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dimanche, 01 octobre 2017

Sondage Fondapol européen : de quoi les Européens ont très peur ? De l’invasion islamique avec les migrants

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2017

 

L’enquête inédite et exclusive, réalisée par la Fondapol dans 26 pays va faire grincer des dents pendant 24 heures dans les sphères dirigeantes. Elle sera très peu citée dans les médias. Elle ne changera en rien la politique immigrationniste, car l’Europe a décidé que l’avis des citoyens ne compte plus.

58% des Européens refusent l’immigration et l’islamisation imposée par l’Union européenne et leurs gouvernements. Et rien ne changera car le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et l’esprit de la démocratie ne font plus partie des valeurs européennes.

Fondapol révèle que les citoyens européens craignent cette immigration massive et incontrôlée venant de pays musulmans, et ils sont terriblement et de plus en plus inquiets vis-à-vis de l’islam. Comment ne le serait-on pas, avec les attentats mortels qui se sont abattus sur la quasi totalité des pays européens de l’ouest, et les profondes transformations culturelles que les musulmans impriment aux pays où ils représentent une minorité importante.

Le score de l’AfD, un parti ouvertement hostile à l’immigration musulmane et souvent décrit comme nazi par les médias qui militent pour l’ouverture des frontières, afin que les gens ne soient pas tentés de les écouter ou de les rejoindre, le week-end dernier en Allemagne, illustre ce raidissement. Le Brexit aussi évidemment.

Où va la démocratie?

Les craintes que suscite l’immigration, lequel est associé à l’islam, arrivent au premier rang des facteurs qui expliquent l’affaiblissement de nos démocraties : les peuples européens ne sont plus sollicités pour les grands sujets de société, et celui-là est le plus important de tous. Et c’est le refus des élites de tenir compte de la volonté du peuple qui aide à la progression des partis populistes qui les écoutent. C’est le principal enseignement de l’enquête conduite par Ipsos pour la Fondation pour l’innovation politique et dont Le Figaro Magazine publie en exclusivité les résultats les plus significatifs.

Première du genre, cette étude intitulée «Où va la démocratie? *» a été conduite simultanément dans 26 pays. Il est intéressant que le thème de ce sondage soit la démocratie, car le refus des dirigeants politiques de demander l’avis des peuples sur ces questions symbolise à son point extrême sa dégénérescence.

L’enquête a interrogé :

  • 22 pays européens choisis pour offrir une bonne représentativité de l’Union européenne dans son ensemble,
  • des pays qui n’en sont pas membres comme la Suisse et la Norvège,
  • le Royaume-Uni, qui l’a quittée,
  • et les Etats-Unis.

A la question : « tout bien considéré, l’immigration est plutôt négative ou positive ? »

  • 60% des citoyens ont répondu « négative pour notre pays »
  • 40% des citoyens ont répondu « positive pour notre pays »

Et ce dans toutes les catégories d’âge.

A la question : ‘l’islam représente une menace pour notre pays »

  • 58% des Européens ont répondu « oui, l’islam est une menace », dont
  • 63% en Allemagne,
  • 67% en Pologne,
  • 85% en république Tchèque,
  • 78% en Slovaquie,
  • 65% en Autriche,
  • 66% en Hongrie,
  • et 71% en Bulgarie.

A sa lecture, Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique, parle clairement d’un «dépérissement démocratique», que le résultat des législatives en Allemagne, qui a donné une légitimité à un parti né il y a seulement quelques années, l’AfD, à l’instar de la poussée foudroyante des partis populistes en Italie, confirme largement.

Dominique Reynié, Vous attendiez-vous à un regard aussi négatif sur l’immigration dans tous les pays européens, ou presque?

Dominique Reynié : « Que le jugement sur l’immigration soit négatif ne me surprend pas, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi largement partagé au sein des démocraties européennes. »

[Puis la question vicieuse qui tente encore et toujours de délégitimer l’opinion publique en interdisant l’idée qu’on puisse refuser l’invasion sans être raciste] N’est-ce pas tout simplement du racisme?

« L’«islamophobie» au sens propre n’est pas un sentiment raciste envers les musulmans en général, ni envers leur religion, mais une peur née du constat que les problèmes de cohabitation, les contentieux interculturels, mais aussi les violences – sans parler des attentats – sont presque toujours associés à une certaine interprétation de l’islam. »

Ce rejet de l’immigration varie-t-il en fonction de la situation économique des pays d’accueil?

On entend beaucoup dire en France que la fin du chômage réglera les problèmes de cohabitation. C’est faux.

« Je ne dirais pas que ça n’a aucun effet, mais c’est vraiment secondaire.

Dans des pays bien portants comme les Pays-Bas, l’Autriche, la Suisse, la Norvège et les pays scandinaves en général, et comme on vient de le voir en Allemagne, le rejet d’une immigration sans réciprocité atteint des niveaux très élevés. 

On entend beaucoup dire en France que la fin du chômage réglera les problèmes de cohabitation. C’est faux.

Les pays sans chômage ou à chômage résiduel connaissent les mêmes problèmes, quand ils ne sont pas plus aigus encore, comme aux Pays-Bas et en Autriche. 

Prenez la Suisse, qui a fait ce fameux référendum pour l’interdiction des minarets: c’est le pays le plus riche du monde! »

© Christian Larnet pour Dreuz.info.

jeudi, 16 octobre 2014

EBOLA : NOUS CACHE T- ON DES CHOSES ?

Publié par Guy Jovelin

Il y a dans l’opinion une propagation des thèses complotistes aussi foudroyantes dans leurs progressions qu'Ebola lui-même. Cela est dû au sentiment qu’on nous cache bien des choses pour ne pas nous affoler et en fait comme toujours, ça en affole certains.


Ebola : nous cache t- on des choses ?
Pas facile de faire face à des réactions irrationnelles et à des comportements stupides. La peur de côtoyer un noir ou d’envoyer des enfants à une école où il y a des enfants originaires des pays infectés est imbécile. Imbécile mais moins dangereuse que de cacher des réalités pour éviter la montée d’une exclusion de précaution, d’un apartheid sanitaire indispensable dans certains cas et pratiqués par les pays touchés eux même. 
Lire la suite sur metamag

samedi, 09 août 2014

Scènes d’une fin de semaine ordinaire en France (par J-P Fabre Bernadac)

Publié par Guy Jovelin

Vendredi 1er août en fin d’après-midi dans un arrondissement du nord de Paris, trois jeunes pénètrent dans une habitation en cassant un carreau. Ils s’emparent de divers objets et papiers (carte d’identité et carte bleue). L’appartement est habituellement occupé par une jeune fille seule, travaillant pour payer ses études. Le gardien de la petite résidence entendant du bruit se précipite et se retrouve face à un adolescent qui, sortant un couteau, l’avertit : « Si tu bouges, je te crève. » Celui-ci, devant la menace, laisse la bande s’enfuir. Le plus incroyable est que la police, prévenue, n’a pas voulu faire de justificatif de vol pour la jeune femme arrivée entre-temps, car elle n’avait pas le moyen d’établir son identité.

Samedi 2 août, à l’heure du dîner, à la sortie d’un restaurant de l’avenue principale de Sospel, petit village des Alpes-Maritimes, une bande s’approche d’un restaurant et gifle l’une des clientes. Le restaurateur qui essaye de s’interposer est roué de coups par quatre des individus du groupe. Selon les témoignages, il s’agit de gens installés depuis peu au village, bénéficiant d’une solide réputation de fauteurs de troubles. Ces individus d’une trentaine d’années ont, pour certains, déjà été condamnés à de la prison pour les mêmes faits de violence. La peur règne d’autant plus sur les habitants que ceux-ci ont été menacés de représailles en cas de plaintes déposées à la gendarmerie.

Dimanche 3 août, début de soirée, personne ne bouge pour porter secours à un septuagénaire, originaire d’un hameau près de Donnemarie-Dontilly, en Seine-et-Marne, agressé par une dizaine d’individus. Alors qu’il revient de la pharmacie de garde pour apporter des médicaments en urgence à sa femme, l’homme de 71 ans est bloqué par une Audi blanche stationnée sur la voie publique. Le conducteur discute avec un groupe sous la halle. « J’ai baissé ma fenêtre pour leur signaler que j’étais pressé et pour qu’ils déplacent le véhicule », se souvient la victime. C’est là que tout aurait dégénéré. « La voiture s’est garée et des individus ont rapidement encerclé mon véhicule », détaille-t-il. « J’ai reçu un coup de poing au visage et cela m’a fait perdre mes lunettes. Je suis sorti pour les récupérer, mon téléphone à la main pour appeler la gendarmerie. » Le septuagénaire reçoit alors une nouvelle salve de coups pendant que l’un des agresseurs s’empare de son téléphone.

Malgré ses cris, personne ne lui a porté secours. « Il y avait beaucoup de monde sur la place, personne n’a bougé le petit doigt », s’indigne la victime. Finalement avisée, la gendarmerie arrive sur place mais les témoins ne sont pas très loquaces. « Je ne viendrai plus dans cette rue, le soir, c’est toujours mal fréquenté. J’étais là juste pour des médicaments et je me fais tabasser », conclut le retraité.

Voilà ce qui se passe en France toutes les semaines, voilà comment un couvre-feu virtuel s’est instauré. Voilà comment police et gendarmerie sont submergées de plaintes et surtout comment la peur s’est installée, paralysant toute riposte. Riposte qui pourtant est prévue par le Code pénal quand un fait pénalement répréhensible est constaté.

Bien évidemment, je ne vous en dirai pas plus sur l’origine de ces divers malfaiteurs. Sachez simplement qu’ils ne sont pas originaires des coins de France mentionnés.

La seule question à se poser aujourd’hui est : « Ces actes délictueux vont-ils encore durer longtemps ? »

Sachant que l’on connaît les moyens pour y remédier : appliquer la tolérance zéro. Mais, bien sûr, tout cela passe d’abord par du courage et une véritable révolution des mentalités politiques.

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