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mardi, 20 septembre 2016

Hollande récompensé… à New-York

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2016

20 septembre 2016 par Lionel

On a les récompenses que l’on mérite. C’est ainsi que François Hollande est l’un des plus calamiteux présidents que la France ait jamais connus, au point que s’il se représentait à l’élection à venir, il ne serait pas assuré de passer le premier tour, ce qui serait inédit. Pire même, il est fort vraisemblable qu’il serait devancé par un autre candidat de gauche, alors que le système démocratique à l’occidental procure toujours un avantage au candidat sortant, ce que les politologues appellent une « prime au sortant », avantage qui explique pourquoi de mauvais présidents ont quand même pu être réélus. Mais, on le voit, ce n’est pas le cas de François Hollande, tant il est mauvais et honni par les Français. Malgré cela, cet individu reçoit des récompenses…

C’est ainsi qu’à New-York, Hollande a été gratifié du titre de « Homme d’État de l’année » par la fondation « Appeal of conscience » et a reçu son trophée des mains d’Arthur Schneier et d’Henry Kissinger (Juif né en Allemagne, immigré aux Etats-Unis et qui a reçu le Prix Nobel de la Paix car, paraît-il, il a beaucoup oeuvré à la paix entre Israël et les pays arabes suite de la guerre du Kippour). On notera que, lors de la réception de son trophée, Hollande avait son rictus stupide dont il nous gratifie régulièrement, alors même qu’Arthur Schneier était coiffé d’une kippa. Le Président d’un pays soi-disant laïque ne semblait nullement gêné par ce détail, alors que, précisons-le, la fondation « Appeal of conscience » est une organisation qui se veut être politique et laïque, et nullement confessionnelle. Ainsi, Hollande n’avait pas ici affaire à des dignitaires religieux, mais bien à des acteurs civils et il ne s’est nullement ému de constater que l’un d’eux portait une kippa… Comme quoi, la chasse aux signes ostentatoires religieux ne semble pas concerner toutes les religions.

Du reste, dans son discours, la hiérarchie qu’il fait des religions a été patent. Si l’on en croit Le Parisien, Hollande n’a pas dit qu’il voulait combattre toutes les haines envers les religions, mais qu’il voulait « combattre l’antisémitisme ainsi que toutes les autres haines envers les religions ». On le voit, dans son esprit, une religion plus que les autres mérite d’être citée et mise en avant, les autres passant après.

Comme quoi, pour paraphraser Coluche, si dans la France laïque toutes les religions sont égales, force est de constater qu’au moins une est plus égale que les autres.

 

Source : contre-info

lundi, 04 avril 2016

Ils sucent la France depuis cinquante ans

Publié par Guy Jovelin le 4 avril 2016

algeriensespoirHollande a appris à danser sur l’air de « Un pasito pa l’ante ou pasito pa tras ». Un mouvement qui commence à nous épuiser tant il est répétitif.

La dernière reculade en date étant la déchéance de la nationalité. Pourtant, connaissant les lois françaises et internationales, il aurait pu nous éviter les sommes de conneries débitées à ce sujet et à longueur de journées par les media et les politiques.

A moins qu’il ne se soit servi de ce prétexte pour cacher d’autres décisions qui lui seraient impopulaires, comme il a pris l’habitude de le faire.

Résultat de cette pantalonnade et comme l’a jugé le Sénat, seuls les binationaux peuvent être déchus de la nationalité française puisqu’ils ne deviendraient pas des apatrides.

Soit. Donc, seuls les terroristes binationaux  pouvaient être déchus de la nationalité française. Cela n’a  pas convenu à Hollande . Pourquoi ?

Connaissez-vous des terroristes ayant tué en Europe – et particulièrement en France – qui n’aient pas la double nationalité française et algérienne ou marocainepuisque ces deux pays du Maghreb nous fournissent un énorme contingent de binationaux qui profitent de nos lois mais ne les respectent pas.

Leur leitmotiv est : On prend, on ne donne rien. Et dès qu’on peut, on prend le pays !

Tout cela, nous le savons depuis 50 ans. Et les dirigeants, aussi. Il est des accords signés difficilement révisables surtout si cela doit désavantager les pays du maghreb et principalement l’Algérie.

Chaque politique français, de droite ou de gauche, à la pêche aux voix électorales, s’empresse de maintenir un bon rapport avec ces pays. Ils s’engagent donc, en contrepartie, à délivrer des visas en quantité astronomique – plus de 200.000 visas annuels pour l’Algérie qui a la préférence de la France, allez savoir pourquoi ?

Ajoutez à cela, les illégaux, les cousins-cousines, les frères-soeurs, les tontons-tatas, qui arrivent en « visite » dans la famille. Tant qu’ils y sont, ils en profitent pour se faire soigner en utilisant les cartes vitales des binationaux qui bénéficient de la CMU mais qui échangent ce « service » contre des milliers de dinars algériens qui resteront au pays, bien au chaud, en attendant les futures vacances.

Bref, tous ces gens-là sucent la France sans jamais lui apporter un millionième de ce qu’ils prennent.

Pour faire bon poids, on ajoutera à la marée migratoire à laquelle nous faisons face, ceux de ces « visiteurs familiaux » qui ne repartent jamais et vous obtiendrez un nombre incalculable de futurs binationaux dont la France héritera.

Pourtant, en janvier dernier, un sénateur a proposé une loi qui pourrait inverser la donne, à condition que les députés, sénateurs et autres conseillers constitutionnels français veuillent bien préserver ce qui reste de la France, encore, non musulmane.

Ce projet de loi, fort simple et judicieux, permettrait de nous défaire de tous ces binationaux alimentaires et devenus, pour un grand nombre, ennemis déclarés de la France et de ses libertés. De plus, nous ne serions pas le premier pays européen à l’appliquer.

Cette loi consisterait à n’accepter, binationaux, que les seuls natifs européens.

Bien sûr, vous dites on est déjà habitué à entendre : le Français « Mehra » ou le Belge « Salem -machin ».  Qu’est-ce qui les empêcherait, alors de rechercher la binationalité en France ?

Puisqu’ils bénéficient dans ces pays-là de la presque totalité des avantages que nous leur fournissons, ceci est un moindre risque. Nous nous en occuperions dans un second temps.

L’urgence étant de ne plus fabriquer des doubles nationalités arabo-française.

Si ce projet, dans lequel figurent deux articles très intelligents parce que très efficaces, venaient à être adopté, nous ne retrouverions chez nous, que des Français de coeur et non des suceurs de moelle.

Voilà ce que propose le sénateur Jean-Louis Masson (un Lorrain !) pour modifier l’acquisition systématique de la nationalité française aux personnes nées de parents étrangers :

« À l’exception des ressortissants des pays de l’Union européenne, l’intéressé n’ayant pas dans l’année suivant sa majorité répudié la ou les nationalités qu’il possède déjà, est déclaré d’office décliner la qualité de Français. L’intéressé est alors réputé n’avoir jamais été français ».

Pour ceux qui souhaitent devenir Français et la liste est longue chaque année avec les mariages arrangés, les adoptions bidons etct… il préconise :

« À l’exception des ressortissants des pays de l’Union européenne, toute personne devenue française par acquisition de la nationalité en application des articles 21-2 à 21-25-1 n’ayant pas, dans l’année suivant cette acquisition, répudié la ou les nationalités qu’il possédait déjà est déclarée d’office décliner la qualité de Français. Elle est réputée n’avoir jamais été française. »

La dernière phrase, dans ces deux articles, est primordiale. Ils n’ont jamais été Français. Par conséquent, ils ne pourront jamais réclamer, ultérieurement, quoique ce soit qui pourrait leur être concédé au regard de leur appartenance antérieure à la communauté française sinon qu’en leur qualité d’étranger.

Cette proposition de loi permettrait dans un premier temps de stopper immédiatement la prolifération de la binationalité (ou plus) sur le territoire français.

Dans un second temps, nous suggèrerions que TOUS les binationaux nés sur le territoire français, ayant obtenu de facto la nationalité française au regard du droit du sol, soient contraints à la même rigueur du choix de la nationalité qui leur conviendrait le mieux.

En choisissant la France, ils deviendraient des Français à part entière. Avec des droits et des devoirs envers la France. Ils ne pourraient plus aller se réfugier dans « leur autre pays » comme ils le font trop souvent quand ils ont commis un acte condamnable en France. Ils ne bénéficieraient pas de lois différentes. Ils seraient jugés en France et uniquement. Ils seraient, aussi, défendus par la France, en cas de litiges dans un autre pays.

Tout cela est possible et facilement exécutable.

Reste à savoir comment ces dirigeants, députés, sénateurs et autres conseillers constitutionnels interprèteront cette proposition qui n’a pour seul but que de préserver la France des envahisseurs qui ne l’aiment pas et font tout pour se l’accaparer et la détruire.

Danièle Lopez

 

Source : http://ripostelaique.com/

mercredi, 23 mars 2016

Terrorisme : nos gouvernants ne sont pas complices. Ils sont coupables !

Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2016

Hier, c’était à qui annonçait une étape décisive dans la lutte contre le terrorisme. Patatra !

Hier, c’était à qui annonçait une étape décisive dans la lutte contre le terrorisme. La prise d’une petite racaille, moins suicidaire que les autres, devenait un événement commenté par toutes les autorités et sur tous les médias. Son avocat lui-même, chevalier du droit, face à la police, devenait une vedette. L’arrestation sans bavure par les policiers belges avait sans doute empêché des attentats et permettrait un torrent d’informations. D’autres suspects avaient, comme par hasard, été identifiés afin que le rassurant feuilleton sécuritaire puisse se dérouler.

Patatras ! Les attentats ont bien eu lieu, plus vite et plus fort que prévu ! Comme précédemment, la police belge n’a rien vu venir. Ou les explosions de l’aéroport et du métro étaient prévues depuis longtemps, ou elles sont une réaction rapide à l’arrestation de Salah Abdeslam. Dans le premier cas, cela montrerait un degré d’organisation et une importance du réseau dont le danger n’avait pas été évalué. Dans le second, la détermination et la souplesse dans l’exécution des islamistes seraient terrifiantes. Reste à savoir si le kamikaze avorté de Paris était au courant.

Qu’il s’agisse du même réseau ou d’un autre, le nombre et la banalité des terroristes potentiels font froid dans le dos. Les propos du président de la République ont été, plus que d’habitude encore, d’une mollesse et d’une vacuité désespérantes. Il a parlé de lucidité et de détermination. Son Premier ministre a évoqué la guerre. Qu’est-ce que cette lucidité qui ne prévoit rien ? Qu’est-ce que cette détermination qui laisse Raqqah et Mossoul aux mains de l’État islamique, la base arrière des terroristes ? Qu’est-ce que cette guerre qu’on fait semblant de mener tout en copinant avec l’Arabie saoudite et la Turquie qui sont, l’une le foyer idéologique du djihadisme, l’autre le soutien logistique de la rébellion syrienne. Nos gouvernants ne sont pas complices. Ils sont coupables !

Sur un point, Hollande a raison : c’est l’Europe qui est visée dans sa tête monstrueuse et vide, sa tête monstrueusement vide, à Bruxelles au cœur de cet État qui n’en est plus vraiment un, la Belgique, anticipation de la déconstruction et de la démoralisation des nations européennes. La technocratie bruxelloise et son idéologie mondialiste ont fait du continent, qui, il y a un siècle, dominait le monde et était à la pointe de l’humanité, le second, même pas brillant, des États-Unis : une collection d’États dont la puissance diminue à mesure qu’elle intègre de nouveaux membres. Incapable de renouveler sa population, elle s’ouvre à une immigration irréfléchie. L’accroissement de la population immigrée, son mode de regroupement vont multiplier dans certains quartiers, à travers des familles, des réseaux d’origine et d’amitiés, des solidarités qui naturellement vont protéger les djihadistes.

Détruire l’État islamique par tous les moyens, en coordination avec l’État syrien et la Russie, fermer les frontières à une immigration musulmane trop importante et statistiquement dangereuse, contrôler davantage les immigrés et renvoyer systématiquement les clandestins, faire mieux connaître les risques d’une religion, qui peut être vécue sereinement, mais recèle dans ses textes une violence qu’il est irresponsable de minimiser : telles sont les politiques à mettre en œuvre. Qui imagine que des Merkel ou des Hollande puissent les prendre ? La mise en place d’un PNR (Passenger Name Record, un fichier regroupant les données des passagers aériens) européen a été bloquée pendant sept ans par l’impuissance des institutions européennes, et elle est encore actuellement freinée malgré son agrément en commission. L’Europe a besoin d’un changement radical de cap et de capitaines !

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

lundi, 14 mars 2016

19 mars : ne soyez pas complices !

Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2016

François Hollande, a décidé, pour la première fois, de commémorer cette année, le 19 mars 1962 et les Accords d’Evian.

Le président de la République, François Hollande, a décidé, pour la première fois, de commémorer cette année le 19 mars 1962 et les accords d’Évian. C’est sa meilleure façon de se réconcilier ainsi avec les gauchistes socialistes et les communistes. Il devrait, dans la même foulée, fêter le 18 juin 1815 (la défaite de Waterloo) et le 22 juin 1940 (la signature de l’armistice devant les nazis).

Le 19 mars 1962 : fin de la guerre d’Algérie, c’est un mensonge éhonté. Les accords d’Évian obligeaient la France à un « cessez-le-feu » en Algérie, mais autorisaient le Front de libération nationale (FLN) et l’Armée de libération nationale (ALN) à enlever, assassiner, massacrer à volonté de jeunes soldats, des civils innocents et des harkis, alors que l’armée française avait l’obligation de rester l’arme au pied, sur ordre de De Gaulle.

Ce même jour, 19 mars 1962, à Eckmül (Oran), 16 personnes, dont trois femmes, sont enfermées dans un hangar et l’ALN y met le feu. Elles sont toutes carbonisées. Ce même jour, la gendarmerie d’Oran signale que des dizaines d’Européens sont séquestrés, jusqu’à ce que mort s’ensuive, pour servir de donneurs de sang pour les combattants de l’ALN. On les retrouve la peau collée aux os et totalement vidés de leur sang.

Après ce 19 mars 1962, et je cite sous le contrôle de M. Eugène-Jean Duval, inspecteur général des armées et les « archives officielles » :

– 91 actions de guerre de l’ALN et du FLN contre la France ;
– le 20 mars 1962, 18 soldats tués et 3 blessés ;
– 90 soldats français disparus ;
– 239 soldats français faits prisonniers par l’ALN, qui ne sont jamais revenus ;
– 1.580 civils européens disparus (dont des dizaines de femmes expédiées vers des bordels militaires de l’ALN).

Entre le 19 mars et le 5 juillet 1962, ce fut une hécatombe : plus de 5.000 enlèvements ; 1.165 civils assassinés ; 1.773 disparus ; plus de 60.000 harkis massacrés ainsi que leurs familles. S’ajoute à cela l’interdiction, par le gouvernement français, à la Croix-Rouge internationale de s’y intéresser. En témoigne le télégramme (très secret) signé Louis Joxe, daté du 2 avril 1962 : « Je serais, pour ma part, hostile à une intervention quelconque de la Croix-Rouge internationale dans tout ce qui concerne les arrestations et détentions d’Européens. »

Après le 19 mars 1962 se met en place le blocus de Bab El Oued. L’armée, l’aviation, les tanks tirent sur les habitants. Le 26 mars 1962, sur ordre de De Gaulle, confirmé par Christian Fouchet, Haut-Commissaire en Algérie, l’armée française tire sur une population désarmée qui manifestait devant la Grande Poste de la rue d’Isly, à Alger : plus de 46 morts et 200 blessés.

La France a reconnu officiellement des « morts pour la France », en Algérie, après le 19 mars 1962. C’est bien la preuve que les accords d’Évian n’ont jamais marqué la fin de la guerre. Nous aimerions savoir comment leurs noms ont été inscrits sur les monuments aux morts.

Sous les ordres des généraux Ailleret et Katz, l’armée française a terminé cette guerre, gagnée totalement sur le terrain, dans le déshonneur le plus total.

M. le président de la République et Messieurs les maires des villes et communes de France dans lesquelles vivaient ces jeunes soldats et leurs familles, quand vous célébrerez cette date, ce prochain 19 mars 2016, et que vous garderez une minute de silence, vous les entendrez, tous ceux qui sont morts après le 19 mars 1962, vous hurler leur mépris et leur colère.

Le 19 mars 1962, le chef de l’État français et son gouvernement ont « signé » un crime contre l’humanité. Un demi-siècle plus tard, ne soyez pas leurs complices ! Pour votre information, ne manquez pas le magazine de France 3 du jeudi 17 mars à 23 h 45 : « Prisonniers français du FLN », suivi du film L’Amère Patrie.

 

Ecrivain

Source : http://www.bvoltaire.fr/

vendredi, 11 mars 2016

Communiqué de presse du Cercle algérianiste

Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2016

Le 8 mars 2016

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En commémorant le 19 mars 1962,
François HOLLANDE affiche son mépris pour
les souffrances des Harkis et des Pieds-Noirs


Pour la première fois depuis la fin de la guerre d’Algérie, un Président de la
République, François HOLLANDE, assistera à la commémoration du 19 mars 1962,
alors même que tous ses prédécesseurs, à commencer par François MITTERRAND, ont
toujours refusé de reconnaître, par leur présence, cette date très contestable.


Comment ne pas rappeler que, loin d’avoir marqué la fin de la guerre d’Algérie, la date
du 19 mars 1962, symbolise, bien au contraire, le début du déchaînement des violences
contre les Français d’Algérie, Harkis et Pieds-Noirs confondus, victimes des représailles
du FLN ?


En décidant d’être présent le 19 mars prochain, à cette cérémonie, le Chef de l’État a
donc choisi, délibérément, de tourner le dos à une partie de ses compatriotes, et
d’afficher son mépris pour les souffrances de dizaines de milliers de victimes,
assassinées par le FLN après le 19 mars 1962.


Plutôt que de rassembler la nation, dans le souvenir et l’unité, François HOLLANDE,
par ce geste, a décidé sciemment, pour des raisons purement idéologiques et électorales,
de jeter le voile de l’oubli sur le drame des Français d’Algérie, et de raviver les blessures
de ceux dont la douleur reste toujours intacte.


Toutes les victimes de la guerre d’Algérie, Monsieur le Président de la République, ont
droit au même respect et à la même compassion.


Or, par votre présence le 19 mars prochain, vous ferez la démonstration que certaines
souffrances sont plus honorables que d’autres.


Thierry ROLANDO
Président national du Cercle algérianiste