Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 19 mars 2016

Douce France : à vot’bon coeur, M. Valls! , un « geste significatif » pour les fonctionnaires, une loi travail pour laminer le privé!

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2016

Un « geste significatif » pour les fonctionnaires, une loi travail pour laminer le privé!

Mardi, le Premier ministre Manuel Valls a déclaré que le gouvernement annoncerait ce jeudi un « geste significatif » concernant la rémunération des fonctionnaires, avec un dégel du point d’indice…

La loi travail a pour objectif d’assouplir l’échine des travailleurs du secteur privé, la hausse des rémunérations des fonctionnaires a pour but d’acheter des voix et des votes. C’est tout un symbole, on prend aux uns pour acheter le soutien des autres. On ne peut mieux montrer la symbolique de ce gouvernement : les travailleurs qui sont exposés à la concurrence et au chômage sont pénalisés, ceux qui sont planqués à l’arrière sont cajolés.

Le taux de chômage des salariés du privé, qui est le seul significatif est très supérieur au taux officiel puisque la population du secteur public, protégé, devrait être défalquée du dénominateur. Calculée de cette façon, cela ferait mieux ressortir le caractère scandaleux de la situation française.

La réalité est telle que nous le répétons, c’est une forme de lutte des classes, à front renversé puisque la gauche défend les privilèges de ses fonctionnaires et fait subir le poids des exigences de Merkel aux salariés du privé.

Le système français, c’est la justice sociale à l’envers, on récompense les planqués, les marginaux, les déviants et on pénalise les producteurs, les exposés.

Fonctionnaires: à vot’bon coeur, M. Valls! Par Eric Verhaeghe

Nous savons tous que vous chouchoutez les fonctionnaires parce que c’est parmi eux que se niche la plus grande partie de votre électorat. À peine arrivée au pouvoir, votre majorité s’est d’ailleurs empressée de les remercier en interrompant brutalement la réduction des effectifs entamée sous Nicolas Sarkozy. François Hollande a même annoncé, en 2012, la création de 60.000 emplois supplémentaires.

Dans un cadre budgétaire contraint par l’Europe dont vous voulez accélérer l’intégration économique, ces choix électoralistes condamnaient les fonctionnaires à subir un gel du point d’indice qui sert de base à leur rémunération. Ce gel n’est pas injuste, il est logique: la fonction publique, depuis 2012, a échappé aux gains de productivité, à l’ubérisation, à la révolution numérique, qui bouleverse le secteur privé. Elle a bénéficié d’une protection de ses emplois. La contrepartie naturelle, en ces temps de rigueur, de cette politique généreuse est simple à comprendre: la modération salariale s’impose. Et les fonctionnaires le savent: on ne peut gagner au tirage et au grattage.

Au demeurant, le gel du point ne signifie pas que les salaires des fonctionnaires n’ont pas augmenté. Conformément au statut de la fonction publique, les carrières continuent d’avancer automatiquement ou avec des promotions. Ce mécanisme garantit des progressions à tous, même quand le point est gelé. En outre, les mesures catégorielles et les astuces n’ont pas manqué pour contourner le gel officiel des salaires.

Le geste significatif que vous annoncez constitue un cadeau supplémentaire qui flatte votre électorat à l’approche d’une année critique, mais il est extrêmement choquant au regard de nos principes de cohésion sociale et d’intérêt général.

L’augmentation du nombre de fonctionnaires que votre majorité a décidée en 2012 a conduit à une augmentation considérable de la pression fiscale qui n’a pas baissé depuis. La part des dépenses publiques dans le PIB reste supérieure à 55%, un chiffre record qui se maintient malgré les mesures apparentes d’allègements de charges ou d’impôt que vous prenez. L’illusion du pacte de responsabilité n’y peut rien: le secteur privé continue à rogner ses marges et sa rémunération pour financer une fonction publique pantagruélique.

L’absence de croissance et le chômage de masse ne sont, au regard de ces chiffres, pas des surprises. Le financement des dépenses publiques obère l’activité productive du pays. Cela ne signifie pas que la dépense publique est mauvaise en elle-même. Dans le cas de la France, nous pouvons juste avoir l’honnêteté de dire tout haut ce que les Français subissent quotidiennement. Oui! les pouvoirs publics ne mesurent même pas le temps de travail effectif de leurs fonctionnaires! oui, les fonctionnaires coûtent trop cher pour le piètre service qu’ils rendent et une augmentation de leur salaire ne peut se concevoir sans un gain massif de productivité.

Si vous n’imposez pas ces gains de productivité, vous respecterez sans doute les critères d’orthodoxie imposés par Bruxelles, mais vous maintiendrez sans raison cette épuisante transfusion de richesse qui consiste à appauvrir les salariés du secteur privé pour préserver le mode de vie hors sol de nos fonctionnaires. Vous retarderez d’autant le retour de la prospérité.

Et que dire de cette stratégie en termes de cohésion sociale?

Nos éleveurs vous l’ont dit: la France, pas à pas, année après année, se paupérise. On peut, en France, et c’est une situation de plus en plus courante, travailler dur, et même très dur, sans subvenir à ses besoins. La colère qui s’exprime dans nos campagnes le dit suffisamment. Encore fait-elle abstraction de ces masses laborieuses qui vous ont tourné le dos à force de désespérer face au populisme imbécile que votre majorité utilise pour gouverner. Servir les fonctionnaires parce qu’ils votent bien et qu’ils constituent un important groupe de pression au sein du Parti Socialiste est une norme, une sorte de présupposé idéologique. En revanche, prendre en compte la misère ouvrière, y répondre, donner une réelle égalité des chances par l’école par des discours sérieux qui ne se réduisent pas à des postures doctrinales, cette politique-là de cohésion sociale, vous la laissez en friche.

Les petites gens de ce pays, au rang desquels les fonctionnaires ne figurent pas, ont pourtant besoin d’être entendus.

Parmi eux se rangent un nombre grandissant de petits artisans, de petits patrons, de petits indépendants, qui n’ont pas, comme les fonctionnaires, la faculté de voir leur rémunération augmenter par une décision politique ou par l’allocation des recettes fiscales. Ceux-là, année après année, prennent de plein fouet la souffrance, le stress, imposés par des réglementations délirantes que votre majorité ou votre gouvernement inventent et qu’aucun d’entre eux n’a le temps de comprendre. Leur seule récompense est d’être régulièrement accusés par vos soutiens d’être des voyous, des profiteurs, des arnaqueurs, des fraudeurs, qu’il faut surveiller, taxer et contrôler. La cerise sur leur gâteau s’appelle le RSI, qui, par ses pratiques abusives, infligent mille tourments à ceux qui pourtant recrutent, ou se battent pour recruter des chômeurs.

Vous ne pourrez donc dire, Monsieur le Premier Ministre, que vous ignorez l’impact social de votre décision d’augmenter les fonctionnaires. Le pays se porterait bien, cette décision ne choquerait personne. Mais nous voyons tous avec une telle flagrance que les efforts de moins en moins supportables des uns sont allègrement absorbés par l’immobilisme des autres, avec le sentiment d’un mépris inadmissible.

Nous le mesurons lorsque, par une bizarrerie propre à ce pays en déclin, les leaders syndicaux de la fonction publique lancent des mots d’ordre de grève contre une réforme du code du travail qui ne les concernent pas. Les salariés du secteur privé qui devront poser, jeudi, un jour de congé pour garder leurs enfants parce que les écoles où vous avez créé 60.000 emplois seront en grève, s’en souviendront. Les efforts sont pour les uns, et les « gestes significatifs » pour les autres.

 

Source : http://leblogalupus.com/

dimanche, 21 février 2016

Baromètre Ifop: forte baisse des cotes de popularité de Hollande et Valls en février

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2016

 Baromètre Ifop: forte baisse des cotes de popularité de Hollande et Valls en février

Le président français François Hollande (g) et le Premier ministre, Manuel Valls, le 17 février 2016 à Paris
© STEPHANE DE SAKUTIN

Les cotes de popularité de François Hollande (-5) et de Manuel Valls (-6) ont connu des baisses significatives en février, selon le baromètre Ifop pour le...

Les cotes de popularité de François Hollande (-5) et de Manuel Valls (-6) ont connu des baisses significatives en février, selon le baromètre Ifop pour le Journal du dimanche (JDD).

Seuls 19% des sondés se disent "satisfaits" de l'action du chef de l'Etat, contre 24% le mois dernier. A contrario, ils sont 81% à se dire "mécontents" (+6). 43% sont "plutôt mécontents" et 38% "très mécontents" (+5). Parmi les sympathisants PS, ils sont 53% à se dire satisfaits (-12).

Manuel Valls enregistre une cote de satisfaction de 33%, contre 39% en janvier. 66% des sondés se disent mécontents (+6). 63% des sympathisants PS sont satisfaits (-11).

Sondage réalisé du 12 au 20 février par internet et téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.968 personnes de plus de 18 ans (méthode des quotas).

 

Source : www.publicsenat.f

mardi, 09 février 2016

Lettre ouverte de l’abbé Pagès à Manuel Valls sur l’Islam : « ma profonde indignation devant le choix du mensonge comme boussole pour notre pays »

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

abbe_pagesNous reproduisons l’excellente lettre de l’abbé Pagès, grand spécialiste de l’Islam et du Coran, au premier ministre Manuel Valls, suite à la déclaration de ce dernier affirmant qu’il est possible de « voir s’épanouir un islam vivant et moderne en terme de liberté, d’égalité et de laïcité » (cf. discours à la Grande Mosquée de Strasbourg, le 3 mars 2015) :

Monsieur le Premier Ministre,

Vous nous dites qu’il est possible de « voir s’épanouir un islam vivant et moderne en terme de liberté, d’égalité et de laïcité » (cf. votre discours à la Grande Mosquée de Strasbourg, le 3 mars 2015), parce que l’islam serait  « tolérant, ouvert, pleinement compatible avec nos valeurs et la République » (cf.Votre discours à Mayotte, le 13.06.2015).

Or, le président honoraire du Conseil Français du Culte musulman et recteur de la Grande Mosquée de Paris affirme : « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. […] Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire. » (Le Figaro Magazine, 29 juin 2002).

Qui nous dit la vérité, vous ou M. Dalil Boubakeur ?

Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, écrit : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. » (Cf. Déclaration islamique).

Qui nous dit la vérité, vous ou M. Alija Izetbegovic ?

Hassan al-Bannâ (1906-1949), père des Frères Musulmans et de notre UOIF, enseignait : « L’islam est dogme et culte, patrie et nationalité, religion et État, spiritualité et action. » (Alain Durand, L’Islam au risque de la laïcité : Émergences et ruptures, L’Harmattan, 2005, p.107).

Qui nous dit la vérité, vous ou Hassan al-Bannâ ?

Feu Hassan II, roi du Maroc et Commandeur des croyants, reconnaît : « Je ne suis pas un chef d’État laïc car à partir du moment où on est musulman, on ne peut pas être laïc. En réalité, tous les chefs d’État du monde musulman, je ne dis pas arabe, ne sont pas des chefs d’État laïcs. Et quand ils disent qu’ils veulent être laïcs, je dis qu’ils ne sont plus musulmans, car le droit musulman nous colle à la peau, qu’on le veuille ou non, tant au plan du droit public que sur le plan du droit privé. »(http://ahp.li/81c560e509fdfcb3ef04.mp4)

Qui nous dit la vérité, vous ou le Commandeur des croyants ?

Allah et Mahomet son prophète enseignent que la communauté musulmane n’est pas soluble : « Ô croyants ! Ne tissez de relations qu’entre vous ; les infidèles ne manqueraient pas de vous corrompre (Coran 3.114). » ; « Vous êtes la meilleure nation. Vous ordonnez le convenable, interdisez le répugnant, et croyez en Allah. » (Coran 3.110). « Le verset : « Vous [les musulmans] êtes la meilleure nation se justifie du fait que vous avez amenés les infidèles enchaînés jusqu’au cou pour qu’ils se convertissent à l’islam. » (Récit d’Abu Huraira, Bukhari 60.80). « Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’Église et que la religion soit uniquement à Allah, seul ! (Coran 2.193) » ;  « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine À JAMAIS jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) »

Qui nous dit la vérité, vous ou bien Allah et son Prophète ?

La Cour européenne des droits de l’homme a déclaré la charia incompatible avec les principes fondamentaux de la démocratie. (http://www.echr.coe.int/Documents/Annual_report_2003_FRA.pdf)

Qui nous ment, vous Monsieur le Premier Ministre, ou bien la Cour européenne des droits de l’homme ?

Que conclure, sinon que les agents de l’islamisation de la France, et donc de sa perte, ne sont pas d’abord ceux que l’on croit ?

Mais comment cela est-il possible ? Tout simplement parce que l’on ne peut pas servir deux maîtres, Dieu et l’argent (Mt 6.24), Jésus-Christ et Satan (2 Co 6.14-18), et que ceux que les Français ont élus, pour recevoir de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite, non seulement leur vendent la France, qui ne serait pas ce qu’elle est sans la foi en Jésus-Christ et les innombrables bienfaits transmis par Son Église, mais en viennent nécessairement  à servir le dieu de leurs nouveaux maîtres…

Je vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre, à l’expression de ma profonde indignation devant le choix du mensonge comme boussole pour notre pays,

Abbé Guy Pagès

 

Source : http://www.medias-presse.info/

lundi, 25 janvier 2016

Davos d’hier et d’aujourd’hui

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2016

Rédigé par Louis Blase le 25 janvier 2016.

15476727685_e1ca18c0e4_b

Après les prédations sexuelles improvisées en bandes organisées de Cologne, viennent les prédations organisées en économie improvisée de Davos (Suisse). A Davos, les «gens importants» se réunissent pour débattre des perspectives «du marché». Tiens, c’est Manuel Valls qui s’y colle. Comme à son habitude, le mini a prédit de grandes catastrophes. C’est, il est vrai, sa spécialité.

Pour le premier mini, l’Union européenne fait face à un danger de «dislocation dans les mois qui viennent». Ce serait plutôt une bonne nouvelle, à condition qu’il ne soit pas embauché pour régler les crises : crise des réfugiés que nous devons en partie à Schengen, crise du terrorisme que nous devons en partie à Schengen, crise des populismes que nous devons en partie à Schengen, crise du Brexit que nous devons en partie à Maastricht. L’Union Européenne a généré toutes ces crises, il est donc normal qu’elle soit en crise. Les producteurs de crises en discutent à Davos.

A Davos, tous attendent l’entrée en scène du Premier ministre conservateur britannique, David Cameron, qui pourrait annoncer le divorce des Britanniques avec l’Union, un paradoxe qui n’est qu’apparent. Manuel Valls a déjà donné son point de vue, peu importe. Les grands Bretons d’outre-Manche demandent des réformes de l’Union Européenne, les petits Bretons de France étranglés par la PAC robinet aussi. Seule la classe politique française sous influence mondialiste est sourde aux appels de détresse du peuple. De cela, on ne discute pas à Davos.

Dans les revendications de David Cameron, la gestion, voire la digestion, des populations exogènes concentre l’essentiel des sujets épineux. C’est assez cohérent avec l’insécurité quotidienne des Européens, situation devenue insupportable, sans compter les soutiens exorbitants aux économies fragiles comme celle de la Grèce. Le clown de la gauche grecque, Alexis Tsipras a rencontré mercredi le clown de la gauche française, Pierre Moscovici, devenu commissaire européen aux Affaires économiques par l’opération du sein des pourris, tout va mal.

 

Source : http://24heuresactu.com/

dimanche, 24 janvier 2016

De Valls à Cazeneuve un même amour de l’Islam et une même haine de l’identité chrétienne de la France

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2016 

Les élections présidentielles approchant, certains élus socialistes semblent se souvenir que la grande majorité de l’électorat de France est chrétien après l’avoir couvert de leur plus grand mépris. Des chrétiens en grande majorité catholiques dont la plupart, face au déferlement immigré musulman, aux attentats islamiques, aux nouvelles de viols collectifs, et autres exactions, se souviennent du baptême chrétien de leur patrie, en dépit d’un lavage de cerveau tous azimuts pour les convaincre du contraire. Jusqu’à ces dernières semaines où la promotion de l’avortement par Marisol Touraine semble directement venger les propos par trop chrétiens de Marion Maréchal-Le Pen durant sa campagne électorale, à propos de la suppression des aides au planning familial .

Ainsi pour Bernard Cazeneuve, à travers une tribune du site « l’Obs Le plus » du 02 avril 2012, évoquer « les racines chrétiennes de la France », c’est « faire une relecture historique frelatée » qui a « rendu la France peu à peu nauséeuse.»

Le grand prêtre des laïcistes, Vincent Peillon, qui a sévi comme ministre de l’Éducation nationale de 2012 jusqu’en avril 2014, prône d’ « inventer une religion républicaine » pour remplacer la religion catholique; quant à parler de l’identité de la France, cela relève du quasi blasphème islamique pour l’ex-ministre de François Hollande. 

En 2012 les libres penseurs socialistes juste parvenus au pouvoir, pensaient que les Français coupés de leur Histoire depuis des lustres par l’enseignement révisé de l’école laïque, et coupés de leur Tradition religieuse depuis Vatican II et les papes conciliaires, avaient perdu tous réflexes identitaires. Les uns et les autres, jusqu’à Manuel Valls s’en sont donc donnés à coeur joie pour flatter la religion musulmane , qu’ils ont fini par croire majoritaire chez les électeurs, pour dénigrer la religion catholique qui devait disparaître! Et comment mieux la faire disparaître qu’en remplaçant les chrétiens par des musulmans ? De l’encouragement de l’avortement à l’encouragement de l’immigration musulmane, le tour peut très bien se jouer!

Et d’ailleurs, dans le même temps la politique étrangère socialiste en faveur de l’Islam le plus radical se poursuit auprès de l’Arabie Saoudite et des Emirats du Golf et en particulier du Qatar, sans omettre la Turquie.

En Syrie François Hollande a pris parti pour les islamistes en leur fournissant des armes létales même lorsque les livraisons en étaient interdites par un embargo de l’Union européenne. Dés 2012 les exactions barbares de la prétendue opposition  syrienne qui regroupait déjà des islamistes de toutes nationalités, était de notoriété publique.

Cette Laïcité pro-musulmane est d’ailleurs fort cohérente de la part des socialistes depuis François Mitterrand qui a naturaliser en masse les musulmans clandestins. Et ainsi c’est l’électorat musulman qui a fait la différence face à Nicolas Sarkozy et a permis à François Hollande de remporter l’élection présidentielle en 2012.

Suite à un sondage, L’ IFOP révèle :

« Un très net sur-vote à gauche parmi les Français de confession musulmane « , qui « se trouve confirmée de manière spectaculaire au second tour avec un score de 86 % pour François Hollande, soit plus de 34 points de plus que sa moyenne nationale. » (IFOP)

Néanmoins la Libre pensée laïciste au paradis d’Allah commence à  descendre de ses nuées depuis qu’un sondage de l’électorat arabo-musulman, confirmé par les différentes consultations électorales depuis 2012, montre que les musulmans déçus, n’entendent peut-être plus assurer à une si forte proportion le succès socialiste aux prochaines présidentielles de 2017. Flatter les musulmans au détriment des catholiques, Bernard Cazeneuve, le Ministre des cultes, semble avoir découvert ses insuffisances. Mais comment flatter à la fois les uns et les autres quand on confond Laïcité avec allahïcité ? Nos ministres et autres éminences socialistes seraient-elles donc appelées à un exercice inhabituel dans les loges de la République? et en opposition avec leurs déclarations précédentes?

Désormais, Bernard Cazeneuve reconnaît dans une interview à La Croix, des « racines chrétiennes historiques » à la France, qui ne seraient donc plus ni « frelatrées« , ni « nauséeuses« . Tiens, tiens! Certes cette reconnaissance réticente des racines « historiques » de la France fait bien la nuance avec l’identité de la France, puisqu’il reproche aux chrétiens de ne pas reconnaître « la contribution » que les non chrétiens « ont apporté eux aussi à l’histoire de notre pays » Si, si, pourtant, les chrétiens ont bien conscience des contributions plus que millénaires de l’Islam à l’Histoire de notre pays depuis Charles Martel jusqu’aux attentats de Paris….  

Le 14 janvier dernier,  le Secrétaire d’Etat au Parlement, Jean-Marie Le Guen avait répondu dans le cadre des questions au gouvernement, à Jean-Paul Fournier, sénateur LR du Gard et maire de Nîmes sur les actes de vandalisme contre des lieux de culte. Il lui précisait que « 524 églises ont subi une atteinte, un nombre en augmentation de 22 % par rapport à la même période de l’année précédente ». Ce pourcentage alors que le Ministre des Cultes, Bernard Cazeneuve, n’avait évoqué que 20% d’augmentation… Il faudrait qu’ils s’entendent sur des chiffres, pourtant déjà tellement sujet à caution… 

Cette timide tentative de séduction tournée vers les catholiques va-t-elle se poursuivre ? La haine de ces gens-là pour l’identité catholique de la France risque fort d’être plus forte, surtout lorsque la tentative de séduction est dévolue à un Bernard Cazeneuve archi-grillé d’avance, ainsi que sa tribune de 2012 citée ci-dessus le démontre. Quoiqu’il en soit les catholiques ne devraient pas perdre de vue qu’il ne s’agira toujours que d’un double langage qui arrive beaucoup trop tard et dont tout prouve qu’il est trompeur.

Voici l’excellente intervention, à ce sujet, du sénateur-maire de Nîmes Jean-Paul Fournier:

 

Source : http://www.medias-presse.info/