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mardi, 05 décembre 2017

Migrants. « L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

nantes
 Les interlocuteurs du Président de l'Université de Nantes ...
 

05/12/2017 – 07h10 Nantes (Breizh-info.com) –  40 chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voici les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.

Avec de surcroit, l’annonce du président, Olivier Laboux, de ne pas souhaiter l’intervention des forces de l’ordre suite à la demande d’expulsion déposée devant le Tribunal administratif et jugée ce lundi 4 décembre.

Depuis le 22 novembre 2017, dix salles de cours ont été « réquisitionnées » par l’extrême gauche pour y faire dormir plus d’une dizaine de migrants. Mais également pour en faire un espace « social », entre concerts, jeux, alcoolisation, et rêveries militantes …

L’annonce qu’une quarantaine de chambres gérées par le Crous seront affectées en priorité aux migrants étudiants à partir du 1er février 2018 a du mal à passer chez certains étudiants français qui eux, doivent se loger à des prix beaucoup plus élevés dans Nantes.

« L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement » peste William, en deuxième année d’histoire. « L’université va prendre en charge une bonne partie du coût de ces gens. Il faut savoir : ils sont mineurs ou pas ? Il ne me semblait pas qu’à 16 ans, on rentre en faculté, à moins d’être tous des surdoués …»

Ce dernier nous confie être dégouté : « Je ne comprends pas comment on peut rester aussi passif. Chaque jour qui passe, c’est une concession faite aux nouveaux arrivants, et une capitulation face à une extrême gauche violente, la même qu’on retrouve à casser en manif contre l’aéroport ou contre les violences policières. Et nous, avons nous encore le droit de vivre et d’être aidé dans notre propre pays ? ».

Du côté de l’Université de Nantes, nous avons tenté de joindre M. Laboux et son cabinet, sans succès pour le moment.

Le Crous versera en sus une aide alimentaire aux migrants qui bénéficieront des 40 chambres universitaires. L’université de Nantes s’engage aussi à accompagner gratuitement les migrants (pouvant justifier d’un diplôme donnant accès à l’enseignement supérieur) souhaitant effectuer une formation diplômante. Elle veut aussi faciliter l’apprentissage du français, « via le service universitaire des langues qui les accueillera et les orientera ». Un accompagnement social et sanitaire leur sera garanti. « Nous souhaitons répondre à ces situations humaines extrêmement douloureuses. Scolariser, former, c’est insérer durablement dans une société », justifie Olivier Laboux à 20 minutes.

Voilà qui viendra compléter la capitulation et les annonces de relogement, par Johanna Rolland, maire de Nantes, face aux pressions réussies (bien organisées et très médiatisées, sans aucune contestation) de l’extrême gauche nantaise, pourtant ultra minoritaire.

Les journalistes subventionnés ne savent plus quoi faire par ailleurs pour justifier, y compris l’injustifiable, c’est à dire l’immigration illégale :

Ainsi, le journal La Croixprenant l’exemple des migrants à Nantes, évoque le cas de Moussa, qui aurait immigré du Mali – un pays pas en guerre – en raison simplement … d’un différent familial et d’une volonté d’aller à l’école.

« Issus majoritairement d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, Congo…), ces adolescents ont bien souvent quitté leur pays pour fuir un milieu familial pauvre, parfois violent, et assouvir leur plus grand rêve : étudier. Comme en témoigne Moussa (1), venu du Mali, qui dort lui aussi à l’université. « Mon père a deux femmes et l’une d’elles ne m’aime pas. C’était difficile à la maison, et moi, j’ai toujours voulu aller à l’école. »

Engagé dans un recours contre sa non-reconnaissance de minorité, il s’apprête à partir à Saint-Nazaire, où plusieurs hébergeurs vont l’accueillir à tour de rôle. « Si j’ai pris le bateau pour traverser la Méditerranée, avec des femmes et des enfants qui pleuraient à côté de moi, c’est pour enfin aller à l’école », confirme à ses côtés Ibé, épuisé par son parcours d’exil.»

«Avec ce type d’argument, c’est le monde entier qui pourrait venir chez nous ...», remarque Marie, une étudiante manifestement désabusée.

Photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

Source : breizh-info.com

lundi, 27 novembre 2017

Nantes. Un château occupé pour les jeunes migrants au bord de l’Erdre

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

Situé sur le campus, le château du Tertre est, depuis dimanche 26 novembre, à Nantes, investi pour abriter des migrants.

Après l’école des Beaux-arts réquisitionnée puis évacuée, après des salles de la fac à Censive, c’est le château du Tertre qui est désormais occupé pour l’accueil des jeunes migrants, à Nantes, depuis dimanche 26 novembre au soir. Le bâtiment, qui date de 1872, allait être mis en chantier. Il s’agit d’un château bien visible des promeneurs depuis les bords de l’Erdre.

La décision d’occuper le château a été votée, dimanche 26 novembre, en soirée, par les étudiants, des associations et des mineurs étrangers isolés. Pour l’instant, les mineurs n’y sont pas hébergés : ils sont toujours dans les salles du bâtiment Censive, appartenant à l’université.

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Une proposition a été faite, dimanche soir, à la présidence de l’université. Etudiants et associations demandent que les espaces occupés à Censive servent de lieu de vie et d’activité. et que le château accueille les jeunes migrants pour la nuit.

 

Source : ouest-france

mercredi, 08 novembre 2017

Nantes : et encore un moralisateur arrêté pour viol, directeur d’une « maison de quartier » grassement financée par la gauche…

Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2017

 

Oui, le vent semble tourner, et la « libération de la parole des femmes » au sujet des viols éclaboussent totalement les habituels distributeurs de moraline.

Presse Océan nous informe dans son édition du 3 novembre que Moustapha Rahmani, 47 ans, directeur de la maison de quartier des Dervallières – la plus importante de Nantes – a été arrêté pour viols, agression sexuelle, harcèlement sexuel et moral d’au moins six femmes, toutes ayant travaillé sous ses ordres. Il avait été suspendu le 12 octobre suite aux premiers dépôts de plaintes. Il y était entré comme animateur à 18 ans en 1987 et y a fait carrière, devenant directeur de la Maison de quartier du Breil en 2008 puis de celle des Dervallières en 2012. Jean-Marc Ayrault, du temps où il était maire de Nantes, saluait son « travail remarquable ».

Rappelons que la maison de quartiers des Dervalllières est un haut lieu de propagande régimiste, financé à hauteur de 20 millions d’euros par an. Le journal internet Breizh Info donne plus de précision dans un article du 5 novembre :

« La presse locale évoque le sujet avec précautions, voire à mots couverts, en évitant de citer le nom de l’intéressé. C’est que cette figure montante des milieux municipaux avait entrepris depuis quelques années de se faire une réputation de grande conscience morale. En 2014, il accueillait aux Dervallières l’exposition itinérante et militante « Zoos humains, l’invention du sauvage », créée par la Fondation Lilian Thuram, Éducation contre le racisme et participait lui-même à une table ronde avec Lilian Thuram et l’historien Pascal Blanchard, vieux militant de la cause tiers-mondiste. En 2015, toujours dans son établissement municipal, il recevait une autre table ronde à l’occasion des Semaines d’éducation contre les discriminations organisées par la FAL 44. Il y intervenait aux côtés de Jessy Cormont, co-auteur avec Saïd Bouamama du Dictionnaire des dominations. « J’attache beaucoup d’importance aux fondamentaux de l’engagement militant », déclarait-il au journal de quartier local Couleur locale alors que son établissement fêtait son 50ème anniversaire, début 2017. Il acquérait aussi ses galons d’intellectuel en publiant avec une enseignante de l’Université de Nantes un article intitulé « Contributions de médiations (inter)culturelles pour créer des innovations artistiques et managériales » dans Remac ‑ Revue de Management et Cultures. Il y proclamait la nécessité de « densifier des liens de valeurs entre différentes formes de culture et les individus ». »

Sur sa page Facebook, il montre sa proximité avec l’association d’extrême gauche Amnesty international. Décidément, des gens « très bien » ces tenants du nouvel ordre moral…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 28 avril 2017

Nantes. Un journaliste de Breizh-Info agressé lors d’une manif contre Macron et Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2017

Nantes (Breizh-Info.com) – La liberté de la presse, si souvent bafouée ces derniers jours, est chaque jour un peu plus menacée. Alors qu’il couvrait la manifestation contre le FN et Emmanuel Macron, Nicolas Faure, journaliste pour Breizh-Info, a été lâchement agressé par plusieurs individus au visage masqué. Voici son témoignage.

Notre journaliste jeté au sol et roué de coups, son matériel cassé

Agression journaliste Nantes manif anti FN

« J’ai suivi la manifestation sans souci pendant 20 minutes. C’est en bas de la rue de Strasbourg que les choses se sont gâtées. Alors que je me suis éloigné pour prendre un plan large de la manifestation, un groupe de 4-5 personnes s’est détaché du cortège. Entièrement masqués, les individus étaient clairement venus là pour en découdre avec moi. Après une apostrophe très virulente liée à mon appartenance à Breizh-Info, les individus m’ont mis à terre et frappé au sol. Ils ont pris ma caméra et l’ont jeté au sol violemment avant de s’emparer de la carte SD et de s’enfuir. La BAC est arrivée mais n’a pas pu interpeller mes agresseurs. Il y en a pour plus de 1 500 € de casse ! C’est dramatique pour mon activité de journaliste. J’ai porté plainte et j’espère que les coupables seront punis. »

Un acte grave contre la liberté de la presse

« J’ai commencé à travailler pour Breizh-Info depuis peu de temps. Ce n’était que mon troisième reportage en manif, je m’en souviendrai !
Cela m’inquiète d’autant plus que cet acte s’inscrit dans un cadre plus global de pourrissement du climat dans le monde de la presse. Qu’on attaque un journaliste de cette manière devrait inquiéter tous les démocrates. Mais il en faudra plus pour me décourager ! »

Agression journaliste Nantes manif anti FN

Une manifestation marquée par la faible participation

Avant cette agression lâche et violente, la manifestation avait rassemblé près de 350 personnes dans les rues de Nantes à partir de 15h. Un nombre relativement peu élevé qui laissera d’ailleurs un arrière-gout amer aux participants. Au rendez-vous devant la FNAC, les manifestants décident malgré tout de s’élancer dans les rues de Nantes. Derrière deux banderoles appelant au « soulèvement » et à « lancer les pavés », les manifestants égrènent plusieurs slogans contre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.
Après une brève tentative d’incursion dans Bouffay – vite bloquée par les CRS -, le cortège repart le long du cour des 50 otages jusqu’à la préfecture puis atteint le bas de la rue de Strasbourg sans incident notable. A cet instant notre journaliste se fait agresser. La manifestation poursuit son chemin, tentant un deuxième tour du même circuit. Mais arrivés à proximité de la préfecture, la police a dispersé la manifestation en usant de gaz lacrymogènes.
Une interpellation a eu lieu. Un homme, passablement ivre selon le témoignage d’un autre de nos journalistes présent sur les lieux, a jeté une canette sur des policiers. Il a été placé en garde à vue.

Les agresseurs de notre journaliste sont, eux, toujours en liberté.

 

Source : breizh-info

mercredi, 24 décembre 2014

« JOUE-LES TOURS, DIJON, NANTES, MENACES ISLAMISTES OU PREMICES D’UNE GUERRE ETNIQUE DECLAREE ? »

dijon,joué les tours,nantes,menaces islamistesLes  graves  événements qui se sont produits sur notre sol devraient attirer toute notre attention et vigilance. Le gouvernement et les médias décrivent les protagonistes de ces faits comme étant des êtres  perdus, asociaux, « demeurés » ! Tout est bon là encore pour expliquer l’inexplicable, justifier l’injustifiable ! Soyons clairs, les individus mis en cause voulaient délibérément nuire d’une part  aux forces de l’ordre, d’autre part  à la population. Il ya une volonté de s’attaquer à ceux qui représentent la France et  par extension aux français de souche !

A  Joué-les Tours, aucun doute possible, il s’agit de l’acte d’un islamiste radical, qui dieu merci a été éradiqué. En ce qui concerne la ville de Dijon, les autorités publiques ont rejeté d’un revers de la main la piste islamiste. Pourtant, le « demeuré » était vêtu d’une djellaba et a tout de même crié « ALLAH AKBAR ! » avant de précipiter sa voiture sur la foule !! Cherchez l’erreur??

Pour l’affaire de Nantes, qui a tout de même fait un mort et une dizaine de blessés dont l’auteur présumé, nous ne disposons pas d’éléments saillants afin de nous prononcer.

Alors menaces islamistes, actes de « demeurés », prémices d’une guerre ethnique déclarée ??

 Le fait avéré est que l islamisme se montre de plus en plus menaçant pour l’occident, le passage à l’acte est récurrent ! Nous devons nous attendre à d’autres événements similaires dans les semaines, les mois à venir.

Car ces « français intégrés (sic !) » agissent en toute impunité, bénéficiant d’un soutien, d’un appui inconditionnel du pouvoir au nom de la sacro sainte tolérance et des principes républicains, or nous savons que la laïcité est un rempart en carton pate face au fondamentalisme religieux musulman !

Imaginons un seul instant qu’un français de souche commette les mêmes méfaits, aussitôt il serait cloué au pilori, lapidé, voué aux gémonies par le système.

Le pauvre bougre serait affublé de racisme, de xénophobie, de perversion, considéré comme un dangereux psychopathe et  dieu sait quoi encore !

Nous, au Parti de la France, sommes les sentinelles fidèles de la Nation et avons pour mission de sonner le tocsin afin de réveiller les consciences de nos compatriotes.

Le compte à rebours a commencé !                                                          

Réagissez avant qu’il ne soit trop tard !

Rejoignez le Parti de la France ! Pour rendre la France aux Français !             

                                                                    Franck PECH

                                                                    Délégué Adjoint du PDF31