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jeudi, 07 février 2019

La cathédrale saint-Alain de Lavaur a été profanée

Publié par Guy Jovelin le 07 février 2019

Auteur : Pierrot
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Pas de réaction politique, un vocabulaire journalistique quasi moqueur, une indifférence générale assourdissante. A noter  qu’une église de Nîme vient également d’être profanée, tabernacle cassé, hosties projetées sur les murs et à terre, divers objets religieux dégradés et excréments jetés sur les murs intérieurs de l’édifice (voir ici)…

Trouvé sur La Dépêche : C’est une forte odeur de fumée qui a alerté la secrétaire de la paroisse de Lavaur, mardi soir vers 18 heures. Cette dernière venait fermer la cathédrale à clé quand elle a eu la stupeur de découvrir l’état de l’autel et de la chapelle du Sacré Coeur.

A leur arrivée, les pompiers n’ont pas eu affaire à de gros dégâts. Mais le ou les profanateurs ont sans doute joué avec un briquet ou des allumettes près de la nappe qui se trouvait dans cette chapelle puisque la nappe était consumée et avec elle la crèche qui était toujours en place depuis les fêtes de Noël. Les gendarmes de la brigade de Lavaur se sont aussitôt rendus sur place et ont reçu le soutien d’un technicien de la cellule d’identification criminelle d’Albi.

Ce matin, les investigations se sont poursuivies en attendant l’arrivée des pompiers qui sont intervenus avec un aspirateur à fumée très puissant.

On en sait maintenant un peu plus sur les dégradations et le profil des auteurs. Ces derniers, qui pourraient être au moins deux, ont aussi fait tomber une croix dans la chapelle Philomène. Ils ont par ailleurs tordu le bras du Christ sur une croix, de telle sorte que des jeunes pourraient y voir un « dab », ce geste popularisé par Paul Pogba pendant la Coupe du Monde de football en Russie et qui consiste à placer son visage dans le pli du coude, tout en pointant le ciel dans la direction opposée avec les deux bras parallèles.

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 Dans leur errance, il semble que les auteurs aient eu besoin de se poser. On retrouve en effet la trace lisse d’une paire de fesses sur l’ancien confessionnal qui prenait la poussière depuis plusieurs années. De l’autre côté, à l’endroit où sont censés s’installer les « pécheurs », ce sont des restes de gâteaux qui ont été découverts.

Gageons que le péché de gourmandise ne sera pas le fait le plus grave qui sera retenu par la justice le jour où les enquêteurs auront des suspects à lui présenter dans cette affaire.

La maire de Lavaur a très vite réagi en indiquant : « Dieu pardonnera, pas moi. »

La cathédrale venait de faire l’objet d’une longue rénovation. Des travaux qui ont duré 5 ans et coûté plus de 2 millions d’euros à la collectivité, 30% étant financés par la Ville de Lavaur et 70% par des subventions Etat, Région, Département. Les peintures de la cathédrale faisaient partie de ce vaste chantier. Michel Guipouy, l’adjoint au maire chargé de la culture, s’est rendu sur place ce mercredi pour voir si les peintures avaient souffert de l’exposition à la fumée.

 

Source : contre-info

jeudi, 06 décembre 2018

Profanation de la cathédrale de Vienne avec la bénédiction du cardinal-archevêque Schönborn

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2018

Ami du pape allemand Benoît XVI, proche du pape régnant François, le cardinal Schönborn, archevêque de Vienne en Autriche, est le prototype de l’ecclésiastique que l’on ne peut, malheureusement, que qualifier d’apostat !

Protecteur des duos homosexuels dont il plaide la reconnaissance de droits subjectifs,il ouvre régulièrement, début décembre, sa cathédrale Saint Étienne de Vienne aux activistes ‘gays ‘pour des « soirées » profanes. L’excuse en est la lutte contre le sida,l’autre grande cause après l’accueil des migrants, du progressiste et mondainSchönborn.

L’an dernier, le show ignominieux, de surcroît en un tel lieu sacré, avait été perpétré sous ses yeux par le tristement célèbre travesti-transsexuel-transgenre Thomas Nuewirth, de son nom de scène Conchita WurstCette année, le « concert de charité » a été tout aussi infâme quoique le sacrilège et le blasphème y ont atteint un degré inouï. Proprement incroyable ! D’autant plus que ce spectacle abject, ténébreux, a été commis en la présence d’un cardinal au sourire enchanté ! L’évêque autrichien en arrive à unetelle indifférence envers l’enseignement et le surnaturel chrétiens, qu’il ne croit qu’en un naturel dément pour sauver les hommes des séquelles logiques de leurs mœurs dépravés…

Comment ne pas rendre responsable d’une attitude si ouvertement apostate chez un membre éminent de l’Église officielle la nouvelle théologie en vogue depuis plus de 50 ans ? Cette doctrine conciliaire a tout désacralisé, de la messe au mariage, en passant par tous les autres sacrements. Elle a tout relativisé, de Dieu à la morale, en passant par la loi naturelle. Elle a abandonné le Dieu de l’Évangile pour centrer son culte surl’homme moderne et ses turpitudesLes païens et infidèles des temps antiques et d’aujourd’hui ont plus de respect pour le sacré et le religieux, pour leurs divinités de l’Olympe et Allah en son paradis, que ces impies à la pourpre cardinalice qui hantent les couloirs du Vatican.

C’est l’abjection de la désolation dans le lieu saint…

   

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

lundi, 21 mars 2016

Mary Poppins et Bouddha dans la cathédrale : « Aucune profanation, mais promotion de la culture »

Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2016

mary_poppins_cathedrale_omahaCest arrivé à Ohama, aux États-Unis. Le sacristain qui a tout enlevé parce que c’était un sacrilège a fini en prison. Et l’évêque se tait.

Mark Kenney est le sacristain de la Cathédrale Sainte-Cécile à Ohama, dans le Nebraska aux États-Unis. Le 29 janvier dernier, arrivé de bon matin à la cathédrale, en se servant d’une bonne paire de sécateurs, il a coupé les câbles par lesquels était suspendue, sur la nef centrale, une gigantesque poupée représentant Mary Poppins avec son parapluie magique ouvert. Tout de suite après, il est entré dans une chapelle latérale et a réduit en morceaux une immense photographie de Bouddha. La cathédrale avait été décorée ainsi pour le traditionnel Festival des Fleurslocal.

Le curé,  Michael Gutgsell, dès qu’il s’est aperçu du massacre, a appelé le sacristain pour savoir s’il avait vu le responsable. Réponse du bonhomme : « Père, c’est moi qui ai fait ça. Vous pouvez appeler la police. » Police qui est arrivée, l’a arrêté et lui a fait passer une nuit en cellule. L’affaire doit passer devant le tribunal, et la sentence est attendue pour le 24 mars prochain. « Jeudi Saint » a noté le sacristain pacifiste. Qui se défend courageusement : « J’indemniserai tout. Mais des éléments séculiers comme des personnages cinématographiques dans l’espace sacré d’une cathédrale sont sacrilèges et idolâtres. »

Le curé de Sainte-Cécile, chancelier de l’archidiocèse et canoniste formé dans une université catholique,  lui, ne comprend pas : « Aucun sacrilège ou manque de respect. Les cathédrales sont des espèces d’épicentre pour la présentation et le développement de la culture. » Plus grave, selon lui, parler de « profanation » signifie « calomnier les responsables du projet » qui a amené Mary Poppins et Bouddha dans la cathédrale. Il y avait aussi des vêtements historiques, comme celui d’« Elisabeth Ière » que Mark Kenney a jeté en-dehors de l’église.

Les compagnies d’assurances sont déjà entrain de faire les comptes. Et l’évêque du lieu, monseigneur George Lucas, n’a fait aucun commentaire. Son porte-parole a en revanche affirmé que nulle part le catéchisme n’interdit de pendre Mary Poppins entre les voûtes d’une cathédrale. Il fallait regarder « le contexte ».

Avec de tels amis, le bon Dieu et son fidèle sacristain n’ont pas besoin d’ennemis !

 

Francesca de Villasmundo

 

Source : http://www.medias-presse.info/