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dimanche, 18 février 2018

Genderfolie : né homme, transformé femme, il allaite son fils !

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2018

création divine,genderfolie,il allaite son fils,théorie du genre,transexuelLa théorie du genre est avant tout un véritable cri de haine satanique contre la Création divine ! Tout est fait par les apprentis-sorcierstranshumanistes, haineux de toutes morale et loi naturelles, pour contrer la nature, la biologie, l’anatomie afin de créer un homme nouveau, indépendant de la création originelle. Révolution anthropocentrique diabolique au service d’un messianisme terrestre qui chante des lendemains paradisiaques qui ne seront qu’une descente en enfer pour l’humanité !

Rien n’arrête donc la genderfolie et son cortège d’horreurs génétiques ! La dernière folie en ce domaine arrive des États-Unis où un individu né homme devenu femme allaite son fils. Premier cas du genre, enregistré par la science, toute émoustillée de ce « succès » créationniste.

La mère biologique de ce pauvre enfant, à qui on nie le droit d’avoir un père et une mère normaux, dotée des organes et hormones indispensables à l’allaitement, ne veut pas le nourrir. C’est donc, et là on frise l’indicible, l’autre soi-disant « mère » de l’enfant,  née homme devenu femme, qui, grâce à un régime pharmacologique expérimental qui comprenait l’administration d’hormones spéciales, a réussi à produire environ 203 grammes de lait par jour, suffisamment pour alimenter le fils pendant 6 semaines. Cet exploit médical à la Frankenstein a été réalisé au Mount Sinai Center for Transgender Medicine and Surgery de New York par les médecins Tamar Reisman et Zil Goldstein.

Ce transsexuel âgé de 30 ans a eu les honneurs des médias mainstream et des magazines scientifiques dont le Transgender Health qui, dans un article louangeur, a décrit minutieusement la thérapie mise en place qui comprenait des hormones, un médicament pour la nausée et un pour la stimulation des seins. Ce trans avait déjà reçu un traitement hormonal féminisant pendant de nombreuses années, avant de débuter cette cure pour l’allaitement pour avoir des seins sans opération chirurgicale.

La genderfolie tue l’humanité !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 06 octobre 2017

La lutte contre la théorie du genre et… sa mise en pratique! « Bus Citizen go anti‑genre »

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

 

Bus Citizen go anti‑genre

Théorie du genre BusNon à la théorie du genre

Cette initiative a déclenché l’ire de plusieurs collectifs de défense des LGBTIQ (Lesbiennes Gay Bi Trans Intersexuel et « Queer » littéralement « bizarre »).

 

Le journal Libération a notamment publié un article intitulé, je cite : « Bus de la honte : ne laissons pas l’avenir aux réactionnaires ». Le vocabulaire employé par les opposants manque d’originalité : « homophobe, réac, nazie, raciste », tout semble bon à dire. Ce ne sont pas les premières menaces que reçoit l’association.

  

Source et auteur: Bulletin de réinformation, 6.10.2017 ;  ferrer.annick@gmail.com

vendredi, 15 septembre 2017

À L’UNIVERSITÉ, LES TOILETTES NEUTRES, C’EST LEUR GENRE

 

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Aristide Leucate

Que « celles et ceux » qui, « en même temps », douteraient de la « détermination » des pouvoirs publics à « lutter » contre toutes les « discriminations » pour « réduire les inégalités » se rassurent. La grande révolution sociétale se poursuit, à bas bruit, au sein des entreprises privées comme dans les administrations publiques.

En cette rentrée, l’université François-Rabelais de Tours a pris « deux engagements » pour les étudiants « transgenres » : elle officialise le prénom d’usage et instaure des toilettes neutres. L’article que consacre La Nouvelle République (11 septembre) à cette incongruité générique vaut son pesant d’hormones : « Tout a commencé par cet étudiant de 1re année de psychologie venu frapper à la porte de la chargée de mission diversité, égalité et handicap, Concetta Pennuto, à la rentrée 2016. Inscrit sous un prénom féminin, il se fait appeler Charly et vient de s’engager dans un parcours de réassignation de genre (sic !). « Je leur ai raconté mon histoire, mon parcours, et j’ai évoqué les problèmes que les étudiants trans rencontrent à la fac », explique ce jeune engagé. […] « La fac est une période charnière », souligne Charly. « On commence notre vie d’adulte, c’est important de se sentir respecté dans son identité. » Engagé dans un traitement hormonal, attaché à son apparence désormais masculine, il doit régulièrement se justifier du décalage entre son apparence et son prénom officiel – en attendant de pouvoir le modifier à l’état civil. […] L’université de Tours décide de s’emparer du sujet en s’appuyant sur la loi de 2016 contre les discriminations de genre. « Même si cela ne concernait qu’un seul étudiant, c’est important qu’il puisse poursuivre ses études dans les meilleures conditions, c’est une question d’égalité des chances », affirme la chargée de mission à l’égalité, fermement soutenue par le président de l’université Philippe Vendrix. « À Tours, une dizaine d’étudiants seraient concernés. »

À part ça, la théorie du genre « n’existe pas », ainsi que se plaisait à le clamer l’ancien ministre de l’Éradication nationale, Najat Vallaud-Belkacem. Mais si cette fumeuse théorie n’existe que dans les cervelles carbonisées au LSD des addictologues de la « French Theory » foucaldienne américaine comme dans celles de leurs épigones européens, la tyrannie du genre, quant à elle, étend tranquillement mais inexorablement sa toile. Cette importation outre-Atlantique – au Canada, des toilettes universelles et des salles de bains « neutres » ont été inaugurées dans les universités – est en train de faire tâche d’huile en Europe – la Suède, aux avant-postes du progressisme le plus échevelé, s’y est mise en 2015 – et gagne petit à petit les universités françaises – Angers, Grenoble, Montpellier, Rennes –, ces autres maisons de tolérance où, en sus du voile mahométan, l’on dispense, le plus sérieusement du monde, d’improbables « cours » de sociologie du genre – dont Marie-Hélène/Sam Bourcier de l’université Lille 3 est la très burlesque et médiatique représentante.

Quand des curiosités médicales ou d’infantiles caprices narcissiques deviennent la norme, qui plus est par la voie légale, l’on se demande, à la manière de Guy Debord, si, dans le monde renversé, le vrai n’est pas un moment du faux. Le père du situationnisme – la plus corrosive critique du capitalisme de la séduction – considérait que « le spectacle qui inverse le réel est effectivement produit. En même temps la réalité vécue est matériellement envahie par la contemplation du spectacle, et reprend en elle-même l’ordre spectaculaire en lui donnant une adhésion positive. » CQFD.

Source cliquez ici

jeudi, 02 mars 2017

Espagne : en arborant un slogan contre la théorie du genre, un bus provoque un tollé

Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2017

1 mars 2017 par Pierrot

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Les garçons ont un pénis, les filles ont un vagin. Ne te fais pas avoir. Si tu es né homme, tu es un homme. Si tu es une femme, tu le seras toujours », pouvait-on lire sur le grand bus orange qui a sillonné les rues de la capitale.

Affrété par l’association Hazte Oir (« Fais-toi entendre »), le bus était l’un des instruments d’une campagne de l’association pour lutter contre la théorie du genre. Le véhicule devait poursuivre sa route vers d’autres villes, mais les autorités de la capitale l’ont saisi et ont protesté.

Alors que le slogan n’est qu’un simple rappel de la réalité, le parquet a demandé à un juge d’immobiliser le véhicule et a ouvert une enquête pour déterminer si le slogan constituait un « délit de haine« .

Dans un communiqué, les magistrats ont affirmé que laisser circuler le bus risquait de créer un « trouble à l’ordre public [et] un sentiment d’insécurité ou de peur parmi les gens, en raison de leur identité ou orientation sexuelle, notamment parmi les mineurs pouvant être touchés par le message. »

Lire la suite : contre-info

samedi, 02 mai 2015

LA THÉORIE DU GENRE S’INVITE DANS LA GRAMMAIRE – NOUVELLE OFFENSIVE DES FÉMINISTES COMMUNISTES

Publié par Johanna 

La théorie du genre s’invite dans la grammaire – Nouvelle offensive des féministes communistes

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