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dimanche, 27 janvier 2019

Panama : aux JMJ, le Pape prend la défense des migrants

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2019

Par  le 26/01/2019

 

Le pape François s’en est pris vendredi à la stigmatisation « insensée et irresponsable » des migrants et a rejeté leur présentation comme une « menace pour la société« . Le chef de l’Eglise catholique s’exprimait lors d’une messe en présence de centaines de milliers de jeunes gens, un des temps forts des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) au Panama auxquelles il participe.

« Nous voulons être l’Église qui favorise une culture qui sait accueillir, protéger, promouvoir et intégrer; qui ne stigmatise pas et, surtout, qui ne généralise pas, par la condamnation la plus absurde et la plus irresponsable, en identifiant tout migrant comme porteur de mal social« , a déclaré le souverain pontife aux Journées mondiales de la jeunesse (JMJ), rassemblement catholique au Panama. […]

Le pape argentin, qui a fait de la question des migrants l’un des thèmes centraux de son pontificat, a appelé à accueillir et à prendre en charge « tous ceux qui sont abandonnés et contraints de quitter, ou de perdre leur terre, leurs racines, leurs familles et leur travail« .[…]

Le Figaro via fdesouche

mardi, 08 janvier 2019

Le pape François à la tête du front immigrationniste

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2019

Les lobbies immigrationnistes, dont l’idéologie est en perte de vitesse au sein des peuples du Vieux Continent, -ceux-ci se tournant toujours plus vers les politiques fermes anti-immigration-, ont trouvé un leader de poids pour enflammer l’opinion : le pape François.

« Depuis plusieurs jours 49 personnes sauvées en Méditerranée sont à bord de deux bateaux d’ONG, Sea Watch et Sea Eye, en recherche d’un port sûr pour débarquer. J’adresse un appel appuyé aux responsables européens, pour qu’ils démontrent une solidarité concrète vis-à-vis de ces personnes »,

a lancé le Pape sévèrement. Et encore :

« Ne permettons pas à nos peurs de fermer le cœur, mais ayons le courage de nous ouvrir aux frères et sœurs qui ont besoin d’aide. »

Peu de mots, mais ces quelques phrases prononcées du balcon de Saint-Pierre, hier 6 janvier lors de l’Angélus du dimanche de l’Épiphanie, suffisent au pape argentin pour condamner la politique italienne sur l’immigration. Évidemment, Bergoglio ne cite pas Salvini, au contraire il implique tout le monde jusqu’à Bruxelles, mais ce sera difficile pour l’actuel ministre de l’Intérieur italien de négliger un appel aussi fort du pape.

En effet le Vatican, qui en Italie compte encore pour beaucoup, a décidé de prendre parti pour les migrants bloqués sur les bateaux des ONG et interdits d’accoster en Italie. Ces derniers jours le Saint-Siège a donc déployé tout un arsenal de propagande. La Conférence épiscopale italienne, la fondation Migrantes, la revue jésuite La Civiltà Cattolica, divers évêques et cardinaux, et maintenant le pape lui-même, ont admonesté le gouvernement italien : « Qu’il se bouge, les ports vont ouverts, ces hommes doivent être sauvés » disent-ils en cœur. « Je veux déclarer la disponibilité de l’Église turinoise pour accueillir certaines familles, a annoncé l’archevêque de Turin, Cesare Nosiglia. Un geste qui a une signification symbolique et concrète, un signal précis aux autorités italiennes. »

Les paroles du pape François à l’Angélus d’hier ont plu à la gauche radicale-chic. « Il ne pouvait pas y avoir d’expressions plus efficaces, commente une député de gauche, pour clarifier que les ports doivent rester ouverts et que Salvini usurpe les pouvoirs d’autres personnes. » Un autre politicien immigrationniste affirme : « Comme non-croyant, je remercie le pape. »

Pas spécialement sensible au credo immigrationniste bergoglien, Matteo Salvini ne lâche rien : « Combien nous en accueillerons ? écrit-il sur Facebook. Zéro. »

Le ministre de l’Intérieur italien n’entend pas renoncer à sa bataille, la plus populaire, et tant pis si le pape n’est pas d’accord et si le Vatican se mobilise pour les migrants.

L’absence de l’Union Européenne sur ce dossier et la position de fermeture de Malte qui « ne veut pas créer de précédent » en autorisant l’accostage sur l’île des deux bateaux des ONG et essaye de « maintenir un équilibre entre assistance et sécurité », permettent à Salvini de tenir sa position :

« Il est juste de discuter mais sur la question de migrants, celui qui décide c’est moi. Faites ce que vous voulez mais que l’on respecte les lois : les ports italiens sont et resteront fermés. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 20 décembre 2018

Pape François : « Accueillir et protéger les migrants, une responsabilité morale »

Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2018

 

Alors que la France est à nouveau frappée par une attaque du terrorisme islamiqueperpétrée par un maghrébin issu de l’immigration, alors que « 80 % de la population française considère qu’il faut stopper ou réguler drastiquement l’immigration » révèlent des généraux françaisque les Italiens plébiscitent la politique anti-migratoire de leur ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, que les Allemands manifestent en gilet jaune contre l’immigration, le pape François ne démord pas de son discours immigrophile.

Il en est d’ailleurs convaincu, ainsi que l’énonce le Pacte Mondial sur les migrations de l’ONU, accueillir les migrants constitue un de leur droit auquel les nations ne peuvent déroger. En pleine débat mondial sur cet accord onusien qui suscite de nombreuses controverses, dix ambassadeurs venus présenter leurs lettres de créance au pontife romain ce jeudi 13 décembre ont eu droit à ce message immigrationniste bergoglien :

« Il est essentiel que le respect pour la dignité humaine et pour les droits humains inspire et guide tout effort (déployé) afin d’affronter les graves situations de guerre, les conflits armés, la pauvreté opprimante, les discriminations et inégalités qui affligent notre monde, et qui ont contribué ces dernières années à la crise actuelle des migrations de masse. Aucune solution humanitaire efficace à ce problème ne peut ignorer notre responsabilité morale, avec l’attention due au bien communafin d’accueillir, protéger, promouvoir et intégrer ceux qui tapent à nos portes».

« Accueillir et protéger les migrants » devient ainsi, par la voix de Jorge Maria Bergoglio,la nouvelle obligation morale pour tout homme. Au nom de la « vertu » progressiste de solidarité qui, révolutionnairement, fait de l’étranger, du plus éloigné, le premier prochain de tout homme. Ce commandement humanitariste démesuré, ferment de désordre et d’anarchie dans le monde, a détrôné la belle vertu chrétienne de charité. Celle-ci, ordonnant et « restaurant » toute chose dans le Christ et en vue du bien commun, hiérarchisant les prochains, la famille et ensuite les membres d’une même patrie ayant la première place, est facteur d’une certaine paix pour l’humanitéMais la Rome conciliaire croit plus en la « sagesse » humaine post-moderne qu’en la Sagesse de Dieu…

La déconnexion des « élites globalistes », dont fait partie El papa argentin, des véritables aspirations identitaire et sécuritaire avant d’être économique des peuples européens apparaît de plus en plus criminelle. La ligne de division entre pays réel et pays légal passe aussi au Vatican bergoglien !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

 

 

vendredi, 21 septembre 2018

Nationalisme et xénophobie, les bêtes noires du pape François

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018 

Le pape François est maître dans l’art de détourner les regards des problèmes brûlants qui ébranlent son pontificat. Dans la même veine que nos hommes politiques qui, dès qu’ils sont englués dans des impasses économiques, confrontés au mal-être social ou à une population exaspérée par l’insécurité migratoire, ressortent du placard ou créent ex-nihilo une sombre affaire de racisme ou anti-sémitisme, el papa argentin crie aujourd’hui au péril nationaliste.

A travers un texte envoyé pour une conférence sur le nationalisme et la gestion des flux migratoires il a tonné encore « contre » la prolifération de « ces nouvelles formes de xénophobie et racisme » qui seraient en train de se diffuser en politique.

Le colloque auquel était adressé ce document était organisé conjointement par le dicastère pour le développement du Service humain intégral et le Conseil œcuménique des Églises (COE), entité protestante, et soutenu par le Conseil pontifical pour l’Unité des chrétiens. Il s’est tenu du 18 au 20 septembre 2018 au Vatican et s’est concentré sur l’expansion du soi-disant « nationalisme populiste » mis en relation avec l’accroissement de l’immigration. Son intitulé : Xénophobie, racisme et nationalisme populiste dans le contexte des migrations mondiales.

Dans son texte, l’actuel pontife a manifesté, à nouveau, sa contrariété envers « la ligne dure » de certains pays européens par rapport au phénomène migratoire. Lors du vote du « mariage » pour tous en Italie Jorge Maria Bergoglio s’était pourtant défaussé de son devoir de rappel de la loi divine en prétextant ne pas vouloir se mêler despolitiques des pays. Mais sur ce sujet éminemment politique qu’est la gestion de l’immigration il est toujours en première ligne pour condamner l’action ferme des gouvernements qui s’y opposent.

Les messages pro-migrants bergogliens sont des ferments de dissolution des identités et des courroies de transmission du mondialisme apatride. Ce dernier n’a pas manqué à la règle. Improvisant son allocution transmise par la salle de presse du Saint-Siège, l’immigrophile pape François a dénoncé « de véritables actes d’intolérance, de discrimination ou d’exclusion, qui lèsent gravement la dignité des personnes impliquées et leurs droits fondamentaux, y compris même le droit à la vie et à l’intégrité physique et morale » dans une optique toujours à sens unique de culpabilisation des Européens. Et a mis en garde contre la montée du péril noir, sirène anxiogène régulièrement claironnée pour maintenir les esprits dans le politiquement correct :

« Nous vivons à une époque où des sentiments que beaucoup pensaient dépassés, semblent reprendre vie et se répandre. Des sentiments de suspicion, de crainte, de mépris et même de haine à l’égard d’individus ou de groupes jugés différents en raison de leur appartenance ethnique, nationale ou religieuse, et en tant que tels, considérés comme indignes de participer pleinement à la vie de la société. »

Et d’en appeler à l’union des religions pour combattre ces « nouvelles formes de xénophobie et de racisme » pour « contribue[r] à construire des sociétés fondées sur le principe de la sacralité de la vie humaine et sur le respect de la dignité de toute personne, sur la charité, sur la fraternité, – qui va bien au-delà de la tolérance – et sur la solidarité. »

Le mondialisme pluri-ethnique et le syncrétisme pluri-religieux vont décidément bien ensemble ! Deux faces d’une même médaille vouée à disloquer les nations et étoufferla Vérité catholique par l’imposition à toute l’humanité d’un melting-pot bariolé et d’un relativisme mortel. Et, à l’heure présente, destinée à détourner l’attention des nombreux scandales qui s’accumulent sur ltête du pape latino-américain…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 03 août 2018

Peine de mort : François inscrit son interdiction dans le catéchisme et s’oppose à la tradition de l’Eglise

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2018

Auteur : admin4
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Entre saint Thomas d’Aquin et François, qui a tort ?

Comme c’est expliqué dans la 2e partie de cet article, le pape François, en condamnant la peine de mort dans son principe même – au-delà des circonstances – (et au nom d’une conception nouvelle (moderniste) de la dignité humaine), prend le contrepied des philosophes et théologiens catholiques et des papes (y compris les « modernes ») qui ont soutenu jusqu’à présent la légitimité de la peine capitale d’un point de vue catholique. Ont-ils « trahi l’Evangile » selon le mot très osé de François, ou est-ce lui qui se trompe totalement

« Le pape François a décidé d’inscrire dans le catéchisme de l’Eglise catholique une opposition catégorique à la peine de mort […] Il souhaite ainsi que l’Eglise s’engage désormais « de façon déterminée » à l’abolir partout dans le monde.

« L’Eglise enseigne, à la lumière de l’Évangile, que la peine de mort est une mesure inhumaine qui blesse la dignité personnelle », stipule désormais le texte en version française, modifié par le pape François. Continuer la lecture

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