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jeudi, 04 septembre 2014

À Puteaux, cartables roses pour les filles et bleus pour les garçons ! (par François Teutsch)

Publié par Guy Jovelin

Heureusement que la presse veille à l’orthodoxie républicano-socialiste et dénonce les scandales comme celui qui vient d’éclater dans les Hauts-de-Seine. En cause, la décision de la mairie de Puteaux d’offrir un cartable aux écoliers de la commune. Rien à redire sur le sujet lorsque l’objet en question est noir. Mais cette année, les objets du délit sont roses pour les filles et bleus pour les garçons. Et, en prime, on offre à ces derniers un livre pour apprendre à monter un robot, tandis que leurs sœurs reçoivent un guide pour créer leurs propres bijoux.

Il faut dire que la théorie du genre, qui n’existe pas sauf dans l’esprit de quelques paranoïaques homophobes et malintentionnés, s’oppose formellement à la perpétuation de tels stéréotypes. D’ailleurs, le très sérieux Point titre « Des fournitures scolaires très “genrées” », tandis qu’un opposant politique confie généreusement à Libé : « Ce n’est pas un message politique contre la théorie du genre. C’est juste du stéréotype bête et idiot. » Mais, on vous le dit, ladite théorie n’existe pas.

Stéréotypes : le mot est lâché. Il est devenu, comme le racisme il y a trente ans, l’hydre contre lequel il faut lutter sans relâche. Pour sauver l’humanité, luttons contre les stéréotypes. Celui selon lequel les filles préfèrent les poupées et les garçons les soldats. Celui selon lequel les femmes ont moins d’accidents que les hommes : désormais, il est discriminatoire d’appliquer des tarifs d’assurance moins élevés pour nos compagnes ! Celui selon lequel les déménageurs qui montent les pianos au huitième sans ascenseur sont plutôt des hommes costauds. Celui selon lequel un catho est forcément homophobe, doublé d’un imbécile s’il est de droite… Pardon ? Ce n’est pas un stéréotype ? Ah, je suis confus, je ne recommencerai pas.

C’est bien, le stéréotype : ça fait moderne, un peu savant, et personne n’a rien contre le fait qu’on voie les choses telles qu’elles sont plutôt qu’au travers d’un cliché, non ? Mais ça dépend desquels. Parce que, comme pour le racisme, il y a le bon et le mauvais stéréotype. On pourrait en faire un jeu pour s’entraîner de façon ludique. À chaque expression, répondez « bon » ou « mauvais ». Exemples : socialiste généreux ; femme coquette ; curé pédophile ; romanichel trafiquant ; homme qui fait bouillir la marmite ; musulman intégriste ; etc.

À Puteaux, le maire ne semble pas avoir compris l’importance d’un tel combat. Pourtant, nous disait France Intox le 2 septembre, l’édile ne semble pas particulièrement proche de la Manif pour tous. Tiens, en voilà encore un. Un bon, évidemment.

On en viendrait à regretter Jacques Chirac : sous sa présidence, personne ne se serait étonné de la création d’une Haute Autorité de lutte contre les stéréotypes, dont la présidence aurait été confiée à une personnalité socialiste bien en vue. C’est désormais inutile. Non seulement les chiens de garde veillent, mais encore l’égalité hommes-femmes a fait de grands progrès. Ainsi, trois jeunes filles ont torturé une des leurs parce qu’elle regardait un peu trop leurs petits amis. De vrais comportements de garçons. Des Mesrine en puissance.

Najat peut se réjouir : mission accomplie !

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vendredi, 06 juin 2014

De la théorie du genre à l’agender…

Publié par Guy Jovelin

 
« La théorie du genre n’existe pas », Najat Vallaud-Belkacem vous l’a dit et répété. Et pourtant, pas moyen d’échapper aux campagnes destinées à « créer de l’empathie pour les transgenres ».  L’exemple du jour ? La photographe Chloe Aftel se fait connaître un peu partout, des Etats-Unis à l’Allemagne, du Pérou à l’Italie, sans oublier la France, en raison de son intérêt particulier pour les portraits d’individus  »agenres » ou « genderqueer ».

Chloe Aftel voit – comme par hasard – son projet de portraits intitulé « Agender » bénéficier depuis quelques semaines d’articles enthousiastes. Son geste est militant. « J’ai trouvé cela fascinant que ce groupe de gens galvanise le débat autour de ce qu’est le genre » , affirme Chloe Aftel à Vocativ qui parle de « genderqueer nation ». Tous ses modèles ont la particularité de ne s’identifier ni au genre masculin, ni au genre féminin. Quand ils parlent d’eux, ces individus préfèrent employer le pronom indéfini they

« Ce n’est pas adhérer aux deux genres, ni à l’un des deux, c’est n’adhérer à aucun des genres. Ce n’est pas l’absence de genre, et ce n’est pas ne pas me soucier de mon genre. En fait, c’est plutôt le contraire – je m’en soucie énormément. Tout comme mon expression de genre, et ma perception de genre. J’ai un genre, et il est neutre. », raconte l’un des modèles de Chloe Aftel.

On attend avec impatience l’individu qui va nous raconter qu’il a la perception d’être un poisson ou une chèvre…

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mardi, 13 mai 2014

Eurovision : un travesti remporte le concours

Publié par Guy Jovelin

Ce n’est pas très surprenant tant cet individu, un barbu déguisé en femme, avait été promu par les médias.

Sous le nom de « Conchita Wurst » (en français, wurst = saucisse…), c’est donc « l’artiste » autrichien qui a remporté le concours européen annuel de chanson.

Le médiocre, le vulgaire et le ridicule y étaient déjà de coutume depuis un moment, mais voilà qu’une nouvelle étape est franchie.

Ce malade mental a été élu parce qu’il correspond parfaitement à la propagande que la caste politico-médiatico-financière met en œuvre depuis des années : c’est le triomphe de la théorie du genre.
L’objectif étant bien sûr de continuer à « faire bouger les mentalités », toujours dans le sens de la décadence…

Source : http://www.contre-info.com/#