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vendredi, 06 juillet 2018

Congo en guerre : cannibalisme, garçons obligés de violer leur mère, mutilations génitales, sorcellerie, démembrements à la machette,…

Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2018

Auteur : admin4

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« Selon un rapport de l’ONU, des atrocités terribles, dont des viols collectifs et du cannibalisme, ont lieu dans la guerre en République démocratique du Congo.

Dans la région du Kasaï, on a vu des garçons forcés de violer leur mère, des petites filles à qui on a dit que la sorcellerie leur permettrait d’attraper des balles, et des femmes forcées de choisir entre le viol en bande ou la mort.

Les rebelles et les troupes gouvernementales ont commis des atrocités pendant le conflit, y compris le démembrement de civils, selon des comptes rendus publiés par une équipe de l’ONU d’experts des droits de l’homme qui ont déclaré que le monde doit savoir.

L’équipe chargée d’enquêter sur un conflit dans la région a déclaré la semaine dernière au Conseil des droits de l’homme de l’ONU qu’elle soupçonnait toutes les parties d’être coupables de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.

Leur rapport détaillé de 126 pages répertorie les horribles attaques commises durant le conflit, qui a éclaté fin 2016, impliquant les milices Kamuina Nsapu et Bana Mura et les forces armées congolaises, les FARDC.

« Ce qui s’est passé au Kasaï ne peut que forcer à en parler », a déclaré Marie-Ange Mushobekwa, ministre congolaise des droits de l’homme, au Conseil.

« Une victime nous a dit qu’en mai 2017, elle a vu un groupe de la milice Kamuina Nsapu, dont certains portaient des organes génitaux féminins (clitoris et vagins) comme médailles », dit le rapport.

Certains témoins se souviennent d’avoir vu des gens découper, cuisiner et manger de la chair humaine, y compris des pénis coupés à partir d’hommes encore vivants et de cadavres, en particulier les FARDC, et boire du sang humain.

L’enquêteur principal Bacre Waly Ndiaye a déclaré au Conseil que lors d’un incident, au moins 186 hommes et garçons d’un seul village ont été décapités par Kamuina Nsapu, dont beaucoup de membres étaient des enfants forcés de combattre, désarmés ou portant des bâtons, et étaient convaincus que la magie les avait rendus invulnérables.

Beaucoup de ces enfants soldats ont été tués lorsque les soldats des FARDC les ont mitraillés sans discrimination, a-t-il dit. Les corps étaient souvent enterrés dans des fosses communes…. ou étaient parfois empilés dans des camions par des soldats pour être enterrés ailleurs. Au départ, on pensait qu’il y avait environ 86 fosses communes, mais après avoir enquêté sur le terrain, l’équipe a soupçonné des centaines, a-t-il dit. »

Source fdesouche via contre-info

mardi, 20 février 2018

Enrichissement culturel : en Seine-saint-Denis 3 Capverdiens agressent un homme et mangent des morceaux de sa chair

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2018

Publié le 19 février 2018 Auteur par admin4
contre-info.com

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Photo d’illustration (Cannibalisme en Afrique)


« Trois Capverdiens, ont été interpellés, dimanche soir à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pour violences volontaires, acte de barbarie et anthropophagie ayant entraîné une mutilation permanente. Vers 18h, allée Hector-Berlioz, quatre hommes se disputent pour une histoire d’argent. Trois hommes se liguent pour en frapper un quatrième. Ils l’ont violemment mordu à la lèvre inférieure et à l’oreille gauche avant d’ingérer les morceaux de chair arrachés. »

Source fdesouche

dimanche, 18 février 2018

LA MAFIA NIGERIANE DERRIERE L’ASSASSINAT DE PAMELA MASTROPIETO

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2018

samedi 17 février 2018par Michel Dantan

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Les clans mafieux n’ont plus le monopole de la cruauté en Italie, l’assassinat de la jeune Pamela Mastropieto dont le corps a été retrouvé découpé en morceaux répartis dans deux valises abandonnées dans une zone rurale de Pollenza vient d’en apporter la preuve. Le principal suspect, une jeune nigérian de 29 ans, Innocent Oseghala, aurait d’après le psychiatre et criminologue Alessandro Meluzzi agit selon les codes de la mafia nigériane présente en Italie depuis seulement quelques années. Les limites de la barbarie ayant été franchies, le criminologue italien soupçonne le criminel présumé de s’être livré à des actes de cannibalisme rituel sur la victime, ce mode opératoire n’étant pas une exception mais une règle parmi les membres de la mafia nigériane souligne t-il dans une interview. « Mais personne n’en parle de peur de se voir traiter de raciste » déplore le psychiatre qui fait le constat suivant « Nous devons nous habituer à ces choses. Il ne s’agit là que de la partie visible de l’iceberg destinée à croître ». Autant dire qu’à moins d ‘un réveil de l’opinion publique italienne et d’un sursaut des autorités le Black Axe » ou « la Hache Noire » surnom donné à la mafia nigériane, a de beaux jours devant elle. 
Source : http://tv.liberoquotidiano.it/video/italia/13308590/pamel...