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mardi, 23 décembre 2014

Nantes : un fourgon fonce dans la foule du marché de Noël

 

Publié par Guy Jovelin

Ouest France rapporte qu’un fourgon blanc aurait foncé sur la foule. Selon des témoins et un policier, il aurait crié « Allah Akbar ».
Le Figaro confirme l’évènement en précisant que le conducteur se serait assené 9 coups de couteau près du coeur après l’accident et qu’il y aurait 17 blessés dont 2 dans un état grave.

Comme dirait les politicards démocrates : « Attention de ne pas tirer de conclusions hâtives ». Même si les islamistes prônent les attentats suicides, en islam se donner la mort est interdit (Haram).

Foncer dans la foule avec un véhicule pour commettre des attentats lorsque l’on a pas les moyens et les connaissances pour organiser des meurtres de masse est une technique utilisée par les partisan de l’Etat Islamique en Chine. Sur cette vidéo à partir de 1 minute et 5 secondes vous verrez certains de ces attentats.

Source : http://www.ouest-france.fr/accident-place-royale-d...

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mardi, 25 novembre 2014

Les casseurs à nouveau en action à Nantes et Toulouse mais aussi Bordeaux et Lille

 

Publié par Guy Jovelin

Moins de 5.000 extrémistes se sont rassemblés à travers la France cet après-midi pour dénoncer les« violences policières » après la mort de Rémi Fraisse, un jeune alcoolique tué lors d’une nuit d’émeute à Sivens. La journée s’est déroulée « sans incident » selon les médias.

La preuve : les deux plus importants rassemblements – illégaux – de Toulouse et Nantes, se sont achevés dans la violence. Aucune autorisation de manifestation n’avait été acceptée après les nombreux crimes et délits commis lors des précédentes éditions. Si contre les nationalistes, dont les manifestations sont interdites a priori alors qu’aucun débordement n’a jamais été déploré, le Système mobilise des centaines de policiers et fait rafler toute personne ressemblant à un patriote – un Français propre sur lui –, les autorités ont cette fois encore laissé les extrémistes se regrouper et participer à une manifestation illégale.

Et comme les semaines passées, les deux manifestations ont rapidement dégénéré : les racailles rouges ont détruit de nombreux biens publics et privés, poubelles, voitures, abribus, sans doute en tant que symboles de « l’oppression fasciste et machiste »… À Nantes, la manifestation illégale s’est achevée devant la préfecture où 1.200 individus se sont heurtés aux forces de l’ordre. Aux jets de bouteilles et d’objets divers ont répondu les canons à eau et les gaz lacrymogènes avant que les casseurs ne donnent toute la mesure de leur « talent ». Les violences des semaines passées avaient conduit certains partis d’extrême gauche, comme Europe-Écologie-Les Verts, à ne pas se joindre à l’appel à manifester pour « reprendre la rue ».

À Toulouse, c’est un scénario globalement similaire qui s’est produit.

Le bilan de la soirée est lourd : plusieurs incendies criminels ont été constatés, du mobilier urbain a été détruit, des commerces ont été attaqués, des biens privés, notamment des voitures, ont été détruits ou dégradés ; plusieurs manifestations interdites ont pu se dérouler durant plusieurs heures sans la moindre réaction des pouvoirs publics. La complicité de Manuel Valls avec les casseurs est plus que jamais évidente. Par ailleurs, trois policiers ont été blessés, deux à Toulouse et un à Nantes.

Le bilan d’autant plus lourd que ces faits se sont produits à plusieurs reprises ces derniers mois et qu’ils ne concernent que quelques centaines de personnes – malgré l’appel à manifester dans plus de 20 villes, moins de 5.000 personnes se sont rassemblées hier. Pour mémoire, le Jour de colère avait rassemblé environ 100.000 personnes – la police du gouvernement d’occupation avait évoqué 17.000 personnes.

Selon les décomptes il y a eu seulement 200 manifestants à Bordeaux, une centaine ou moins à Dijon, Grenoble, Marseille, Paris et Poitiers, une cinquantaine à Gap et Saint-Étienne. À Lille, où la manifestation était illégale, les policiers ont laissé se rassembler plusieurs dizaines de racailles rouges qui ont multiplié les débordements dans le centre-ville, détruisant notamment des abribus.

Seuls quelques casseurs ont été interpellés, 16 à Toulouse, 14 à Nantes, 2 à Lille, pour un total de 38 ; ils devraient être rapidement relâchés par les juges rouges.

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mardi, 04 novembre 2014

De Toulouse à Nantes : tous les casseurs d’extrême gauche relâchés

 

Publié par Guy Jovelin

Alors que Manuel Valls et son gouvernement tentent de ménager son extrême gauche sur le plan politique – Ségolène Royal a invité les opposants au barrage de Sivens à une vaste concertation – , la justice fait soudain preuve d’un laxisme extraordinaire. Alors que des Français ont fait plusieurs semaines de prison après leur arrestation arbitraire dans le cadre de la Manif pour tous, durant laquelle il n’y avait eu ni dégât, ni blessé, tous les – rares – casseurs d’extrême gauche arrêtés, qui ont commis d’innombrables crimes et délits ces derniers jours, ont été relâchés.

À Nantes, sur les 21 racailles interpellées samedi, aucune n’a été jugée en comparution immédiate. Sept ont fait l’objet d’un simple rappel à la loi et sept seront – devraient être – convoquées devant un tribunal correctionnel pour divers délits, mais aucun n’a été maintenu en détention avec que les faits retenus « outrages », « port d’armes » et « violences sur policiers » sont plus graves que ceux retenus contre des militants de LMPT qui ont fait plusieurs semaines de prison. Trois mineurs seront convoqués devant un juge pour enfants.

À Toulouse où de nombreux incendies criminels ont été perpétrés et où les violences ont fait plusieurs blessés, quatre extrémistes ont été jugés. Deux racailles qui ont caillassé des policiers ont écopé de six mois de prison, dont quatre avec sursis et quatre mois, dont trois avec sursis ; ils sont repartis libres du tribunal.

Un autre individu qui a reconnu avoir jeté des parpaings sur les policiers a obtenu le renvoi de son procès et devrait obtenir une peine encore plus clémente. Le quatrième individu jugé, qui portait une arme factice, a été relaxé.

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