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mercredi, 10 juin 2015

CRIMINALITÉ DES ROMS ET DES AUTRES : IMPUNIE ET EN PLEINE EXPLOSION.

 publié par guy jovelin

 
Criminalité des Roms et des autres : impunie et en pleine explosion.
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mercredi, 03 septembre 2014

Bernard Cazeneuve officialise le nouveau service statistique visant à masquer la réalité de la criminalité

Publié par Guy Jovelin

Dès son arrivée au ministère de l’Intérieur, Manuel Valls a engagé une « réforme » de l’outil statistique, officiellement par soucis de « fiabilité ». Il s’agissait en réalité d’interdire toute comparaison possible entre la situation précédant l’arrivée de la gauche au pouvoir et l’aggravation prévisible de la criminalité après l’installation de François Hollande à l’Élysée. Il a fallu finalement plus de 26 mois pour la seule mise en place de cet outil statistique : Bernard Cazeneuve a installé aujourd’hui le service statistique ministériel (SSM). Cette période a permis de masquer la hausse de la criminalité en France depuis deux ans, le gouvernement se réfugiant derrière la « mise en place du nouvel outil statistique » depuis 2012 pour nier la hausse de la criminalité voire pour prétendre une amélioration de la situation. Le SSM n’étant pleinement opérationnel que fin 2014, les seules statistiques complètes ne seront disponibles qu’à partir de 2015.

Le gouvernement sera parvenu avec cet artifice à faire disparaître trois des cinq années sur lesquelles se sera étalé – s’il va jusqu’au bout – le quinquennat de François Hollande. Il permettra au gouvernement, même en maintenant la criminalité à un niveau très haut à partir de 2015, de se féliciter d’avoir contenu la hausse de la délinquance.

Les statistiques de la délinquance enregistrée par la police et la gendarmerie seront désormais intégrées dans la statistique publique. Le SSM sera dirigé par un inspecteur général de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSÉÉ) avec pour mission de « garantir la sincérité, la fiabilité et la rigueur de la production des données statistiques ».

Le choix de l’INSEE n’est pas anodin puisque c’est ce service qui est chargé depuis 70 ans de mentir aux Français sur la réalité de l’invasion, des falsifications dénoncées depuis des décennies par les nationalistes et depuis quelques années par des démographes pourtant de gauche tels que Michèle Tribalat ou Bernard Aubry.

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samedi, 09 août 2014

Scènes d’une fin de semaine ordinaire en France (par J-P Fabre Bernadac)

Publié par Guy Jovelin

Vendredi 1er août en fin d’après-midi dans un arrondissement du nord de Paris, trois jeunes pénètrent dans une habitation en cassant un carreau. Ils s’emparent de divers objets et papiers (carte d’identité et carte bleue). L’appartement est habituellement occupé par une jeune fille seule, travaillant pour payer ses études. Le gardien de la petite résidence entendant du bruit se précipite et se retrouve face à un adolescent qui, sortant un couteau, l’avertit : « Si tu bouges, je te crève. » Celui-ci, devant la menace, laisse la bande s’enfuir. Le plus incroyable est que la police, prévenue, n’a pas voulu faire de justificatif de vol pour la jeune femme arrivée entre-temps, car elle n’avait pas le moyen d’établir son identité.

Samedi 2 août, à l’heure du dîner, à la sortie d’un restaurant de l’avenue principale de Sospel, petit village des Alpes-Maritimes, une bande s’approche d’un restaurant et gifle l’une des clientes. Le restaurateur qui essaye de s’interposer est roué de coups par quatre des individus du groupe. Selon les témoignages, il s’agit de gens installés depuis peu au village, bénéficiant d’une solide réputation de fauteurs de troubles. Ces individus d’une trentaine d’années ont, pour certains, déjà été condamnés à de la prison pour les mêmes faits de violence. La peur règne d’autant plus sur les habitants que ceux-ci ont été menacés de représailles en cas de plaintes déposées à la gendarmerie.

Dimanche 3 août, début de soirée, personne ne bouge pour porter secours à un septuagénaire, originaire d’un hameau près de Donnemarie-Dontilly, en Seine-et-Marne, agressé par une dizaine d’individus. Alors qu’il revient de la pharmacie de garde pour apporter des médicaments en urgence à sa femme, l’homme de 71 ans est bloqué par une Audi blanche stationnée sur la voie publique. Le conducteur discute avec un groupe sous la halle. « J’ai baissé ma fenêtre pour leur signaler que j’étais pressé et pour qu’ils déplacent le véhicule », se souvient la victime. C’est là que tout aurait dégénéré. « La voiture s’est garée et des individus ont rapidement encerclé mon véhicule », détaille-t-il. « J’ai reçu un coup de poing au visage et cela m’a fait perdre mes lunettes. Je suis sorti pour les récupérer, mon téléphone à la main pour appeler la gendarmerie. » Le septuagénaire reçoit alors une nouvelle salve de coups pendant que l’un des agresseurs s’empare de son téléphone.

Malgré ses cris, personne ne lui a porté secours. « Il y avait beaucoup de monde sur la place, personne n’a bougé le petit doigt », s’indigne la victime. Finalement avisée, la gendarmerie arrive sur place mais les témoins ne sont pas très loquaces. « Je ne viendrai plus dans cette rue, le soir, c’est toujours mal fréquenté. J’étais là juste pour des médicaments et je me fais tabasser », conclut le retraité.

Voilà ce qui se passe en France toutes les semaines, voilà comment un couvre-feu virtuel s’est instauré. Voilà comment police et gendarmerie sont submergées de plaintes et surtout comment la peur s’est installée, paralysant toute riposte. Riposte qui pourtant est prévue par le Code pénal quand un fait pénalement répréhensible est constaté.

Bien évidemment, je ne vous en dirai pas plus sur l’origine de ces divers malfaiteurs. Sachez simplement qu’ils ne sont pas originaires des coins de France mentionnés.

La seule question à se poser aujourd’hui est : « Ces actes délictueux vont-ils encore durer longtemps ? »

Sachant que l’on connaît les moyens pour y remédier : appliquer la tolérance zéro. Mais, bien sûr, tout cela passe d’abord par du courage et une véritable révolution des mentalités politiques.

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vendredi, 06 juin 2014

Le Progrès « puni » pour avoir osé rapprocher nationalités et criminalité (par Marie Delarue)

Publié par Guy Jovelin

 

En France, la criminalité, c’est comme la ratatouille, mais pas question de se renseigner sur les légumes qui la composent. Je m’explique. Au marché, on achète des tomates, des poivrons, des aubergines, des courgettes, de l’ail, des oignons… et tout ça, dans la gamelle, fait une belle ratatouille. Eh bien, chez nous, on a juste le droit de soulever le couvercle et de regarder ce qui mitonne.

Le 22 avril dernier, le quotidien Le Progrès a voulu transgresser la règle. S’appuyant sur le « rapport SIRASCO » de la police judiciaire, il a publié un dossier consacré aux crimes et délits commis dans le département, titrant en une : « Délinquance, criminalité organisée, qui fait quoi dans le Rhône ? » Et d’affiner le sujet en offrant au lecteur un classement en fonction des « nationalités impliquées » par type de délit. Bref, un œil sur ce qui entre dans la ratatouille de la criminalité.

Horreur !

Ce genre de révélation est en soi, on l’a très vite compris, un délit bien supérieur à tous ceux dénoncés dans le papier. D’autant que, bêtement, il faut le reconnaître, les infographistes maison ont opéré un étrange classement, rangeant dans la colonne nationalités des « Roms », des « toxicomanes », des gens « des cités de Marseille », des « Africaines », chacun avec sa spécialité : cambriolages, vols de ferraille, prostitution, etc.

Aussitôt, tollé des associations, dénonciation en incompétence de la part des confrères, railleries de Canal+, remontrances du gouvernement et des ligues de vertu, kilomètres d’insultes sur les réseaux sociaux, plaintes et représailles.

La direction a présenté des excuses, s’est lavé les mains, la bouche et le reste à l’eau de Javel, a mis les infographistes au piquet avant de se couvrir la tête de cendres.

Traumatisé, un pigiste a même tenté de laver l’affront « en rappelant notamment sur sa page un épisode héroïque : le quotidien s’est sabordé et a stoppé sa publication en 1942, tandis que la zone libre était occupée par les nazis, pour ne reprendre que deux ans après, au moment de la Libération », nous rapporte Rue89. Pauvre garçon, inutile de te déculotter ainsi, c’était peine perdue.

Et pourtant… Le Progrès est à la pointe, si l’on peut dire ; c’est même un phare de l’antiracisme, organisateur depuis 6 ans de la soirée « Diversité et entreprises » au cours de laquelle sont récompensées par des trophées des « initiatives locales en rapport avec la “promotion de la diversité” ». Un rachat par anticipation, en somme, des bons points dans la musette, un crédit de bonne conduite ? Que nenni. La soirée a bien eu lieu lundi 2 juin dernier, mais amputée des 17.000 euros qu’avait promis la région Rhône-Alpes. Sa vice-présidente, Mme Farida Boudaoud, chargée de la Culture et de la Lutte contre les discriminations, l’a dit : « Je ne me voyais pas cautionner cet événement après un article pareil. Pas possible. » Ben tiens.

Le MRAP, SOS Racisme, l’UEJF et quelques autres ont porté plainte contre le journal, accusé d’incitation à la haine raciale et de fichage ethnique.

Au fond, on lui reproche d’avoir mal saisi le concept de nationalité, et mal fait son boulot. En face de « vol de câbles électriques », il aurait fallu écrire Roumains et non Roms. Quant à la colonne prostitution, un petit coup d’œil au dernier rapport du Sénat aurait éclairé nos amis du Progrès. En effet, on peut y lire : « Au début des années 1990, 80 % des personnes prostituées étaient françaises. » […] Aujourd’hui, « 90 % des personnes identifiées en France comme prostituées sont de nationalité étrangère. Selon l’OCRTEH, celles-ci sont pour l’essentiel originaires de Roumanie, de Bulgarie, du Nigeria, du Brésil et de Chine. » Mais est-ce bien publiable ?

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