13/08/2016 – 07H00 Rennes (Breizh-info.com) – De violents affrontements se sont déroulés rue Saint-Michel – la célèbre « rue de la Soif » – à Rennes, jeudi 11 août 2016, en fin de soirée. Ils ont opposés un groupe d’une quinzaine de jeunes Rennais à une grosse vingtaine de jeunes immigrés, dont une partie identifiée comme étant des « migrants » et/ou mineurs isolés étrangers.
Ces jeunes « migrants » se livrent depuis des mois – et cela s’accélère ces dernières semaines – à des vols, des trafics de drogue, des cambriolages, des rackets, dans le centre-ville de Rennes. Se cachant parfois derrière de fausses identités, de faux âges, ils profitent des largesses du droit français ; c’est ainsi que la plupart d’entre eux, même arrêtés, même pris en flagrant délit, sont relâchés ou condamnés à des peines mineures.
Bien entendu, ils ne sont jamais expulsés, qu’ils soient mineurs – leur statut leur permet d’éviter à l’expulsion – ou majeurs. Dans ce dernier cas, des associations bien-pensantes se mobilisent systématiquement pour empêcher leur expulsion en usant de tous les recours juridiques pour ce faire.
Jeudi soir, alors qu’un groupe de migrants se livrait à nouveau à des provocations et à des agressions de riverains en centre-ville, des jeunes Rennais sont intervenus pour leur demander de cesser leurs exactions. Ce qui n’a pas manqué de déclencher une bagarre qui a duré quelques minutes. Au cours de la confrontation, plusieurs chaises de terrasses ont volé en l’air. Au final, les « migrants » ont dû battre en retraite.
Au cours de la bagarre, deux jeunes Rennais ont été blessés par un de ces migrants qui était armé d’un tournevis. Le calme est finalement revenu, sans que la police n’intervienne.
Plusieurs riverains qui assistaient à la scène sont allés voir le groupe des jeunes autochtones pour les féliciter : « On n’en peut plus », dira l’un d’entre eux. « C’est dommage d’en arriver là, mais si la police et la justice ne font plus leur travail pour protéger les citoyens, d’autres s’en chargeront ».
Dans la nuit du 10 au 11 août, trois mineurs isolés étrangers – ou se prétendant comme tels – ont été interpellés en flagrant délit de cambriolage, avenue du Sergent Maginot. Après des tests effectués, il s’avère qu’ils sont en réalité majeurs. Rien de surprenant , comme nous l’ont confirmé des policiers du cru.
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Source : breizh-info