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mercredi, 02 juillet 2014

Troisième nuit d’émeute algérienne en France : l’État impose la censure de l’information

Publié par Guy Jovelin

Pour la troisième nuit en un mois, les occupants algériens ont organisé des émeutes à travers le pays. Les autorités avaient mobilisé un dispositif jamais vu pour ce type d’opération, avec plus de 25.000 membres des forces de l’ordre sur le terrain. Une partie des policiers et gendarmes avait pour mission d’empêcher les Français de s’opposer et de se protéger des dégradations, agressions, et autres crimes des occupants, comme à Lyon où plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtées durant un rassemblement où se trouvait notamment le fondateur des Jeunesses nationalistes Alexandre Gabriac. Environ 300 personnes s’étaient retrouvées selon le témoignage de personnes présentes.

Plusieurs dizaines de nationalistes arrêtés, c’est beaucoup plus que le nombre de criminels algériens ces trois dernières nuits d’émeutes : Jean-François Carenco, le « préfet des racailles » tient à honorer son surnom.

Pendant ce temps-là, la racaille afro-maghrébine brûlait des voitures, comme à Vénissieux.

Personne n’en saura plus : le préfet aux ordres de Manuel Valls fait suivre les consignes pour cacher la vérité aux Français :

« Le permanent presse de la Police a eu instruction de ne plus communiquer à Lyon Capitale. Les pompiers signalent « une activité croissante » depuis la fin du match Algérie/Allemagne. Mais « des instructions » empêchent notre interlocuteur de donner plus d’informations. » a ainsi fait savoir Lyon Capitale.

Grâce à l’important dispositif policier, les incidents paraissent avoir été contenus hors des centres-ville, permettant de largement restreindre la diffusion des images de voitures brûlées, caillassages de pompiers, etc. Parmi les rares informations disponibles cette nuit : une dizaine de voitures ont été incendiées à Roubaix, une autre dizaine à Grenoble et aux alentours, ce qui laisse présager à l’échelle de la France un bilan comparable aux deux premières nuits d’émeutes. Des incidents ont été signalés partout en France, comme à Nantes.

Il est probable que les médiats étrangers notamment retiendront le calme qui a régné sur les Champs-Élysées où plusieurs centaines de policiers étaient présents, au détriment du reste de la capitale.

Se complaisant dans son rôle de président niais et incapable, François Hollande, alors que de désastreux chiffres du chômage, de la dette publique et de l’insécurité sont communiqués, passait son temps à regarder des matchs de football à la télévision.

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