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lundi, 26 novembre 2018

Linz (Autriche) : appels à la prière du muezzin pendant l’Avent

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2018

Par  le 26/11/2018

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Ceux qui flâneront pendant la période de Noël dans le centre-ville de Linz entendront parfois en décembre, à côté de chœurs d’anges, Last Christmas et autre musique d’ambiance, quelque chose de tout à fait inhabituel. Celui qui choisira de traverser la « OK Platz » assistera en effet à certaines heures à un évènement audiovisuel d’une nature particulière. Du 2 au 23 décembre, les appels du muezzin sortiront en effet à intervalles réguliers de la chapelle sécularisée Notre-Dame.

On le doit à l’installation artistique « ADHINA » de Werner Puntigam et Klaus Hollinetz. Une fois par jour retentira en décembre un collage artistique fait de bruits urbains et d’appels du muezzin […]

Des enregistrements audio et vidéo faits par Puntigam lors de ses séjours au Mozambique, en Algérie, à Istamboul et à Singapour en constituent la base […] Selon leurs propres dires, les deux artistes entendent avant tout, avec cette intervention acoustique et le choix de sa présentation dans la période de l’Avent, « faire prendre conscience que l’islam et le christianisme sont et veulent être des religions de paix ». […]

(Traduction Fdesouche)

Der Standard

 

samedi, 23 décembre 2017

Carl Lang et Le Parti de la France vous souhaitent une heureuse et sainte fête de Noël.

 

Le Parti de la France

vendredi, 22 décembre 2017

A la Légion étrangère, gare à celui qui voudrait faire disparaître les crèches de Noël !

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2017

   20 décembre 2017

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Malgré les controverses entretenues par quelques ayatollahs de la laïcité, il subsiste au moins un endroit où la crèche de Noël fait l’unanimité. C’est au sein de la Légion étrangère !

La Légion étrangère accueille pourtant des hommes de nations et de croyances différentes. Mais tous prennent un véritable plaisir à se retrouver autour des crèches de Noël qui, dans chaque régiment, font l’objet d’un concours. Chrétiens ou non, les légionnaires ne se font pas prier pour participer à la confection de ces crèches de Noël.

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La Légion étrangère est une famille et les crèches de Noël font partie de ses traditions. « Sur une caisse de munitions, sous un arbre du voyageur, à l’abri d’une dune, ou dans les caves du régiment… » Bien fou celui qui voudrait y mettre fin !

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Source : medias-presse.info

 

samedi, 16 décembre 2017

Société • Le consumérisme qui dégrade tout

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2017

 

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Par  Mathieu Bock-Côté

Cette tribune de Mathieu Bock-Côté sur son blogue du Journal de Montréal [14.12] est émouvante parce qu'elle pointe la dégradation de Noël en fête consumériste que l'argent vient souiller. LFAR  

 

 Noël s’en vient. Dans dix jours, on se préparera pour le réveillon.

C’est une belle fête, peut-être la plus belle qui soit, qui nous connecte aux origines de notre civilisation. Elles nous sont rappelées par des chants populaires racontant l’histoire de l’humanité sauvée à partir d’une étable à Bethléem.

C’est aussi la fête de douce mélancolie, quand on avance en âge, à la fois parce qu’on a le souvenir de l’enfance émerveillée, mais aussi parce qu’on voit disparaître peu à peu ceux qui, depuis toujours, étaient associés aux réjouissances familiales.

Noël

Et pourtant, cette belle fête s’accompagne chaque année d’un certain malaise devant son recyclage consumériste.

La publicité massive, qui est une forme d’agression psychologique à temps plein contre ceux qui la subissent, en est le symptôme.

Son message est simple à décoder : Noël ne doit pas être qu’un banquet, mais une orgie consommatrice. C’est ainsi, apparemment, que l’on comblera nos proches, qu’on leur démontrera notre amour.

On nous dira que ce malaise est désormais convenu. Que c’est même la posture que se donnent les moralisateurs d’aujourd’hui pour faire la leçon à ceux qui savent jouir de la vie.

N’y a-t-il pas grand bonheur à donner et recevoir ? Cela va de soi et personne n’est vraiment nostalgique des bas de Noël où on trouvait une orange et un soldat de bois.

L’abondance n’est pas une malédiction et on ne gâchera pas son bonheur de voir le regard émerveillé d’un être aimé à qui on parvient vraiment à faire plaisir.

Mais l’enjeu n’est pas là. Il se trouve plutôt dans la réduction du bonheur à la consommation compulsive qui nous pousse comme des automates dans les magasins comme si nous étions condamnés à nous y retrouver en troupeau.

Souvent, on cherche moins le cadeau qui touchera le cœur qu’on décide de les accumuler, de peur de décevoir s’ils ne sont pas assez nombreux, de peur de passer soi-même pour insuffisamment généreux.

C’est à ce moment qu’on comprend à quel point le capitalisme domine nos consciences.

Une civilisation digne de ce nom, loin de se soumettre à l’injonction publicitaire, nous apprend à y résister.

Voyons plus largement. Combien sont-ils à chercher à remplir leur vide existentiel en se soumettant au principe de l’achat à répétition ? Combien en sont venus à se jeter dans la consommation en espérant trouver là le sens qui manque à leur vie ?

Donner

Il nous faudrait réapprendre à vivre autrement. Les plaisirs de la table, de la balade, de la lecture, du silence, de la musique, du sport ne sont certainement pas gratuits : ils sont néanmoins d’une autre nature que la consommation programmée.

Les fêtes de Noël nous ouvrent à la part la plus noble et lumineuse de l’âme humaine : le plaisir de donner, de semer le bonheur autour de soi. Il serait bien que cette part ne soit pas dénaturée par l’argent qui, mal utilisé, peut tout souiller.  

lundi, 11 décembre 2017

Quand la dhimmitude nous impose des marchés de Lëon et un jugement outrancier

Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2017

Oui, ce matin, je suis furieux. Et j’aimerais vous faire partager ma furie.

Une fois de plus, c’est la dhimmitude de nos responsables qui me font réagir, car une fois de plus, c’est l’islamophilie qui pourrit la vie de nos concitoyens.

Sans compter le marché de Noël de Strasbourg qui a banni de ses stands un adorable bébé né il y a 2017 ans, nous avons désormais des municipalités honteuses d’employer le mot de Noël et qui l’on rejeté de leur vocabulaire. A ce jour, deux maires ont accepté de ne pas offusquer nos amis musulmans et nos ennemis islamistes : ceux de Nantes et de Poitiers. Deux maires qui ont peur de prononcer ce mot de Noël deux fois millénaires. Mais puisqu’il sont si laïcs, savent-ils qu’avant la naissance du christ, il s’agissait de fêter le solstice d’hiver, de célébrer la renaissance du soleil. Un soleil qui en l’an 0 de notre ère s’est appelé Jésus. Un jour que les Perses appelaient le Mithragan c’est à dire la victoire de la lumière sur les ténèbres. Ce que les chrétiens ont traduit par la naissance de Jésus-Christ.

Alors pour nier cette naissance ces maires ont renommer le marché de Noël… le marché Lëon. Vous noterez la jolie astuce du tréma ! Sans doute pour faire passer la pilule à ceux qui ne croient pas en Allah. Mais, après l’insulte faite à Saint Jean-Paul II à Ploërmel, la suppression du marché de Noël des Champs-Élysées qui n’a bien sûr rien à voir avec la dhimmitude de la mairesse Hidalgo, et autres attaques frontales contre la chrétienté que certains aimeraient voir disparaître à jamais au cours d’une nouvelle inquisition, nous voici obligés d’accepter l’inacceptable. Mais MM. Les commerçants de Poitiers et de Nantes, refuser de pénétrer sur ce marché léonien, et ouvrez vos stands là où sera respecté le mot si doux, si empreint de sérénité de Noël.

D’ailleurs les maires concernés par cette idiotie ont-ils fait attention à la définition de cet adjectif.

Léonien : très défavorable, très inégal…Oui, MM. les maires, arrêtez votre stupidité. Joyeux Noël, Merry Christmas. Des millions d’enfants ont rêvé de la magie de Noël. Écoutez Frank Sinatra chanter Noël, avec ces clochettes qui annoncent la plus belle nuit de nos enfants. Écoutez tous ces chants et chansons qui nous parlent de la joie de Noël et pas la joie stupide de Lëon.

Et puis Poitiers, symbole du combat de la chrétienté a vu cette semaine un jugement dont s’est offusqué Me Frédéric Pichon : cette scandaleuse décision de rendre incivils cinq jeunes français, cinq courageux qui avaient osé monté sur le toit en construction d’une mosquée d’une organisation proche des Frères Musulmans et qui domine la gare de Poitiers, les condamnant à l’infamie de la privation de leurs droits civiques et à 40.000 euros d’amende dont ces étudiants n’ont pas le moindre centime.

Notre démocratie interdit de condamner un jugement. Mais n’est-il pas inadmissible et inconcevable que notre justice soit si injuste, préférant les criminels aux innocents, acceptant tout des anti-fas et rien de ceux qui s’opposent à l’islamisation outrageante et brutale de leur pays, la France.

Alors, oui, tous les jours, il y a de quoi perdre sa bonne humeur, mais là, trop c’est trop. La goutte d’eau qui fait déborder le vase. Une double bêtise, celle de juges et de maires qui ont outrepassé leur droit pour se soumettre. Vous avez deviné à qui… Mais d’ailleurs, ces dhimmis, ont-ils pensé que la majorité des musulmans français sont très heureux d’offrir des cadeaux à leurs enfants le 25 décembre et n’ont jamais maudit les crèches dont ils reconnaissent, sans honte, qu’elles font partie du patrimoine français.

Floris de Bonneville

 

Source : ndf