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vendredi, 22 février 2019

“abus sexuels” à l’arrivée d’homosexuels dans les séminaires

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2019 

Le sommet mondial organisé au Vatican ayant pour thème La protection des mineurs dans l’Église risque d’accoucher d’une souris ! Parce que la véritable cause de ces violences sexuelles sur mineurs, et de cette crise de mœurs sans précédent, est manifestement occultée par le pape François lui-même et la majeur partie des intervenants qui préfèrent parler de « pédophilie » de « cléricalisme » « d’abus de pouvoir » au lieu et place « d’actes homosexuels ».

L’autopsie de ces ces violences indignes, qu’ils relient aux mœurs inverties des clercs coupables, réalisée par les cardinaux Brandmüller et Burke dans une lettre ouverteenvoyée aux évêques réunis au Vatican depuis hier 21 février jusqu’à dimanche, est consolidée par les déclarations d’un évêque espagnol, missionnaire en Afrique, Mgr Aguirre, publiées par le site américain LifeSiteNews :

« Un évêque espagnol, écrit Life Site News, qui est missionnaire en Afrique a déclaré que la principale raison de la crise des abus sexuels commis par des religieux est liée à l’entrée des homosexuels dans la prêtrise catholique dans les années 1970.

Mgr Juan Jose Aguirre, missionnaire en République centrafricaine (RCA), a commenté cette affirmation dans une interview accordée à Crux le 19 février, alors qu’il parlait du sommet sur les abus qui se déroule à Rome cette semaine, où se réuniront les présidents des conférences épiscopales du monde entier. discuter de la manière de gérer la crise.

Après avoir déclaré que la crise ”touchait toute l’Église”, Mgr Aguirre en a cité trois raisons.

‘La première est l’entrée au séminaire des prêtres homosexuels qui ont vécu leur homosexualité au sein de l’Église de 1970 à 1990. Deuxièmement, l’arrivée d’Internet, grâce à laquelle les pulsions négatives de nombreux prêtres ont été éveillées. Troisièmement, il y a des prêtres qui n’occupent pas bien leur temps, qui ont trop de temps libre et se laissent tenter par le diable’‘, a-t-il déclaré.”C’est une situation terrible, horrible, qui touche tous les continents”, a-t-il déclaré.

Reconnu en Espagne pour son témoignage héroïque en RCA, qui aurait été affligé par le terrorisme islamique et la cupidité de ceux qui exploitent les ressources naturelles, Mgr Aguirre a souligné que les raisons qu’il avait avancées pour expliquer la crise des abus sexuels cléricaux valaient aussi pour les enseignants. Cependant, il a déclaré que ce dernier phénomène “n’est pas rapporté dans les nouvelles, comme lorsqu’un prêtre ou un évêque est accusé”.

Né à Cordoue, dans le sud de l’Espagne, Mgr Aguirre fait partie de la congrégation combonienne des missionnaires. Réfléchissant sur les 38 années où il a été affecté à la RCA en conflit, l’évêque a déclaré: ”Je suis arrivé en RCA il y a 38 ans et au cours de ces 38 années, j’ai été ému par l’amour, l’affection, par le fait de ne pas vouloir regarder mon propre nombril mais regarde mon frère en face.”

Connu affectueusement par son surnom, Mgr «Juanjo», le missionnaire a ajouté:”la parabole du Bon Samaritain m’a ému, sans lui demander s’il est un homme ou une femme, blanc ou noir. avec un passeport de l’Inde ou du Nigeria. Nous, les missionnaires, sommes présents dans des situations à risque. Lorsque des ONG ou des gouvernements sont partis pour des raisons de sécurité ou de prudence, l’Église est la dernière à éteindre la lumière. Nous sommes là. […] Sans sa grâce, nous ne serions rien.”

”Nous sommes une église persécutée depuis des années”, a-t-il déclaré à Crux.”L’année dernière, cinq prêtres ont été tués.” Les religieuses qui travaillaient dans son diocèse ont dû fuir parce que des mercenaires du groupe Séléka ont tenté de les violer. ”Les séminaristes sont à Bangui [la capitale]. Ils sont protégés, mais mes prêtres se trouvent dans une zone à haut risque, tout comme moi. Nous sommes en première ligne de combat face à un groupe mercenaire djihadiste appelé Séléka, financé par l’Arabie saoudite et les pays du Golfe. Ils sont venus en Afrique centrale pour la conquérir, pour mettre leurs griffes dans l’or du pays, le mercure, le cobalt et le coltan.”

La Fondation Bangassou a été créée en 2003 pour aider le travail missionnaire de Mgr Aguirre. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mardi, 08 janvier 2019

Focus sur la secte juive Lev Tahor et ses mariages forcés de gamines de 13 ans

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2019

 

Retour sur la secte juive Lev Tahor dont nous avons signalé que quatre membres sont poursuivis par la justice américaine pour avoir kidnappé deux enfants.

L’enquête a permis d’apprendre que parmi les quatre kidnappeurs, Jacob Rosner, 20 ans, considérait comme son épouse la fille de 14 ans kidnappée en même temps que son jeune frère de 12 ans.

Rappelons l’histoire de la secte Lev Tahor, surnommés les «talibans juifs».

Lev Tahor a été fondée au milieu des années 80 en Israël par Shlomo Helbrans (1962-2017), un rabbin ultraorthodoxe citoyen de l’État hébreu, mais antisioniste.

Fin 1990, Shlomo Helbrans déménage aux Etats-Unis et s’installe à Brooklyn avec ses fidèles, convaincu que l’apocalypse va s’abattre sur Israël.

En 1994, Shlomo Helbrans est condamné pour le kidnapping d’un enfant de 13 ans.

En 2000, les membres de Lev Tahor sont expulsés des États-Unis et retournent en Israël.

En 2003, Shlomo Helbrans reçoit le statut de réfugié au Canada, puis s’installe avec son groupe à Sainte-Agathe-des-Monts, dans les Laurentides.

Fin 2013, les membres de la secte Lev Tahor fuient le Canada où ils font l’objet d’enquêtes pour fraude fiscale, abus sexuels sur enfants et mariages forcés de jeunes filles de moins de 16 ans (les filles de la secte sont généralement mariées à 13 ou 14 ans avec des hommes plus âgés).

La secte Lev Tahor s’établit momentanément en Ontario.

En 2014, suite à de nouvelles enquêtes dont ils font l’objet, les membres de Lev Tahor quittent l’Ontario pour le Guatemala. Ils sont expulsés d’un village guatémaltèque.

En 2016, la police guatémaltèque enquête sur de nouveaux abus sexuels sur enfants.

En 2017, Shlomo Helbrans se noie dans une rivière au Mexique au cours d’un rituel religieux, selon des médias mexicains.

 

Source : medias-presse.info

mardi, 28 novembre 2017

Finlande : Muhamed Abbud condamné pour abus sexuels sur une fillette de 10 ans, le tribunal ne conclut pas au viol « faute de preuve que la victime n’ait pas consenti »

Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2017

Auteur : Pierrot

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Juusuf Muhamed Abbud, 23 ans, a abusé sexuellement d’une fillette de 10 ans en 2016. L’acte a eu lieu dans la cour d’un immeuble dans une petite municipalité de Pirkanmaa.

Il a écopé de 3 ans de prison, le procureur du district avait demandé qu’Abbud soit puni pour viol et donc écope d’une peine de 10 ans de prison.

L’avocat de la victime a également regretté qu’Abbud n’ait pas reçu une sanction plus sévère. Il a déclaré que la victime ne pouvait pas se défendre à cause de ses peurs.

La cour d’appel du district est parvenue à la même conclusion que le tribunal de district de Pirkanmaa : les preuves n’étaient pas suffisantes pour démontrer que la victime, âgée de 10 ans, avait eu une relation sexuelle non consentie avec Abbud. Le viol aggravé n’a pas été retenu par les juges.

IIta-Sanomat via FDS