Ami du pape allemand Benoît XVI, proche du pape régnant François, le cardinal Schönborn, archevêque de Vienne en Autriche, est le prototype de l’ecclésiastique que l’on ne peut, malheureusement, que qualifier d’apostat !
Protecteur des duos homosexuels dont il plaide la reconnaissance de droits subjectifs,il ouvre régulièrement, début décembre, sa cathédrale Saint Étienne de Vienne aux activistes ‘gays ‘pour des « soirées » profanes. L’excuse en est la lutte contre le sida,l’autre grande cause après l’accueil des migrants, du progressiste et mondainSchönborn.
L’an dernier, le show ignominieux, de surcroît en un tel lieu sacré, avait été perpétré sous ses yeux par le tristement célèbre travesti-transsexuel-transgenre Thomas Nuewirth, de son nom de scène Conchita Wurst. Cette année, le « concert de charité » a été tout aussi infâme quoique le sacrilège et le blasphème y ont atteint un degré inouï. Proprement incroyable ! D’autant plus que ce spectacle abject, ténébreux, a été commis en la présence d’un cardinal au sourire enchanté ! L’évêque autrichien en arrive à unetelle indifférence envers l’enseignement et le surnaturel chrétiens, qu’il ne croit qu’en un naturel dément pour sauver les hommes des séquelles logiques de leurs mœurs dépravés…
Comment ne pas rendre responsable d’une attitude si ouvertement apostate chez un membre éminent de l’Église officielle la nouvelle théologie en vogue depuis plus de 50 ans ? Cette doctrine conciliaire a tout désacralisé, de la messe au mariage, en passant par tous les autres sacrements. Elle a tout relativisé, de Dieu à la morale, en passant par la loi naturelle. Elle a abandonné le Dieu de l’Évangile pour centrer son culte surl’homme moderne et ses turpitudes. Les païens et infidèles des temps antiques et d’aujourd’hui ont plus de respect pour le sacré et le religieux, pour leurs divinités de l’Olympe et Allah en son paradis, que ces impies à la pourpre cardinalice qui hantent les couloirs du Vatican.
C’est l’abjection de la désolation dans le lieu saint…
   

Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
 



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 « C’est presqu’une profanation, tant ces bornes sont symboliques. Surtout l’année du Centenaire de la Grande Guerre. Derrière ces blocs de béton rouge et blanc surmontés d’un casque orné d’une couronne de laurier se cache toute la souffrance des soldats de la Bataille de Verdun. Par-delà l’asphalte et la circulation routière, on sent encore la poudre des combats, la sueur des soldats montant au front et le sang de ceux qui revenaient de l’enfer. » (