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jeudi, 14 août 2014

Une fiction très éloignée de la réalité (par J-P Fabre Bernadac)

Publié par Guy Jovelin

Jeudi 7 août, passer une bonne soirée signifiait, pour moi, après une journée de plage et de soleil, regarder sur TF1, devant un petit verre de rosé de Provence, la série « Section de recherches ». Je sais bien que le mensonge est permanent derrière le petit écran ; malgré cela, c’était devant ce même écran que je m’apprêtais à savourer ces histoires policières mettant l’accent sur une unité de gendarmerie que je connais fort bien : celle de la SR, équipe se chargeant exclusivement des affaires judiciaires importantes au niveau régional.

C’était d’autant plus une joie de regarder ces téléfilms que je trouve les intrigues bien ficelées et les acteurs très crédibles, notamment Xavier Deluc dans le personnage du lieutenant puis capitaine Martin Bernier. Hélas, il m’a fallu encore une fois constater que, même dans les meilleures séries, le politiquement correct se retrouvait omniprésent. Cristina Arellano et Sylvie Coquart, les deux scénaristes, avaient concocté dans l’épisode « À la dérive » une fiction des plus éloignées de la réalité. On y voyait des primo-délinquants issus de la France profonde qui se retrouvaient dans un foyer pour jeunes sans qu’aucun des acteurs n’incarnât d’asocial provenant de la diversité. Les seuls émanant de l’immigration étaient les « gentils » : le commandant de la section de recherches et la directrice du foyer.

En résumé et en extrapolant le message délivrée par le producteur et nos deux dialoguistes, les délinquants étaient des Français de souche et les gens qui représentaient l’État dans ses fonctions protectrices étaient un officier issu de l’immigration algérienne et une jeune femme dont la famille venait du Burkina Faso. Pour compléter le scénario et mieux faire comprendre aux braves Français moyens où sont les coupables, l’assassin du flic se trouvait être un jeune « blanco » et son complice, le fils d’une fonctionnaire de police. Ce dernier, impulsif, cognant sa mère, nécessitait d’être enfermé au plus vite dans un hôpital psychiatrique.

Je sais ce qu’est une fiction, j’ai moi-même participé à l’élaboration d’une « bible » (résumé d’un scénario) sur la gendarmerie. La liberté de texte ne peut y être que totale. Il n’empêche que les personnages doivent, pour être crédibles, s’approcher au plus près de la réalité. Mais là est le hic, car transposer les nombreux faits divers journaliers à la télévision sans changer la provenance et la nature des délinquants n’est pas acceptable pour les médias quels qu’ils soient. Non seulement ce n’est pas acceptable mais il faut bien ancrer dans la tête de nos concitoyens qu’ils ne sont que des « Dupont Lajoie« , pour reprendre le titre du film d’Yves Boisset. Lire la suite

dimanche, 16 mars 2014

La menteuse guyanaise Taubira « grande ministre de la justice » pour la Marocaine Najat Belkacem

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2014

 

Les étrangers se serrent les coudes : en visite auprès du maire de Toulouse Pierre Cohen, la Marocaine Najat Belkacem a ardemment défendu la ministre faillie de la Justice Christiane Taubira. Prenant la parole dans le quartier occupé du Mirail, elle a déclaré : « Mme Taubira est une grande ministre de la justice, une responsable politique aux valeurs, aux principes et à l’engagement reconnus. »

Impliquée dans divers scandales, Christiane Taubira a été prise mercredi en flagrant délit de mensonges devant les Français. Circonstances aggravantes : elle avait menti devant des millions de Français sur TF1 lundi avant de récidiver mercredi, dans une conférence de presse officielle du gouvernement, où elle a elle-même brandi les preuves de ses mensonges.

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