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samedi, 18 novembre 2017

Incident sur le site d’Airbus à Saint-Martin-du-Touch (31) : un homme menace ses collègues en criant « Allah Akbar »

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2017

 
 

Les salariés d’Airbus à Saint-Martin-du-Touch, près de Toulouse, ont connu un début d’après-midi mouvementé hier. Un salarié de l’entreprise a été interpellé par les policiers après avoir menacé ses collègues de travail. Il a été rapidement maîtrisé par les services de sécurité de l’entreprise aéronautique.

Cet homme au comportement inquiétant a été placé en garde à vue au commissariat central, pour tenter de comprendre les motivations de ses actes. Pendant ce temps, plusieurs vérifications menées par les enquêteurs de la sûreté départementale ont permis de cerner la personnalité de ce mécanicien. Vers 13 h 30, cet homme serait rentré sur le site d’Airbus. Selon plusieurs témoins, il aurait été vu en train de prier, sur le tarmac, entre deux avions. Il a crié en évoquant dieu et la religion avant de menacer d’autres employés de l’entreprise à l’aide d’un bâton.

 

Un homme crie "Allah akbar" : opération de déminage en cours chez   https://www.ladepeche.fr/article/2017/11/17/2686614-homme-crie-allah-akbar-operation-deminage-cours-chez-airbus.html 

Un homme crie "Allah akbar" : opération de déminage en cours chez Airbus

Une opération de déminage est en cours sur le site d'Airbus à Saint-Martin-du-Touch, par mesure de sécurité, après qu'un salarié de l'entreprise, au comportent inquiétant, a crié "Allah akbar" et...

ladepeche.fr
 

 

La Dépeche via fdesouche

samedi, 03 décembre 2016

Airbus, Axa, Ing, Caterpillar, Marks & Spencer : le mondialisme passe et l’emploi trépasse…

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2016 

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Pieter Kerstens

Et cela n’en finit plus ! Semaines après semaines, les usines ferment et les sociétés baissent le rideau. Douwe Egberts, MS Mode, Crelan, KBC, ajoutent leurs plans de restructuration aux licenciements collectifs ou aux mises à la retraite anticipée. Décidément, l’image de « plus d’Europe, encore plus d’Europe » chère à Jacques Delors, Manuel Baroso et Jean-Claude Juncker se trouve pour le moins très dégradée.

Souvenons-nous : en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé. Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante des patrons de l’automobile ou de grandes sociétés, lors de décisions économicos-financières.

N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’Etat ou de gouvernement, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, Kohl, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduite par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies, éclate au nez et à la figure des peuples européens depuis que la Crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) n’est que l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix…dont le résultat est le chômage en Europe ! Et ne parlons pas du CETA en cours de signature, ni du TAFTA toujours en négociation.

Cela fait des années que les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 40 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment, notre avenir et celui de nos enfants (et petits-enfants) sera loin d’être rose. Au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales », de « solidarité » et du « vivr’ensemble » afin de capter le vote de clients/électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.

Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations » et des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et les socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont cependant, et ont toujours eu, la faculté d’imposer à temps des mesures drastiques et certes impopulaires, mais indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.

Il n’est pas encore trop tard pour tenir un langage de vérité, ni de sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe.

En effet peut-on refuser maintenant, au point où on en est, la rigueur pour favoriser un laisser-aller illusoire ?

En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : «  Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. » Ceux qui rêvent de prendre le Pouvoir dans le futur (en Autriche, en Hollande ou en France) feraient bien d’en tenir compte pour assainir les finances publiques !

 

Source : synthesenationale

lundi, 07 mars 2016

Comment la Commission européenne étouffe Ariane et Airbus dans le but de favoriser leurs concurrents américains

Publié par Guy Jovelin le 7 mars 2016

6 mars 2016 par Lionel

L’Union européenne nous est officiellement présentée comme la nécessité pour des Etats européens de se regrouper pour être forts dans un monde globalisé afin de faire face à d’autres entités, tels les Etats-Unis, la Chine, etc.« Sans l’Europe, chaque Etat qui la constitue ne serait rien et vulnérable, alors que grâce à l’Europe, nous sommes regroupés et pouvons résister aux autres ». Combien de fois cette antienne a-t-elle été répétée ? Pourtant, la façon dont la Commission européenne vient de réagir au sujet du rapprochement Airbus-Ariane nous prouve que rien n’est plus faux et que les commissaires et technocrates bruxellois poursuivent d’autres desseins que de protéger notre continent, ses industries, ses populations.

En effet, Airbus et Ariane voulaient « se marier » ce qui aurait créé le n°1 mondial dans les domaines de l’aéronautique et l’aérospatial. Ce groupe aurait été très concurrentiel, puisque de cette union, des économies auraient pu être faites, au grand dam de leurs concurrents, tels Boeing ou le producteur de fusées américain SpaceX. Mais ce mariage n’aura pas lieu. La raison ? C’est la commission européenne elle-même qui s’y oppose !
Dans une excellente tribune de Damien Lempereur et Brice Wartel parue dans leFigaro, les raisons évoquées par les technocrates bruxellois nous sont données : cela créerait une « position dominante » qui serait contraire à une concurrence libre et non faussée !
Bref, Bruxelles dit non à la fusion des deux groupes européens dans le but de protéger leurs concurrents américains, chinois, russes ou autres ! Cela est d’autant plus un scandale que ces concurrents sont pour la plupart subventionnés par leurs Etats.
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samedi, 21 novembre 2015

Airbus : la "fausse bombe" découverte dans un A330 était en fait... un thermomètre

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2015

Airbus a procédé à la mi-journée ce vendredi à l'évacuation partielle du site Clément Ader à Colomiers près de Toulouse après une alerte à la bombe. L'engin "artisanal" était en fait un dispositif de relevé de températures d'un sous-traitant.

 
Le bâtiment a été évacué © E. Wat / France 3

© E. Wat / France 3 Le bâtiment a été évacué

 
Incroyable scénario, qui a conduit ce vendredi à l'évacuation partielle de la chaîne d'assemblage final de l'A330 sur le site Clément Ader d'Airbus à Colomiers, près de Toulouse : l'engin découvert et qui ressemblait à une bombe artisanale était en fait un "bricolage" d'un sous-traitant.

L'alerte a été donnée à midi après la découverte par des ouvriers d'un objet suspect, qui pouvait faire penser à une bombe artisanale, dans deux compartiments d'un A330 en cours de montage.
Au total, les policiers découvrent alors deux dispositifs distincts : 6 canettes de soda intactes reliées entre elles, 3 par 3, par des fils électriques eux-mêmes reliés à des "dispositifs" enveloppés dans du papier adhésif.

Après examen par les démineurs, les canettes de Coca se sont révélées vides de tout explosif...mais pleines de soda. "Une très mauvaise plaisanterie" car c'est avec ce type de mécanisme, des explosifs dans une canette d'aluminium, que l'Airbus russe aurait explosé dans le Sinaï. 

Le lieu précis était le bâtiment G2 où l'on procède à l'aménagement commercial des A330. Des investigations ont été menées jusque vers 14 heures et une fois que l'engin a été pris en charge par les démineurs et les lieux sécurisés, les salariés ont pu reprendre leurs postes de travail. 

Mais rebondissement en fin de journée. Selon la direction de la communication d'Airbus, la "fausse bombe" serait en fait un dispositif "bricolé" par un employé d'un sous-traitant qui fournit les chariots pour les hôtesses. Il avait mis au point un système pour vérifier la température et semble l'avoir oublié dans l'A330 en construction. 

Un "oubli" qui aura mobilisé pompiers, policiers, démineurs et mis à l'arrêt la chaîne de production pendant plus de deux heures.