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lundi, 27 novembre 2017

Muret (31) : descente des forces de l’ordre au « Formule 1 » devenu centre de migrants suite à une bagarre au couteau

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

 
 

Une vingtaine de militaires a dû intervenir en fin de semaine dernière, au «Pradha» de Roques (ex-Formule 1) pour ramener le calme après une sérieuse bagarre entre migrants. Le ton serait plus que monté entre deux pensionnaires du centre, des coups violents étant par la suite échangés. La gendarmerie évoque même des coups de couteau distribués sur fond d’alcool. Pas moins d’une vingtaine de militaires s’est rapidement rendue sur les lieux, des gendarmes du PSIG , ainsi que des deux brigades de gendarmerie de Muret et de Portet-sur-Garonne. «On est arrivé au centre prudemment, on ne savait pas trop ce qu’on allait trouver. C’est la première fois qu’il y a une intervention d’une telle ampleur, mais la situation l’exigeait», confie Julien Delforge, commandant en chef de la compagnie de gendarmerie de Muret.

Mathias Beaufort, directeur du centre, rappelle que «chaque personne qui séjourne chez nous souscrit un règlement de bon fonctionnement». Il reconnaît les violences verbales et physiques qui ont émaillé la vie du centre il y a une semaine, des actes que l’auteur a d’abord démenti catégoriquement, avant d’être convoqué, avec sa victime, devant le directeur du «Pradha». Une victime qui, selon nos sources, aurait eu sa part de responsabilité au moment du déclenchement des violences. «J’ai interpellé l’OFI de cet incident et ai préconisé une sanction qui attend d’être validée», précise Mathias Beaufort. La sanction demandée n’est pas mince : un transfert disciplinaire des deux migrants.

La Dépêche via fdesouche

vendredi, 11 avril 2014

Parlement ukrainien : bagarre entre députés nationalistes et communistes

Publié par Guy Jovelin

Le parlement ukrainien est connu pour ses rixes.

Ce mardi, une bagarre a de nouveau éclaté, opposant députés nationalistes (Svoboda) et communistes.

Tout a commencé quand le chef du parti communiste, Petro Symonenko, a, dans un élan de provocation, accusé dans son discours le parti Svoboda de favoriser la Russie par rapport à l’Ukraine.
Deux députés du parti sont alors montés au créneau, physiquement.

C’est autre chose que le parlement français où l’on roupille entre apparatchiks sans convictions, avant de se retrouver autour de petits fours dans tel ou tel club ou loge.

Source :http://www.contre-info.com/#