S’en réjouir, certes, mais ne pas accepter pour autant que l’on nous gave, en boucle, avec un islam « religion de paix, d’amour et de tolérance ». De paix, d’amour, de tolérance, où et quand ? J’ai lu le Coran plus de cinquante fois – et en arabe – en long, en large et en travers. Ce que j’y ai lu ne correspond pas à ce que nous racontent ces musulmans manifestant contre les islamo-terroristes, avec leur islam bisounours : « L’islam, c’est le pardon, pas la haine », « L’islam, c’est le vivre ensemble », « L’islam interdit de tuer », « L’islam, c’est une religion de partage », « L’islam, c’est l’ouverture », et patin et couffin.
Notons, au passage, que l’initiative du Conseil du culte musulman n’a pas suscité l’adhésion des quelque 6 millions de musulmans que compte notre pays (ils n’étaient pas 2 000 devant la Mosquée de Paris). Ainsi, pour ne prendre que cet exemple, le Collectif contre l’islamophobie (sic) en France s’est-il désolidarisé des appels à défiler et à manifester.