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dimanche, 06 janvier 2019

Un militant pro-migrants assassiné chez lui de 28 coups de couteau par un réfugié ivoirien

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2019

Publié le 5 janvier 2019 Auteur par Rédaction
contre-info

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Les faits se sont produits mi-décembre. Un homme de 56 ans a été tué de 28 coups de couteau à son domicile. La victime serait l’ancien directeur du Monoprix des Deux Lions. Le meurtrier présumé est un migrant ivoirien de 22 ans que la victime hébergeait.

Le corps de la victime a été retrouvé à son domicile, six jours après le meurtre. La victime serait Bertrand Louiset, ancien directeur du Monoprix des Un militant pro-migrants assassiné chez lui de 28 coups de couteau par un réfugié ivoirien Deux Lions. Il accueillait chez lui, un migrant de 22 ans, originaire de la Côte d’Ivoire. Ce dernier a été interpellé le 17 décembre 2018. Il a reconnu avoir tué son hôte.

Le mobile du meurtre reste encore à déterminer, mais selon nos sources, une violente dispute aurait éclaté entre la victime et son meurtrier présumé. Bertrand Louiset aurait demandé à l’homme qu’il recueillait de quitter l’appartement. Le jeune migrant aurait alors tué Bertrand Louiset de 28 coups de couteau.

Le meurtrier présumé a été présenté à un juge d’instruction et mis en examen pour meurtre. Pour l’heure, le mis en examen est en détention provisoire. (source france3 centre-val-de-loire)

Vu chez brei zatao

mardi, 22 août 2017

Le président du Zimbabwe : « Les tueurs de fermiers blancs ne doivent pas être poursuivis »

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

Le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, a déclaré que les personnes qui ont assassiné des agriculteurs blancs lors d’une purge approuvée par le gouvernement dans les années 2000 ne seront jamais poursuivies.

Le président de 93 ans a prononcé un discours à un rassemblement à Harare lundi pour marquer la « fête des héros », qui commémore les soldats qui ont combattu pour le pays, en particulier dans sa guerre d’indépendance contre les colonisateurs britanniques.

Le Zimbabwe a mis en œuvre un programme controversé de réforme agraire en 2000 qui a vu les partisans de Mugabe envahir et saisir des centaines de fermes appartenant à des blancs à travers le pays. Les saisies violentes ont entraîné le meurtre de plusieurs agriculteurs blancs.

« Nous ne poursuivrons jamais ceux qui ont tués les agriculteurs blancs. Je demande pourquoi devrions-nous les arrêter? « , A déclaré Mugabe, selon le journal d’information du Zimbabwe NewsDay.

 

Source : fdesouche via Newsweek

mercredi, 26 juillet 2017

Père Hamel : un an après, la France se souvient

Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2017

Par Jean-Marie Guénois Mis à jour Publié 

 

 Un portrait du père Hamel est exposé, le 2 août 2016, à la cathédrale de Rouen, lors des funérailles du prêtre. 

REPORTAGE - Mercredi 26 juillet, une cérémonie honorera la mémoire du prêtre assassiné par deux islamistes.

À Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime)

Dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, l'autel où célébrait le père Hamel porte encore les stigmates de l'attaque aveugle des deux islamistes. Avant d'égorger le prêtre, ils se sont acharnés à coups de couteau sur le meuble sacré.Il est là, paisible, assis à quelques mètres de l'autel où, le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel a été égorgé, en tant que prêtre catholique et au nom de l'islam. «Il», c'est Bernard Auvray. Il a 72 ans et donne désormais de son temps pour que cette église puisse accueillir ceux qui veulent s'y recueillir. La tomette claire, où le religieux de 85 ans a agonisé, a été lavée. Il ne reste plus de traces apparentes de l'assassinat, sinon des petits trous rapprochés sur l'autel. Ce sont les marques des coups de couteau acharnés des deux islamistes contre ce meuble sacré, avant qu'ils ne retournent l'arme contre deux innocents, le célébrant et un vieux monsieur, Guy Coponet. En se faisant passer pour mort, ce fidèle s'en sortira en contenant sa plaie de la main, sous les yeux de sa femme, Janine, alors persuadée qu'il est sans vie. Guy fêtait ce jour-là son 87e anniversaire.

Un an après, il règne dans cette petite église une atmosphère de paix absolument indicible. «Le fait que Jacques Hamel soit parti a laissé un grand vide, explique Bernard Auvray, mais quelque chose, comme une présence, demeure ici.» Le père Auguste Moanda, curé de la paroisse, originaire du Congo, confirme: «Personnellement, je le sens très présent. Quand je suis un peu découragé, je le prie et le père Jacques vient à mon aide.»

Ce lieu de culte fut pourtant le théâtre d'une horreur meurtrière et symbolique contre l'Église catholique. Pour autant, il n'a pas déclenché «la guerre de religion» recherchée. Plutôt son contraire. «Beaucoup de choses ont changé depuis un an, assure Bernard Auvray, il y a toujours de la méfiance et pour certains de l'animosité, mais c'est un esprit de rapprochement entre musulmans et chrétiens qui domine.»

Mohammed Karabila, président de la mosquée de la ville, en témoigne: «La cicatrice est là, dit-il. La communauté musulmane n'oubliera jamais cet acte. Le sang de Jacques Hamel sera le liant de nos communautés.» Une dynamique voulue par l'archevêque du lieu, Mgr Dominique Lebrun: «Il faut être attentif à ne pas se laisser déborder par la vengeance et par la colère, souligne-t-il. Si la mort a un sens, c'est celui de la résurrection. Jésus nous aime tous. Il nous demande de nous aimer les uns les autres. Ce n'est donc pas de la naïveté que de dire que c'est sur cet amour qu'il faut reconstruire, même si l'islam récuse Jésus-Christ en tant que Fils de Dieu. Aller contre la tentation de s'approprier le martyr, en exhibant des bannières de croisades, est donc une décision spirituelle. Jamais le père Hamel ne sera le premier martyr des musulmans de France. Chrétiens, nous sommes plutôt appelés à un sursaut spirituel.»

«Convergence humaniste»

Cette stèle de bronze doit être inaugurée mercredi par les autorités, au cours d'un hommage. La Déclaration universelle des droits de l'Homme y est gravée.Mercredi, une cérémonie religieuse se tiendra à Saint-Étienne-du-Rouvray en hommage au père Hamel. La stèle ronde qui sera inaugurée, en présence des autorités de l'État, le long de l'église, avec une Déclaration universelle des droits de l'homme gravée dans le bronze, va-t-elle conjurer l'esprit d'affrontement? Dans la ville, on le veut: «Les gens en parlent moins, témoigne un commerçant. La population est mélangée ici: Français, Portugais, Espagnols, Maghrébins. Il faut donc jouer le bon sens et tourner la page. Sinon comment est-ce que cela finirait?» L'ancien maire communiste et désormais député, Hubert Wulfranc, renchérit: «Malgré l'indéniable horreur, des ponts se sont consolidés. Cette convergence humaniste fait du bien dans ce climat d'inquiétude. La vie reprend le dessus.»

Adossée au muret d'une modeste maison, une mère de famille dit toutefois que «c'est encore fragile». «On ne peut plus être à l'aise après une telle horreur, témoigne-t-elle. L'insécurité et la crainte sont là. Il y a moins de confiance. Personne n'ose en parler mais il y a beaucoup de fichés S ici. Deux copains de mes enfants sont partis en Syrie et ils ne sont pas les seuls…» À deux pas, un groupe de jeunes trompe l'ennui de cette chaude après-midi. «Le père Hamel était l'ami de l'imam, précise l'un d'eux. Ça a choqué tout le monde. Les tueurs, ces deux mecs, on les connaissait pas. L'islam, c'est pas ça!» Un énorme bus s'impose soudain sur la place de l'église. Il exhibe sur son flanc un message en français, en arabe et en anglais: «Marche des musulmans contre le terrorisme». En descendent Hassen Chalghoumi, un des imams de Drancy, Marek Halter, l'écrivain juif d'origine polonaise, et une trentaine d'imams étrangers. La sœur de Jacques Hamel, Roselyne, les accueille et les conduit sur le lieu du drame. Dans le chœur de l'église, les imams prient en arabe pour la paix. Sans se démonter, cette petite femme entonne à haute voix un «Notre Père». Et lance: «Il n'y a qu'un seul Dieu. Notre Dieu est votre Dieu. Malgré la douleur de l'assassinat de Jacques, jamais la haine ni la colère ne l'emporteront, c'est son premier miracle. Mon frère est votre frère à tous. Jacques Hamel est un frère universel.»


Une messe, une stèle et des vêpres

La tombe du père Hamel, dans le carré des prêtres du cimetière de la basilique Notre-Dame de Bonsecours, à Rouen. Les pèlerins affluent pour y prier.

 

La chaîne de télévision KTO, disponible sur le câble, satellite ou Internet, propose une matinée spéciale le mercredi 26 juillet, avec la retransmission à 9h00, en direct, de la messe présidée par Mgr Dominique Lebrun, dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, un an après l'assassinat du Père Jacques Hamel. Par ailleurs, chaque soir du 23 au 26 juillet, à 19h40, KTO diffuse les interviews de différentes personnalités, dont Roselyne Hamel, la sœur du Père, Hubert Wulfranc, l'ancien maire de la ville, le Père Moanda, curé de la paroisse, Mgr Lebrun archevêque, Mohammed Karabila, président de la mosquée.

Le déroulement de l'hommage du 26 juillet:

●9h00 - Messe en l'église Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray présidée par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen (en direct sur RCF Haute-Normandie et KTO Télévisions). Cette messe est dite à l'heure où le père Jacques Hamel l'a célébrée le 26 juillet 2016. Au cours de la messe, quatre compositions florales comportant une fleur du jardin du Père Hamel seront déposées par un enfant et un adulte devant la croix de procession, le cierge pascal, l'autel et la statue de Marie, quatre symboles qui avaient été profanés le 26 juillet 2016.

●10h50 - Inauguration, place de l'Eglise, de la «stèle républicaine pour la paix et la fraternité et à la mémoire du père Jacques Hamel» érigée par la commune de Saint-Etienne-du-Rouvray.

●18h00 - Vêpres en la basilique Notre-Dame de Bonsecours suivies d'un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel.

 
Source : lefigaro

samedi, 22 octobre 2016

Il y a 5 ans était assassiné Kadhafi : c’est le règne du chaos depuis en Libye

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2016

LIBYA-CONFLICT-KADHAFIIl y a 5 ans était assassiné le dictateur libyen Mouammar Kadhafi par la volonté des grands manitous de la gouvernance mondiale, maîtres tyranniques de la destinée des peuples.

« We came, we saw, he died » , « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort » avait clamé, en paraphrasant Jules César, une Hillary Clinton hilare, secrétaire d’État des États-Unis à l’époque, qui se trouvait à Kaboul, en Afghanistan, autre pays martyr de la folie des puissances américano-sionistes et des financiers apatrides.

En quelques heures, les images de la capture du Raïs libyen par des rebelles soutenus par la France font le tour du monde. Ce seront ses derniers instants de vie. Et les derniers instants de vie de la Libye. Avec la mort de Kadhafi, orchestrée par l’entartré de service Bernard-Henri Levy, faux philosophe mais vrai fauteur de guerres, par un Sarkosy à l’allure martiale et une Clinton foncièrement guerrière, règnent en maîtres en cette terre africaine le chaos et la guerre civile, nouveau couple royal intronisé par les puissances mondiales comme cadeau à la nouvelle Libye. Pour le plus grand malheur des populations civiles.

La Libye était pourtant considérée un des pays les plus développés de la région MENA Afrique du Nord/Moyen-Orient. Aujourd’hui c’est un no man’s land, une terre revenue aux guerres tribale sur fond d’islamisation radicale. Avant poste de l’État islamique dans la Méditerranée centrale, croisement du trafic d’êtres humains de l’Afrique sub-saharienne à destination de l’Eldorado européen et terrain de conflits entre gouvernements de Tripoli et Tobrouk, entre 140 tribus et au moins 230 milices, c’est le tragique bilan de la fameuse révolution de février 2011, manipulation politique de puissants pays occidentaux, qui se cachent derrière un prétendu « devoir d’ingérence humanitaire » mais ne sont que les gardiens égoïstes de leurs propres intérêts mercantiles. Qui s’opposent à ceux des peuples libyens et européens.

Kadahfi l’avait prédit : si les Occidentaux, à la solde des intérêts américains, continuaient à vouloir sa perte, sa chute allait déchaîner le terrorisme islamique en Libye et en Europe, accélérer l’insécurité sur le Vieux Continent, favoriser les invasions migratoires, semer le chaos d’un côté et de l’autre de la Méditerranée :

« Le régime ici, en Libye, va bien. Il est stable. Je veux bien me faire comprendre: si on menace, si on déstabilise, on ira à la confusion, à Ben Laden, à des groupuscules armés. Voilà ce qui va arriver. Vous aurez l’immigration, des milliers de gens qui iront envahir l’Europe depuis la Libye. Et il n’y aura plus personne pour les arrêter. Ben Laden viendra s’installer en Afrique du Nord et laissera le mollah Omar en Afghanistan et au Pakistan. Vous aurez Ben Laden à vos portes.Vous aurez le terrorisme, des actes de piraterie aux portes de la Méditerranée, à 50 km des frontières de l’Europe. »

Force est de constater que sa prophétie se réalise : plus personne ne sait comment arrêter les vagues monstrueuses de clandestins qui s’abattent sur les côtes européennes depuis la Libye, la menace islamique est en croissance exponentielle avec son corollaire l’insécurité, le chaos est aux portes de l’Europe et pousse de tout son poids, composé de milliers et milliers d’immigrés, pour défoncer les murs, les portes, les barrières, les clôtures et s’engouffrer en nos pays coupables d’apporter la guerre chez les autres.

« La Libye pourra bien devenir une Somalie de la méditerranée, il y aura des pirates au large de la Sicile,  de la Crète ou de Lampedusa. Il y aura aussi des millions d’immigrants. La terreur sera à votre porte. » Autre belle promesse, cette fois-ci de Saïf al-Islam, le fils du colonel  Kadhafi.

5 ans après le meurtre de Kadhafi, ces sombres présages semblent se concrétiser. Le chaos libyen vient faire ses comptes avec les politiciens imposteurs européens !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 05 mai 2016

Un jeune Français, patriote, assassiné par la racaille

Publié par Guy Jovelin le 5 mai 2016

4 mai 2016 par admin4

Le jeune Gersois n'a pas survécu

Luigi Guardiera est décédé ce mercredi (source) : il avait été violemment agressé dimanche, sur le parking d’une boîte de nuit de Tarbes, par des racailles multirécidivistes. C’est le lot de nombreux Français victimes de la folle politique de ces dernières décennies, alors que le gouvernement ose encore dénoncer le prétendu racisme des Français.

Il était âgé de 23 ans.

C’était un patriote, qui avait été candidat FN aux élections départementales de 2015.

Il n’aura bien sûr pas le même traitement politico-médiatique que d’autres :