano,  demande à la Garde des Sceaux de préparer un texte réformant le Code Pénal pour faire de  « toute inspiration raciste ou anti-sémite une circonstance aggravante pour une infraction, quelle qu’elle soit, et quel qu’en soit l’auteur. »

Ubuesque, orwellien, je vous laisse le choix du qualificatif.

Il s’agit maintenant d’étendre la loi existante  à  « toute infraction ». Rien donc ne saurait sortir de son champ. Rien ne saurait lui échapper. Tout acte, toute infraction, tout délit ou crime, sera envisagé à cette aune suprême : s’agit-il de racisme? Ce qui revient  à établir dans les faits que cambrioler la maison d’un Arabe sera  plus grave que de cambrioler l’appartement de Madame Michu, et sanctionné en conséquence.

Autre sujet d’inquiétude sémantique est l’emploi du mot « inspiration ». Que faut-il comprendre? Pour ce mot, le dictionnaire nous indique: impulsion, mouvement soudain, mouvement  intérieur qui pousse à agir. Il y a dans inspiration l’idée d’une force intérieure incontrôlable et soudaine qui peut surprendre n’importe qui n’importe quand. C’est une notion  beaucoup plus floue, beaucoup plus insaisissable et  invérifiable que « mobile » .

Qui pourra jurer, devant un expert psychiatre, qu’inconsciemment, l’inculpé n’a pas été traversé d’une inspiration de nature raciste? Comment se défendre contre l’inspiration et l’inconscient? Voilà l’inculpé sans parade possible devant un expert ou une autorité morale qui lui soutiendront que, s’il a riposté à un agresseur au taux de mélanine différent du sien, c’est  parce qu‘inconsciemment,  il a éprouvé uneimpulsion soudaine qu’il n’aurait pas eu autrement?

Torquemada n’aurait pas osé, Hollande l’a fait.

La République ne connaît pas de races ni de couleurs de peau, a réaffirmé le Président. C’est au nom de ce principe que la Justice nie l’existence des Blancs sauf pour les déclarer coupables.

Rien ne justifiait  de durcir cette  loi déjà discriminatoire. Voilà qu’en l’espace de quelques jours, non seulement nous ne pouvons plus nous désigner autrement que par les qualificatifs de « sans dents » ou de « souchiens » mais, quoi que nous fassions, il sera retenu contre nous la circonstance aggravante d’être nés Blancs dans notre propre pays.

Monique Bousquet

Source : http://ripostelaique.com/hollande-demande-a-taubira-daggr...

dimanche, 19 juillet 2015

Attentat islamiste: Hollande, Valls, Cazeneuve, les 3 Pinocchios du gouvernement vous mentent (Vidéo)

 Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2015

Attentat islamiste: Hollande, Valls, Cazeneuve, les 3 Pinocchios du gouvernement vous mentent (Vidéo)

 

Ils ressemblent, têtes coupées, à Pinocchio! Ils ont osé s’enorgueillir d’un attentat déjoué,...

 

 

 

Lire la suite : http://www.medias-presse.info/attentat-islamiste-hollande...