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dimanche, 30 juillet 2017

Le fiasco de l’unique centre de « déradicalisation » de France, gadget socialiste couteux

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2017

Gérard Collomb, ministre de l’intérieur, vient de mettre un terme à l’expérience bobo-radical-chic de l’unique centre de « déradicalisation » de France. Situé à Pontourny en Indre-et-Loire, pouvant recevoir 25 personnes « radicalisées», volontaires pour « être déradicalisées », il était vide depuis février, son dernier pensionnaire ayant été condamné pour des faits de violences familiales. Cette fermeture est le signe du véritable fiasco de l’initiative créée en 2016 avec pour objectif lunaire de « préparer, proposer et dispenser une offre et un programme pédagogique utilise à la réinsertion de jeunes radicalisés en voie de marginalisation ».

Ce centre éphémère mais coûteux comprenant des ateliers slam, la possibilité de pratiquer les arts martiauxl’équithérapie, le jardinage et la pratique de la religion musulmane n’aura été qu’une autre vaste fumisterie de la gauche bien-pensante. Pour enfumer les Français en leur faisant croire à la fable des gentils islamistes adeptes volontaires de la désintoxication musulmane…

La réalité est tout autre : en tout et pour tout, ce gadget socialiste mis en place par l’ancien ministre de l’intérieur, le nerveux Manuel Valls, n’aura reçu que 9 personnes dont aucune n’aura suivi la programme jusqu’à son terme. Pire, l’un des pensionnaires, Mustafa S., 24 ans, avait été interpellé lors d’une opération antiterroriste dans le Bas-Rhin à l’occasion d’une permission de sortie, alors qu’il essayait, pour la seconde fois, de partir en Syrie faire le djihad.

« L’expérience ne s’est pas révélée concluantea déclaré le ministère dans un communiqué. L’expérimentation d’un centre d’accueil ouvert, fonctionnant sur la base du volontariat, a montré ses limites. Le gouvernement a ainsi décidé demettre un terme à l’expérimentation conduite à Pontourny, sur la commune de Beaumont-en-Véron. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

samedi, 21 janvier 2017

Premier échec d'un centre de déradicalisation

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2017

 
Image d'illustration. Photo © DGPN/SICOP
 

Djihadisme. Pensionnaire du premier centre de déradicalisation mis en place par le gouvernement, un homme a été interpellé mardi 17 janvier dans le Bas-Rhin. Le ministère de l'Intérieur est embarrassé : les établissements ne doivent pas accueillir d'individus fortement radicalisés.

Coup dur pour la politique de déradicalisation mise en place par le gouvernement. Mardi 17 janvier, dans le Bas-Rhin, un pensionnaire du centre de prévention, d'insertion et de citoyenneté de Pontourny, en Indre-et-Loire, a été interpellé à Wissembourg, dans le Bas-Rhin. Si Mustafa S., c'est son nom, bénéficiait d'une autorisation de sortie, son profil interpelle tout particulièrement.

Le ministère veut taire l'affaire

Après la révélation de cette arrestation par Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Le Monde rapportait que le ministère de l'Intérieur avait donné pour consigne de passer sous silence toute information relative à Mustafa S. Car son profil s'éloigne fortement de ceux censés être accueillis par les centres comme celui de Pontourny.

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D'ailleurs, selon un document du ministère, seules les personnes “en début de processus de radicalisation et non engagés dans des actions violentes” peuvent intégrer les centres de déradicalisation. En clair, ce type d'établissement doit s'occuper des individus les moins dangereux et les moins radicalisés.

Rattraper un cuisant échec

Pourtant, comme l'explique RTL, Mustafa S., 24 ans, a plusieurs fois tenté de rejoindre les rangs de l'État islamique. Une première fois en décembre 2013, puis en mai 2016. C'est même cette deuxième tentative qui lui vaudra, avec ses amis radicalisés, d'être interpellé par la Direction générale de la sécurité intérieure, mardi 17 janvier.

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Si la DGSI avait émis un avis négatif sur l'intégration du jeune homme à Pontourny, celui-ci a bien rejoint l'établissement. En cause certainement, le manque de réussite de l'initiative gouvernementale : sur les 25 places disponibles dans le centre, seules 5 sont occupées.

 

Source : valeursactuelles